ASSOCIATION DES AMIS DE ROBERT BRASILLACH
A
RB
|
Association des Amis
de
Robert Brasillach |
J'ai pu me tromper sur des hommes, sur des faits ou sur des circonstances, mais je n'ai rien à regretter de
l'intention qui m'a fait agir.
(Robert Brasillach à son procès)
Lundi 4 février 2013
Vient de paraître les actes d'un colloque qui s'est tenu en octobre 2011 à l'université de Paris III : Maurrassisme et littérature. L'Action française. Culture, société, politique (IV),
édité par Michel Leymarie, Olivier Dard etJean-Yves Guérin, Presses
Universitaires du Septentrion – comprenant notamment la contribution
suivante (cliquer sur l'image pour lire le résumé en entier) :
Par ARB
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Publié dans : REVUE DES LIVRES
Lundi 28 janvier 2013
Par ARB
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Publié dans : MAURICE BARDECHE
Vendredi 18 janvier 2013
A propos de sa lecture d'un poème de Robert Brasillach en janvier 2012,
Philippe Cohen et Pierre Péan ont demandé le 24 février 2012 à Jean-Marie Le Pen « s'il n'utilisait pas sa liberté au détriment de sa fille ». Réponse de l'intéressé (Le Pen, une histoire française, Paris, Éditions Robert Laffont, novembre 2012, p.320) :
«
Je ne me considère pas lié par le fait que Brasillach a été
fusillé. Quand le président de la République dit que Céline est son
livre de chevet, personne n'y trouve rien à redire. Si ce dernier avait
été arrêté en 45, il aurait été flingué. Il ne faut pas
confondre la personne et l'oeuvre, la personne et son parcours
politique, le parcours politique et le temps où ça s'est passé. Si
Brasillach avait été jugé trois ans après, il aurait eu trois ans
avec sursis. Je ne me plie pas à la pensée unique, aux ukases, aux
interdits. Je parle de tout ce dont j'ai envie. »
Par ARB
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Publié dans : REVUE DES LIVRES
Mercredi 2 janvier 2013
« Fallait-il fusiller Brasillach ? », France 5, Laurent Joffrin, 22 avril 2008 [cf. Rivarol, n°2762 ; Bulletin des ARB, n°114, p.15-16], visible sur Dailymotion.
Par ARB
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Publié dans : TV
Dimanche 23 décembre 2012
Dans son
Bulletin numéro 125, de l’automne 2012, les ARB ont publié un article
qu’aurait écrit François Brigneau très peu de temps
avant son décès, la source de cet article étant tournée de telle
sorte qu’elle a pu laisser croire qu’il en était l’auteur.
La
famille de François Brigneau tient à apporter un démenti formel à cette
attribution. Son état de santé n’aurait pu lui permettre
d’écrire un article si tardivement. En outre, le style et
l’argumentation du texte en question n’étaient nullement similaires aux
siens.
L’association
des Amis de Robert Brasillach prie la famille de François Brigneau,
ainsi que ses lecteurs, d’accepter ses excuses pour
cette malencontreuse erreur.
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