LES COLALLAHBOS ONT PEUR DE FRANCOIS DE SOUCHE
Qu'on ne s'y trompe pas, ceci est la première étape d'une offensive afin de mettre au pas
les dissidents sur internet qui refusent de se plier aux dogmes officiels.
Paranoïa ? NON ! Mon expérience personnelle me fait dire que l'ordre de stopper François desouche a été donné par le pouvoir.
J'ai déjà eu l'occasion de parler de mon passé (Le jour où la France a connu son "11 septembre" : révélations sur AZF).
Si vous prenez la peine de lire cet article vous comprendrez que ce qui se passe actuellement n'est pas anodin.
François de souche, comme SOS-Racaille ou l'AIPJ à leur époque, est devenu trop dérangeant pour le pouvoir en place.
Trop puissant. Trop influent.
Un beau matin ils (brigade antiterroriste) ont débarqué à huit à mon domicile.
Tout fouillé, puis direction le commissariat central avec mon ordinateur.
"Vous êtes en garde à vue".
Motif ? Tentative d'assassinat sur la personne du président de la République et association en vue de commettre des attentats terroristes.
Rien que ça. Totalement ridicule mais qui démontre que le pouvoir peut employer n'importe quel prétexte, même le plus farfelu, lorsqu'il veut stopper quelqu'un.
48 heures de garde à vue courtoise mais sans boire ni manger...
En réalité ce qu'ils voulaient savoir, ce n'est qu'au cours des 48 heures que je l'ai compris, c'était pour quelle puissance étrangère supposée je travaillais.
Car notre site n'avait de cesse de pilonner la politique arabe de la France si chère à Jacques Chirac.
L'AIPJ.NET était même référencé en 2002 sur le site de l'ancien premier ministre israélien Benyamin Netanyahou.
Nos informations étaient de qualité, comme lors de la prise d'otage du théâtre de Moscou par des terroristes tchétchènes où, grâce à nos correspondants sur place, nous diffusions avant les grands médias les informations en live.
Le site prenait systématiquement le contre pied de la vulgate officielle française anti israélienne et anti américaine.
Ils étais donc persuadés que mes informations ne pouvaient provenir que d'une source proche d'un service de renseignement.
Le Mossad ? Cela n'a jamais été formulé aussi clairement même si plusieurs questions portaient sur les raisons de mon soutien à Israël. Cependant ils n'ont rien pu prouver et suis ressorti libre. Car je n'ai jamais travaillé pour le Mossad même si j'ai pu être, volontairement, instrumentalisé par lui.
Y'avait-il derrière cette interpellation et toutes ces question la peur de voir une source israélienne nous confier des informations sur AZF ? Je ne le sais pas mais ce que je sais c'est que durant cette époque les relations entre Israël et les Etats-Unis d'un côté et la France de l'autre étaient exécrables.
Mais tous mes camarades n'ont pas eu la même chance que moi.
Certains ont perdu leur boulot ou du subir des pressions terribles (des fonctionnaires). D'autres ont vu leur ménage brisé (une femme n'aime pas voir débarquer une équipe de policier à son domicile au vu et au su de tout le voisinage). Quant au principal responsable du site, le françois desouche de l'époque, il a du s'exiler en Russie.
Ils avaient réussi à nous stopper. Sos-Racaille et l'AIPJ étaient morts.
D'ailleurs lors de mon interrogatoire les enquêteurs ne m'ont pas caché qu'ils avaient eu l'ordre "d'en haut" de nous stopper.
Lors de la Convention Identitaire d'Orange j'ai pu discuter avec Joachim Véliocas de l'Observatoire de l'islamisation.
Il avait bien connu sos-racaille et l'aipj. Il m'a dit plusieurs fois : "Vous étiez allé trop loin".
Sans doute. Et c'est certainement ce que le pouvoir reproche aujourd'hui à François desouche.
L'offensive vient d'être lancée. Elle ne s'arrêtera plus.
Il reste que nous devons tous nous montrer solidaire de ce site et le soutenir.
De plus la donne à changé depuis 2001-2003.
Il est plus difficile pour un pouvoir de museler un site comme François de souche aujourd'hui que sos-racaille hier.
Il n'en reste pas moins vrai que tous les coups seront utilisés pour déstabiliser et détruire ce site et ce avec la complicité des médias classiques qui voient en internet et dans ces sites des concurrents dangereux.
Il n'y a qu'à voir les photos suivantes pour comprendre que là aussi la collusion entre le pouvoir et les médias officiels n'est pas une simple vue de l'esprit.
Serge July (à l'époque de ces photos patron de "Libération" journal censé étre à la pointe du combat contre Nicolas Sarkozy ministre de l'Intérieur).
Tout est dit.
David Bescond
pour Rebelles.info
(www.rebelles.info)
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