MERCI A BORIS (BLEIBURG 1945)
Massacres de Bleiburg en 1945
Publié le 10/12/2012
par konigsberg
Les massacres de Bleiburg ont lieu après que l'armée britannique, le 13 mai 1945, a livré aux "guerilleros de Tito", comme les désigne Churchill [1], des Yougoslaves non communistes, réfugiés civils et militaires à Bleiburg, ville située à la frontière entre l'Autriche et la Slovénie.
La plupart des réfugiés yougoslaves en Autriche ne sont pas tués à Bleiburg même, mais après avoir repassé la Drave.
Cependant, historiquement, le rapatriement forcé des Croates, en 1945, va prendre le nom de la toute petite ville autrichienne où leur calvaire commence.
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Le massacre, perpétré malgré la Convention de Genève sur les prisonniers, est censé être un châtiment des vrais ou supposés membres ou collaborateurs des gouvernements ayant fait le choix de l'Axe.
Les victimes sont des Croates, des Slovènes, civils ou militaires, des Tchetniks (= résistants royalistes) et des musulmans combattant aux côtés des Allemands.
Il s'y ajoute 38.000 cavaliers cosaques intégrés à la Waffen SS, qui sont accompagnés de leurs familles (12.000 femmes et enfants). (ndlr: En un mot : que des innocents...JPPS)
En Autriche, des réfugiés et des prisonniers sont assassinés. Même les Britanniques tuent quelques dizaines de prisonniers cosaques. Des familles entières se suicident pour éviter les tortures que les rouges infligent aux prisonniers.
Les archives britanniques sur cette tragédie sont inaccessibles. Par contre, le crime est désormais reconnu par tous les hommes politiques de la région et les historiens, excepté par quelques bourreaux et leurs descendants. Les quelques meurtres commis en Autriche ne sont rien à côté des massacres qui vont être commis en Slovénie, en Croatie et en Bosnie au printemps 1945. Une partie des victimes sont jetées dans des foïbe.
Les personnes non exécutées tout de suite sont conduites dans des marches d'expiation ou chemins de croix de la Carinthie à la frontière grecque (1.500kms). Combien sont-ils ? Il est presque impossible de donner le nombre de tués dans les massacres aprèsBleiburg.
Le statisticien Vladimir Žerjavic parlait d'environ 55.000 personnes
massacrées. L'historien universitaire américain Jozo Tomaševic conclut
que 116.000 militaires sont arrivés à Bleiburg, et dans les autres
camps, avec 80.000 civils. Il parle de 100.000 morts.
Comme la population de la Yougoslavie en 1941 est de 15.000.000 d'habitants, les crimes de Tito vont faire proportionnellement beaucoup plus de victimes que ceux de Staline. Le livre noir du communisme donne le chiffre de plus de 1.000.000 de personnes assassinées par les titistes. Ce chiffre déjà énorme semble malheureusement bien inférieur à la réalité. D'autres estimations sur Lietuvos.net parlent de 1.200.000 à 2.130.000 victimes des titistes. Déjà dans La population yougoslave, André Blanc donne le chiffre de 1.706.000 décès dus à la Seconde guerre mondiale.
Il condamne vivement ce qu'il appelle "le meurtre de Mussolini", se soucie des agissements des titistes à Trieste.
Il parle à Truman de "leur attitude arrogante et brutale". Churchill s’inquiète seulement pour la minorité italienne massacrée par les guérilleros de Tito.
Truman et les dirigeants américains ne veulent pas se laisser entraîner dans une autre guerre avec Tito et vont envoyer immédiatement des divisions et des avions terminer celle avec le Japon.
La seule allusion de Churchill à ce qui se passe en Autriche est de constater que "le comportement de l'armée populaire produit la plus mauvaise impression sur les soldats alliés".
Il voit Tito réclamer une partie de l'Autriche, de l'Italie, de la Hongrie et de la Grèce, comme Hitler naguère les Sudètes.
Le maréchal Alexander accuse Tito d'être un nouvel Hitler. Staline s'en plaint à Churchill.
Mais le dirigeant russe lui explique aussi que Tito agit à sa guise. Même si Churchill ne parle pas de ce crime dans ses mémoires ses ordres sont explicites : "Ils ne doivent pas être remis à Tito".
Les massacres de Bleiburg ne sont qu'un des crimes de Tito. La liste est longue et, la liberté étant revenue, elle s'allonge régulièrement :
- Massacre de Široki Brijeg
- Massacres dans des foïbe
- 12.000 Slovènes désarmés
- Le massacre de la Backa (plusieurs dizaines de milliers de civils hongrois)
- Massacre de Porzus (résistants italiens non communistes)
- "Les 400.000 hommes du groupe d'armées Löhr doivent se rendre aux partisans de Tito qui exercent sur eux de cruelles représailles", écrit Raymond Cartier, dans ses deux gros volumes sur La seconde guerre mondiale[5].
- Le massacre de la minorité allemande de Yougoslavie (l'équivalent de nos Alsaciens-Lorrains), notamment les Donauschwaben (environ 500.000 personnes)
- Le sort des prisonniers italiens, bulgares et hongrois
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Monument aux victimes du communisme
- Le sort des populations civiles et des prisonniers de Yougoslavie (Albanais, Kosovars, Bosniaques... ).
- Extermination presque totale de certaines minorités (Tchakaviens, Kaykaviens... ) vivant dans les Balkans bien avant l'arrivée des Slaves.
Les Alliés occidentaux, de leur côté, vont rester silencieux, très fiers de leurs liens avec les titistes.
Ces derniers vont massacrer, après leur rupture avec Moscou, les vrais communistes.
A la fin du régime hitléro-troskyste la mosaïque de peuples, qui forme cette dictature, voit cette fois-ci les enfants des bourreaux et ceux des victimes s’entre-tuer.
Et parfois les fils de bourreaux deviennent à leur tour des victimes...
Il y a cent ans, Honoré de Balzac écrivait déjà : "Il y a deux histoires, l'une que l'on enseigne et qui ment, l'autre que l'on tait parce qu’elle recèle l’inavouable".
Les excellentes recherches historiques de la Commission sur les fosses communes dissimulées en Slovénie durant la présidence slovène de l'UE-2008 permettent d'y voir plus clair sur ces massacres de prisonniers militaires et de civils.
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Attachés, certainement torturés, anxieux les prisonniers attendent la mort ou d'autres sévices (hommes, femmes, enfants)
Les crimes du communisme sont incommensurables et soigneusement cachés, jamais dévoilés.
La
vermine rouge dirige toujours la politique notamment sous cette crasse
de mitterrand et maintenant avec les nouveaux crétins socialistes.
Il
faut savoir aussi que Vatican II et ses prélats corrompus avaient
décidé de ne jamais dénoncer ces abominations, les crimes communistes
démentiels de la guerre 39-45. Il avait été convenu de mettre les
charniers sur le dos des Allemands.
Tout
a été truqué, les salauds qui en vivent sont toujours au pouvoir, et
Dieu, s'il existe a laissé faire toutes ces saloperies.
150 millions de morts dans le monde ,du fait de la vermine rouge.
Aucune photo, aucun document des massacres, seule la shoah doctrinaire doit être exploitée.
Vatican II fût l'outil de la Bête et son accointance avec les soviétiques restera à jamais une abomination sans précédent.
La justice n'existe pas ; seul le mensonge triomphe toujours et ce depuis 70 ans.
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