ATTENTION : NE LANCEZ JAMAIS DE "MAUVAIS REGARD" A UN MUSULMAN, DANS LE RER ! VOUS RISQUERIEZ D'ETRE POUSSE SUR LA VOIE...
Le pousseur du RER A jugé dès ce mardi aux assisses de Paris
Ahmed Konkobo, est jugé pour avoir tué Subramaniam Rasalingam en le poussant contre une rame de RER.
Homicide ou coups et blessures ?
Un homme est jugé pour avoir tué un homme en le poussant contre une rame de RER. Crédit Reuters
La cour d'assises de Paris juge dès ce mardi
Ahmed Konkobo, un homme âgé d'une trentaine d'années et diagnostiqué
comme souffrant de schizophrénie, qui avait un homme en avril 2010 sur
une rame de RER de la ligne A à la station "Gare de Lyon". Ahmed Konkobo
est poursuivi pour homicide volontaire et risque jusqu'à 30 ans de
réclusion criminelle.
Les enregistrements de
vidéosurveillance de la RATP du 2 avril 2010 vers 6 heures du matin
montrent en effet Ahmed Konkobo donner un coup de pied dans le dos qu'un
voyageur, Subramaniam Rasalingam, qui attend sur le quai du RER alors
que le train entre en gare. Poussé contre la rame, l'homme âgé de 53 ans
et mort sur place.
L'avocat d'Ahmed Konkobo, Me Pierre Lumbroso, assure que son client "n'avait absolument pas l'intention de tuer".
Il devrait donc demander la requalification des faits en "coups et
blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la
donner", chef passible de 20 ans assorti d'un suivi socio-judiciaire.
Par
ailleurs, le psychiatre qui suivait Ahmed Konkobo avant le drame
expliquait que sa schizophrénie pouvait parfois entraîner des délires.
L'avocat du prévenu a ainsi expliqué qu'"un mois avant les faits, il
a arrêté de prendre son traitement. Sa mère a essayé d'alerter le
psychiatre qui s'occupait de lui mais il n'a absolument rien fait".
Les expertises psychiatriques réalisées pendant l'instruction ont
évoqué une "altération" de son discernement mais pas une "abolition", ce
qui aurait alors entraîné l'irresponsabilité pénale et l'impossibilité
de juger Ahmed Konkobo.
Pour rappel, Ahmed Konkobo
avait évoqué en garde à vue pour justifier son acte criminel un mauvais
regard lancé par la victime, changeant finalement de version pour
expliquer que la présence de personnes d'origine indienne ou
pakistanaise l'obsédait.
(ndlr: Au fait, c'est quoi "un mauvais regard" ? JPPS)
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