mardi 11 décembre 2012

LES MYTHES DU PROCHE-ORIENT (SUITE)

Gaza n’est pas une ville « palestinienne »

Détruire les mythes du Proche-Orient (Chapitre 2)

La semaine dernière, nous avons montré que, au 17e siècle, la majorité des habitants de « Palestine » (terme romain utilisé pour désigner la terre d’Israël) étaient des juifs, avec une forte minorité de chrétiens, et qu’il n’y avait que peu de musulmans sur cette terre à cette époque. (1)
Cette semaine, nous allons étudier un lieu précis de cette région : Gaza.

Ce que dit la propagande des médias et des chancelleries

Selon la propagande des journalistes et diplomates occidentaux, Gaza est une ville « palestinienne » et musulmane. Jamais, au grand jamais, la présence de juifs dans cette ville n’est évoquée. Comme s’il fallait effacer toute mémoire des juifs dans cette ville, à la façon des nazis tentant d’effacer toute présence et toute mémoire juives en Europe de l’Est, pendant la Deuxième Guerre Mondiale.
Cette propagande des journalistes et diplomates occidentaux n’est que la fidèle reprise des mensonges négationnistes et antisémites diffusés par les groupes terroristes musulmans que sont le Hamas, le Jihad Islamique, le FPLP, le Fatah, l’OLP, etc.
En réalité, au cours des siècles, Gaza a été habitée et occupée par une dizaine de peuples différents, dont le peuple juif.

Gaza dans l’antiquité

De 140 à 36 avant J.-C., la dynastie juive des Hasmonéens règne sur la Judée. (2)
En 96 avant J.-C., après un long siège, le roi hasmonéen Alexandre Jannée (103-76) s’empare de Gaza et incorpore son territoire au royaume juif. 

L’invasion romaine de Pompée, en 63 avant J.-C., met fin à cette domination juive sur Gaza. (3)

Gaza pendant l’occupation byzantine

Pendant l’occupation romaine et byzantine (2e au 7e siècle après J.-C.), Gaza est habitée en majorité par des chrétiens. (4)

Une forte minorité juive y vit, y travaille, et y fréquente ses synagogues.
L’une de ces synagogues de Gaza est découverte en 1965, par des archéologues égyptiens (qui tentent dans un premier temps de la faire passer pour une église). Elle se trouvait en plein centre de la ville antique de Gaza (aujourd’hui, dans le quartier de Rimal).
Dans l’aile sud de cette synagogue, un pavement en mosaïque, représentant, entre autre, David jouant de la harpe, est dégagé. Peu après, des vandales musulmans arrachent la partie de mosaïque contenant le visage de David, afin de supprimer cette preuve de présence juive à Gaza. Heureusement, en 1967, lors de la Guerre des Six-Jours, Israël capture Gaza : ce fragment de mosaïque est restauré, et depuis exposé dans le musée d’Israël, à Jérusalem. (5)

Selon une inscription, cette mosaïque a été réalisée en 508-509 après J.-C. ; en 634 après J.-C., les Arabes musulmans prennent Gaza, détruisent les églises et les synagogues, et assassinent plus de 4000 chrétiens et juifs. (6)

Gaza au dix-septième siècle
Pendant l’occupation musulmane (Arabes de 634 à 1277 ; Mamelouks de 1277 à 1516 ; Ottomans de 1516 à 1917), des juifs et des chrétiens se ré-installent peu à peu à Gaza. Considérés par les musulmans comme des dhimmis, ils y vivent (comme dans tous les territoires contrôlés par des musulmans) comme des sous-humains, pouvant être à n’importe quel moment insultés, battus, volés, torturés, assassinés.

Pendant cette période, des rabbins officient à Gaza.
Le plus célèbre des rabbins de Gaza est Israël Ben-Moses Najara (1555-1625), poète, commentateur de la Bible, kabbaliste, et prêcheur. Dans ses poèmes, écrits en araméen et en hébreu, il s’inspire de chants et de mètres grecs, espagnols, italiens, turcs et arabes. (7)
Son fils, Moses Najara II, lui succède en tant que rabbin de Gaza. (8)

Gaza de 1967 à 2005

En 1948, l’Égypte envahit illégalement la bande de Gaza, et en chasse tous les juifs.
En 1967, lors de la Guerre des Six-Jours, Israël prend le contrôle de Gaza, après un acte de guerre de l’Égypte (blocus du détroit de Tiran).

De 1967 à 2005, des juifs peuvent à nouveau vivre dans la bande de Gaza. En 2005, suite à la décision unilatérale d’Ariel Sharon, Israël démantèle les villes juives de la bande de Gaza. Dans un déferlement de violence, les musulmans détruisent les synagogues de ces villes. (9)

Gaza n’est pas une ville « palestinienne »

En résumé :
à diverses époques, couvrant plusieurs siècles, des juifs vécurent à Gaza.
il y eut des synagogues et des rabbins à Gaza.
aujourd’hui s’est mis en place un véritable négationnisme, avec la complicité des médias occidentaux, qui vise à ne jamais mentionner cette présence juive à Gaza, et à faire croire que cette ville est une ville « palestinienne », jamais « souillée » par la présence de juifs.

La volonté musulmane d’éradiquer toute présence non-musulmane

Ce comportement est caractéristique de la volonté musulmane de détruire tout ce qui n’est pas musulman : hommes, œuvres, histoire.

Les musulmans ont réussi, dans leur volonté suprémaciste, à rendre Gaza totalement « judenrein », pour reprendre la terminologie nazie. (10)
Ils sont sur le point d’éradiquer totalement toute présence chrétienne dans cette ville, qui fut pendant plusieurs siècles un important centre chrétien. (11)
La bande de Gaza est à présent une dictature musulmane, soumise à la barbarie du Hamas, dont la charte appelle, en son article 7, au génocide mondial des juifs. (12)

Nous sommes tous visés par la haine musulmane

De nombreux immigrés musulmans, que nos gouvernements successifs ont imprudemment laissé entrer en France, commencent à falsifier notre Histoire (en prétendant mensongèrement que les musulmans ont sauvé la France en 1945, ou qu’ils l’ont reconstruite après guerre, par exemple), comme ils le font à Gaza et au Proche-Orient.
Un nombre important de ces immigrés musulmans ne cachent pas que leur but ultime est de détruire nos démocraties occidentales, afin de les remplacer par un califat (dictature) musulman.

L’Occident doit réagir, avant qu’il ne soit trop tard.

La suite dans un prochain numéro

Dans un numéro suivant, nous examinerons comment les arabo-musulmans qui vivent en Israël se sont installés sur cette terre à partir de la deuxième moitié du 19e siècle, et surtout pendant la première moitié du 20e siècle.

Professeur Franklin

1) Il n’y a pas de peuple « palestinien »
2) Hasmonéens
3) Alexandre Jannée
4) Gaza chrétienne et byzantine
5) Synagogue de Gaza
Gaza synagogue
6) Gaza au Moyen-Âge
7) Israel ben Moses Najara
8) Moses_Najara II
9) Palestinians torch synagogues in former Gaza settlements
10) Judenfrei et Judenrein
11) Il ne reste, dans toute la bande de Gaza, que 1400 chrétiens au milieu de 1,5 millions de musulmans. Le Hamas interdit aux chrétiens de Gaza : le vin de communion ; l’importation de Bibles ; la célébration de Noël, de Pâques, et de toute fête chrétienne ; etc.
Témoignage chrétien de Gaza : « Il n’y a pas d’avenir pour nous ici »
12) Voici la fin de l’article 7 de la charte du Hamas : « L’Heure ne viendra pas avant que les musulmans n’aient combattu les Juifs (c’est à dire que les musulmans ne les aient tués), avant que les Juifs ne se fussent cachés derrière les pierres et les arbres et que les pierres et les arbres eussent dit : « Musulman, serviteur de Dieu ! Un Juif se cache derrière moi, viens et tue-le. » » (traduction en français par Jean-François Legrain, chercheur au CNRS)
http://www.gremmo.mom.fr/legrain/voix15.htm
Voir aussi l’analyse de la charte du Hamas par le chercheur Paul Landau, qui écrit, au sujet de cet article 7 : « La guerre contre les Juifs constitue ainsi pour le Hamas un impératif qui s’inscrit dans une vision eschatologique, et pas seulement politique, ce qui rappelle à certains égards les conceptions hitlériennes de l’affrontement quasi-métaphysique entre l’Allemagne et les Juifs… On ne saurait assez insister sur l’antisémitisme virulent qui est consubstantiel à la vision du monde du Hamas, et que les observateurs occidentaux passent trop souvent sous silence, ou dont ils minimisent les conséquences »
http://paullandau.20minutes-blogs.fr/archive/2012/11/17/que-veut-le-hamas-analyse-et-commentaire-de-la-charte-du-ham.html

(ripostelaique.com)
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