RIEN A RAJOUTER
dimanche 2 mars 2014
Mina vers suce Piaffe
JPPS rend hommage à Mina, un vibrionnant et irrésistible hommage, enfin !
-hélas, en blanc, ce blanc qui convient si mal à notre vitrine.
La prochaine fois, Jean-Pierre, rends-lui donc louanges en couleurs pastelles-
Lauriers, dont JP ne soupçonne pas la portée.
Il qualifie la grande bringue de Mina (près d'1 mètre 80, pour on ne sait combien de kilos), de Pute,
et Jean-Pierre a raison !
Oui, Mina est bel et bien une sacrée Pute,
c'est tout à sa gloire et à la nôtre.
Il ramène aussi, dans un même élan, la Piaffe à ses juste mesure et place,
en la traitant de "môme", une variante de "naine",
taille
qui lui rendait d'ailleurs de biens grands services quand nous
énumérons et nous remémorons les tapées de queues cachers, ou autres,
que cette goulue debout (sic) aura sucées :
la bite à Montand-Livi, la bite à Moustaki , la bite à Cerdan, etc.
"A quoi ça sert l'amour ?" chante cette nigaude !
A que dalle, bien sûr !
L'amour, c'est bon chez Walt Disney.
Piaffe était d'un bête, d'un bête !
"Ancora, ancora, ancora" chante Mina.
Vous devinez de quoi il en retourne.
La
maquerelle Barbara, en nous invitant dans son bouge froufrouteux, "le
Sphinx d'Or", nous réconcilie tous sur la diva, pardon sur le divan.
JP fait souffler, et si intelligemment, un vent d'érotisme sur la Toile.
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