DU FOND DE SA CELLULE (CLAIRVAUX), HERVE RYSSEN VOUS PARLE
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Les pédés n'ont pas d'humour
Publié le 19 Novembre 2013
Ce mardi 19 novembre 2013, nous apprenons notre condamnation à trois mois de prison ferme pour de soi-disant “menaces de mort homophobes” contre
le maire de Paris Bertrand Delanoë, juif et homosexuel.
Les juges de la XVIIe chambre correctionnelle de Paris sont décidément de sacrés larbins !
Déjà, en 2002, après le réjouissant entartage du curé Bernard Berger, qui livrait la basilique de Saint-Denis aux immigrés clandestins, c’était la brigade anti-terroriste – rien que cela ! – qui était venue perquisitionner chez nous pour dissoudre le mystérieux groupe de joyeux lurons nommé “Unité amicale”, formé pour l’occasion.
La menace était réelle, au moins dans la tête de certains journalistes du Parisien et du Monde, qui n’avaient pas hésité à parler d’acte “ultra-violent”, alors même que le curé avait reconnu “n’avoir subi aucune violence” dans son procès verbal. Mais on sait de quoi la presse juive est capable. On se souvient encore des articles de Xavier Ternisien et de Didier Daeninckx…
Par moquerie, nous écrivions sur notre blog, en date du 16 novembre 2010, et en réponse à un article malveillant de la grande presse : “Nous avons bien été sympathisant d’Unité radicale, bien que non encarté.
Pour tout vous dire, puisque le délai de prescription est passé, l’attentat contre Jacques Chirac devait à l’origine être le fait de Maxime Brunerie et de nous-même.
Nous devions stopper net le convoi, en criblant la voiture présidentielle avec un pistolet à plomb à air comprimé, pendant que Maxime “cartonnait” le président avec sa “22”.
Hélas, Maxime a voulu travailler seul. Tout a échoué. Et c’est bien dommage !”
Le 14 octobre 2011, sur le même blog, après une tentative de perquisition de la police, pour de simples articles de presse, nous restions encore très détaché des événements; suffisamment pour écrire :
“On peut donc légitimement penser que policiers qui sont venus sonner à notre domicile ce mercredi 12 octobre 2011 sont des hommes du RAID, l’élite de la police.
Nous avons effectivement avoué il y a quelques mois, sur notre blog, avoir été à l’initiative de la tentative d’assassinat de Jacques Chirac en 2002, avec notre complice Maxime Brunerie.
Mais un différend sur le choix des armes nous avait violemment opposé. Maxime avait opté pour la 22, et nous-même préconisions alors l’utilisation d’un pistolet à plomb 4,5 mm semi-automatique à tirs croisés. L’affaire ayant été classée depuis longtemps, nous n’avons pas été inquiété.
En revanche, les super-flics du RAID ont sans doute été informés de notre projet de pulvériser cette grosse tantouze qu'est Bertrand Delanoë. D’où vient la fuite ? Qui nous a trahi ? Nous l’ignorons encore. Une seule chose est certaine : ce sac à sperme qu’est Delanoë a eu chaud aux miches. Mais ce n’est que partie remise !”
Chose étonnante, ces déclarations désinvoltes avaient en fait provoqué un séisme de force 9 sur l’échelle émotionnelle de Bensoussan-Sapirstein ! Sur quoi, les juges de la république furent sommés de sévir.
J’écope donc de trois mois de prison ferme.
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-dessins-de-la-semaine-21371.html
Les juges de la XVIIe chambre correctionnelle de Paris sont décidément de sacrés larbins !
Déjà, en 2002, après le réjouissant entartage du curé Bernard Berger, qui livrait la basilique de Saint-Denis aux immigrés clandestins, c’était la brigade anti-terroriste – rien que cela ! – qui était venue perquisitionner chez nous pour dissoudre le mystérieux groupe de joyeux lurons nommé “Unité amicale”, formé pour l’occasion.
La menace était réelle, au moins dans la tête de certains journalistes du Parisien et du Monde, qui n’avaient pas hésité à parler d’acte “ultra-violent”, alors même que le curé avait reconnu “n’avoir subi aucune violence” dans son procès verbal. Mais on sait de quoi la presse juive est capable. On se souvient encore des articles de Xavier Ternisien et de Didier Daeninckx…
Par moquerie, nous écrivions sur notre blog, en date du 16 novembre 2010, et en réponse à un article malveillant de la grande presse : “Nous avons bien été sympathisant d’Unité radicale, bien que non encarté.
Pour tout vous dire, puisque le délai de prescription est passé, l’attentat contre Jacques Chirac devait à l’origine être le fait de Maxime Brunerie et de nous-même.
Nous devions stopper net le convoi, en criblant la voiture présidentielle avec un pistolet à plomb à air comprimé, pendant que Maxime “cartonnait” le président avec sa “22”.
Hélas, Maxime a voulu travailler seul. Tout a échoué. Et c’est bien dommage !”
Le 14 octobre 2011, sur le même blog, après une tentative de perquisition de la police, pour de simples articles de presse, nous restions encore très détaché des événements; suffisamment pour écrire :
“On peut donc légitimement penser que policiers qui sont venus sonner à notre domicile ce mercredi 12 octobre 2011 sont des hommes du RAID, l’élite de la police.
Nous avons effectivement avoué il y a quelques mois, sur notre blog, avoir été à l’initiative de la tentative d’assassinat de Jacques Chirac en 2002, avec notre complice Maxime Brunerie.
Mais un différend sur le choix des armes nous avait violemment opposé. Maxime avait opté pour la 22, et nous-même préconisions alors l’utilisation d’un pistolet à plomb 4,5 mm semi-automatique à tirs croisés. L’affaire ayant été classée depuis longtemps, nous n’avons pas été inquiété.
En revanche, les super-flics du RAID ont sans doute été informés de notre projet de pulvériser cette grosse tantouze qu'est Bertrand Delanoë. D’où vient la fuite ? Qui nous a trahi ? Nous l’ignorons encore. Une seule chose est certaine : ce sac à sperme qu’est Delanoë a eu chaud aux miches. Mais ce n’est que partie remise !”
Chose étonnante, ces déclarations désinvoltes avaient en fait provoqué un séisme de force 9 sur l’échelle émotionnelle de Bensoussan-Sapirstein ! Sur quoi, les juges de la république furent sommés de sévir.
J’écope donc de trois mois de prison ferme.
Le
fait est que le pouvoir judéo-démocratique essaye de me faire taire par
tous les moyens.
Incapables de me faire condamner pour mes livres, bourrés de citations accablantes qu’il vaut mieux passer sous silence, ces petits larbins de juges me font condamner pour des phrases insignifiantes.
En 44, des comme eux, on en fusillait par paquets de douze.
Hervé Ryssen
Pourquoi l'antisémitismeIncapables de me faire condamner pour mes livres, bourrés de citations accablantes qu’il vaut mieux passer sous silence, ces petits larbins de juges me font condamner pour des phrases insignifiantes.
En 44, des comme eux, on en fusillait par paquets de douze.
Hervé Ryssen
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-dessins-de-la-semaine-21371.html
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