DISCRIMINATION POSITIVE EGALEMENT DANS LES TRIBUNAUX !
dimanche, 07 juillet 2013
Discrimination positive et « diversité »
: le double racisme
Guillaume Faye
J'ai tout compris cliquez là
Au
Brésil, une disposition législative récente oblige les universités à
surévaluer de 5% les notes des Noirs et des Métis, au détriment des
Blancs. Aux USA, des pratiques
semblables existent depuis longtemps dans les quotas universitaires, de
plus en plus contestés d’ailleurs.
Sous des prétextes ”sociaux”, la discrimination positive (affirmative action),
notion née aux Etats-Unis, est en réalité un concept éminemment racial
et raciste, dans les deux sens : qui considère implicitement les
non-Blancs comme des êtres inférieurs, des handicapés mentaux qu’il faut
aider artificiellement (sous le faux prétexte qu’ils sont socialement
défavorisés) ; et qui discrimine objectivement les Blancs. Double
racisme. Inventé par des Blancs culpabilisés, et
inconscients de leurs contradictions.
En
France, pays où officiellement les ”races ” n’existent pas et où
prévaut strictement la logique individualiste des Droits de l’Homme, la
notion hypocrite de « diversité » sert de faux nez à
la discrimination positive à caractère ethno-racial. Par une série de
contrats et de règlements, les entreprises et les administrations sont,
pour les postes pas ou moyennement qualifiés, tenues d’embaucher en
priorité des postulants issus de l’immigration extra-européenne. Au
détriment des Européens de souche, même plus compétents. C’est notamment
le cas de la grande distribution.
Contrairement
à ce qu’on prétend (théorie stupide de l’”exclusion”), une jeune
Blanche ou un jeune Blanc sont actuellement défavorisés par cette
préférence allogène à l’embauche. Ce qui limite un peu mais n’empêche
pas le chômage supérieur des ”jeunes issus de l’immigration”, puisque
ces derniers sont, disons-le par euphémisme, moins portés que d’autres à
l’effort de décrocher un emploi et statistiquement moins compétents.
Cette politique de la diversité
et de l’égalité (ou préférence ethnique allogène), qui vaut aussi pour
les emplois aidés, a donc pour objectif dissimulé de limiter le chômage
de cette population au détriment des autochtones. Mais, d’un point de
vue juridique, cette discrimination positive est anticonstitutionnelle,
tout comme d’ailleurs les lois sur la parité hommes/femmes dans tous les domaines. (Je reviens sur ce point dans un autre article).
En
effet, l’idéologie égalitaire et droit-de-l’hommiste est là en pleine
contradiction avec ses principes. Ces derniers postulaient que seuls
comptent, dans la méritocratie et l’égalité des chances, les individus
et non pas les appartenances ethniques ou les sexes. Les quotas ou les
privilèges en fonction de catégories ethniques ou sexuelles sont à la
fois racistes et sexistes. La cible étant le mâle blanc qui est, paradoxe du masochisme, le premier instigateur de ces nouvelles règles absurdes.
Mais cette politique mènera à l’impasse car on ne force pas la nature. Refuser
l’égalité des chances au profit de l’égalité des résultats, en fonction
de quotas ethniques et sexuels, c’est enfoncer le niveau global de
compétence d’une société, c’est truquer la sélection naturelle.
Et c’est
voué à l’échec : car, au final, les meilleurs gagnent. Ou s’en vont voir ailleurs…
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