mercredi 1 mai 2013

MUR DES CONS (SUITE)

“Mur des cons” : comme pour le Noctilien c’est celui qui révèle qui morfle ; “grâce” à la CGT

1 mai 2013

<em>“Mur des cons”</em> : comme pour le Noctilien c’est celui qui révèle qui morfle ; “grâce” à la CGT



 

PARIS (NOVOpress) –

 Il s’est avéré que la vidéo du désormais célèbre “mur des cons” du Syndicat de la magistrature avait été filmée par le journaliste de France 3, Clément Weill-Reynal. Ceci à été annoncé par la dénonciation du Syndicat national des journalistes CGT (SNJ-CGT) qui a “demandé à la rédaction de France 3 de prendre des sanctions à l’encontre de Clément Weill-Raynal”.

Suite à cette délation France 3 a ouvert une procédure disciplinaire à l’encontre du journaliste.
Le 5 avril au cours d’une interview de la présidente du très gauchisant Syndicat de la magistrature faite au siège du syndicat, Clément Weill-Reynal avait eu l’œil attiré par ce “mur des cons” que l’on voulait lui cacher. Il l’avait filmé discrètement avec son téléphone portable. Vingt jours plus tard la vidéo s’était retrouvée sur le site d’information Atlantico, à la suite d’un parcours encore mal identifié (le journaliste se défend de l’avoir communiquée lui-même au site). Et le buzz de ce “mur” scandaleux avait commencé.

C’est le délégué SNJ-CGT de France 3, Joy Banerjee, qui a alors appris – après s’être entretenu avec le cameraman et le preneur de son qui accompagnaient le journaliste – que c’était Clément Weill-Reynal qui avait filmé. Il a gentiment informé la rédaction de France 3 et lui a demandé des sanctions contre le journaliste.

“Ils [le SNJ-CGT] ne défendent pas des intérêts journalistiques, mais idéologiques” a déclaré Mr Weill-Reynal. Ils défendent l’action “d’un syndicat majeur [le Syndicat de la magistrature] et aligné sur les positions politiques de la CGT”.

Cette affaire n’est pas sans rappeler l’affaire du Noctilien, où un policier avait involontairement laissé devenir publique la vidéo d’une caméra de surveillance de ce bus de nuit, alors que la direction ne l’avait bien sûr pas diffusée malgré son intérêt pour faire identifier les coupables . 

En effet quatre racailles allogènes y tabassaient un jeune blanc aux cris de “sale Français de merde” et “fils de pute”. Qu’attendiez-vous qu’il advienne ? Que l’on se serve de la diffusion massive de la vidéo pour identifier les racailles ?

 Non, le policier avait été mis à pied puis condamné à deux mois de prison avec sursis et 5.000 euros de dommages et intérêts !

La vidéo du “mur des cons”.


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