jeudi 23 mai 2013

L'ISLAM N'EST PAS VERITABLEMENT UNE RELIGION !


Islam défini comme une religion : piège à bouffons !

islam

En France, le statut des religions est défini par la loi de 1905, dite loi de séparation des Églises et de l’État. En son article premier, ce texte précise : « La République assure la liberté de conscience ».

C’est dire très clairement que la République ne saurait accorder le statut de religion (église, culte…) à une idéologie ou une organisation qui ne reconnaît pas la liberté de conscience.

 En conséquence, l’islam ne peut être défini comme une religion : il est interdit à un musulman de quitter l’islam (au Maroc, les oulémas, sous l’égide du roi, viennent de rappeler que « l’apostat » est condamné à mort) ; l’enfant d’un mâle musulman est musulman et, à ce titre, il ne peut, lui non plus, renoncer à l’islam ; la fille d’un musulman n’est pas autorisée à épouser un non-musulman… Les textes qui fondent et réglementent l’islam, ainsi que la législation et la pratique des cinquante-sept pays réunis au sein de l’Organisation de la coopération islamique – l’ONU de l’islam – sont sans ambiguïté.

Alors pourquoi, dans notre pays, les instances juridiques (à commencer par le Conseil constitutionnel), les pouvoirs publics, les hommes politiques, les grands référents chrétiens et juifs, les intellectuels, les journalistes… se satisfont-ils d’une définition sans fondement ?
Ignorance ? Ethnocentrisme de l’ancien dominant qui a plaqué sur une réalité extérieure à sa civilisation et à sa langue un concept totalement inadéquat ? Certainement, mais aussi dérobade devant la difficulté de traiter un problème « sensible ».

On voit les avantages que les musulmans, repartis au siècle dernier à la conquête de l’Europe, retirent de la définition de l’islam-religion. Arguant de nos principes, qu’ils méprisent superbement, et en usant des ressources de la subversion (la taqiyya), les taupes implantées chez nous ne cessent de demander des « accommodements raisonnables », des mosquées dénommées pudiquement « lieux de prière »et interdisent toute critique de leur doctrine et du comportement de leurs fidèles.

 Leurs revendications ne cesseront qu’après la disparition de notre civilisation – une échéance qui ne fait aucun doute pour eux, parce que décidée de toute éternité par Allah, et dont chaque musulman doit hâter la réalisation par tous les moyens : aujourd’hui la taqiyya, demain, si nécessaire, la violence armée.

Le piège est mortel ! Le peuple l’a détecté et, de plus en plus inquiet, il attend une réaction de ses dirigeants, comme le montrent les sondages. Il est clair que, désormais, les citoyens électeurs répartiront leurs voix en jugeant les hommes et les formations, certes sur leur capacité présumée à résoudre la crise économique et financière, mais au moins autant sur leurs déclarations et leurs actes face à l’offensive islamique. 

C’est là une nouvelle donnée de notre vie politique. Quel parti, devenu réaliste, au moins par intérêt, saura en tirer avantage ?

 Pour l’heure, à gauche et à droite, on joue les autruches et les Gribouilles.

 Que décidera le Front national ?

 le 23 mai 2013
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