LES PORTEURS DE VALISES DU FLN ET DE L'ISLAM
EDITO DE CYRANO
Nous sommes gouvernés par les porteurs de valises du FLN et de l’islam
Ce mardi, les 36.000 mairies de France seront invitées à commémorer, pour la première fois, le 19 mars 1962 qui marque, selon l’histoire officielle, la fin de la guerre d’Algérie. Ceux qui, il y a plus de cinquante ans, trahissaient leur pays en portant les valises du FLN, vont continuer à humilier la France, en demandant encore pardon, pour le plus grand plaisir d’un Bouteflika et des dirigeants du FLN, qui, à chaque recul, prennent plaisir à en demander davantage, pour mieux cracher sur notre pays et faire oublier leur incapacité à offrir des perspectives à leur peuple.Alain Dubos ne résumait-il pas la pantalonade de ces commémorations quand il écrivait, dans Riposte Laïque, il y a quelques jours : « La tendance de nos gouvernants à la génuflexion devant les nations que leurs prédécesseurs ont construites de toutes pièces est suffisamment déprimante pour ne pas y ajouter le débouclage de la ceinture et la mise du pantalon aux chevilles. Ces attitudes qui mettent en joie leur futurs compagnons de route du 19 Mars pérennisé ne leur suffisent apparemment pas. S’ils veulent aller au bout de leur geste, qu’ils se tournent donc, qu’ils se mettent dans la position dite de la prière mahométane et qu’ils attendent. Au moins seront-ils cohérents, au chapitre déjà bien fourni de nos humiliations ».
Avons-nous oublié ces pages une du Parisien, dès 1964, qui, aujourd’hui, seraient impubliables ? Avons-nous oublié que Bouteflika, qui a préféré construire des mosquées que des hôpitaux, dans son pays, insulte régulièrement la France, nous accusant de génocide, ni plus ni moins, ce qui ne l’empêche pas de venir se faire soigner chez nous. Avons-nous oublié l’attitude agressive et arrogante de nombre d’Algériens, sur le territoire français, notamment lors de rencontres sportives ? Avons-nous oublié les propos de Malika Sorel, née algérienne, mais à présent uniquement française, qui disait que jamais une nouvelle population ne s’était aussi mal conduite dans un pays d’accueil ?
Devant tant de mensonges historiques, il faut se réapproprier la véritable histoire de notre pays. Les résistants ont les outils pour cela, d’excellents sites internet, des livres, et un film remarquable, « La valise ou le cercueil », de Charly Cassan et Marie Havenel, que Pierre Cassen avait interviewés, il y a quelque temps. Il faut une véritable Reconquista de notre histoire, face aux aux menteurs qui gouvernement notre pays, aujourd’hui, et n’ont de cesse de trahir la France et sa mémoire.
Il y a un an, j’écrivais, dans un édito, ces quelques lignes, après avoir visionné ce film boulevarsant :
Qui sait par exemple que l’intervention française, à Alger, en 1830, avait pour but de mettre fin aux razzias et actes de barbarie commis par les pirates barbaresques, qui empêchèrent, pendant 3 siècles, le commerce de se développer en Méditerranée ? Qui sait que les musulmans vivaient alors du pillage et avaient fait prisonniers plusieurs millions d’esclaves chrétiens, et que les femmes finissaient dans les harem ou les bordels ? A mettre en balance avec la scandaleuse loi de Taubira, en 2001, qui censure toute motion de l’esclavage des blancs et des noirs par les musulmans.
Qui sait qu’Alger était alors un protectorat turc, qui par ailleurs touchait sa dîme sur chaque acte de piraterie ? Qui sait que c’est l’arrivée des Français, victorieux en 43 jours, qui mit fin à trois siècles d’insécurité dans la Méditerranée ? Qui sait que c’est cette victoire qui mit fin, durant toute la présence française, à l’esclavage, n’est-ce pas, Madame Taubira ? Qui sait que c’est la France qui construisit une Algérie où il n’y avait que du sable ? Qui sait que le « féroce colonialiste » amena des médecins, qui soignèrent les populations locales ? Qui sait que la découverte des richesses du sous-sol algérien doit tout à la France ? Qui sait que les constructions de structures, routes, écoles, hôpitaux, c’est encore notre pays ?
Qui sait par exemple que ce qu’on appelle les massacres de Sétif du 8 mai 1945, ont commencé par le massacre d’Européens par des musulmans fanatisés par leurs imams, et que la répression n’a jamais provoqué la mort de 45.000 personnes, comme l’affirme la propagande algérienne, mais qu’elle n’a pas dépassé 1 millier de victimes ?
(…) Qui connaît surtout, après les accords d’Evian, l’abandon total des Français d’Algérie par le gouvernement gaulliste et sa trahison des harkis qu’il désarma avant de les livrer au FLN, qui les massacra sauvagement par milliers ? Qui connaît les véritables ratonnades contre les Européens, organisées, après le 19 mars, par le FLN, pour les faire partir, avec la menace explicite : « la valise ou le cercueil » ? Qui sait que pendant que les musulmans exigent des mosquées en France, en Algérie, ils ont retiré les croix des églises et vandalisé nos cimetières ?
Qui sait que, pour la plus grande honte du gouvernement de l’époque, l’armée française tira à la mitrailleuse sur nos compatriotes désarmés, à Alger et à Bab-el-Oued, prêtant ainsi la main au FLN contre les nôtres ?
Qui sait réellement que ceux qu’on appelait les pieds-noirs étaient fort loin d’être les exploiteurs décrits par toute une gauche compassionnelle, mais étaient surtout de grands travailleurs, attachés à cette terre qu’ils aimaient, et qu’ils perdirent en quittant ce pays pour sauver leur peau ? Qui connaît l’accueil ignoble qu’ils subirent en France, à l’instar du maire de Marseille Gaston Deferre, qui les refusa dans sa ville ?
Aujourd’hui, grâce à ce film, grâce à des ouvrages comme ceux de Jean-Jacques Jordi, interviewé récemment par RL, ou d’Armand Bénesis de Rotrou, grâce à un journaliste iconoclaste comme Robert Ménard, qui, en invitant un historien comme Daniel Lefeuvre, peut faire entendre une autre musique, on peut entendre à propos de cette douloureuse page d’histoire, une autre version que celle du FLN, qui domina les chaînes publiques durant des semaines, ou celle de l’historien Benjamin Stora, ancien trotskiste et dont la version est considérée comme parole d’évangile pour toute la bobocratie médiatique française.
Ce film complète remarquablement le livre de notre ami René Marchand, « Reconquista ou Mort de l’Europe ». De même qu’il faut informer nos compatriotes sur leur histoire, notre devoir est de leur apprendre ce qu’est réellement l’islam, et quels sont les objectifs de ses dignitaires. Inlassablement, cet ouvrage contredit point par point les faussaires propagandistes au service des soldats d’Allah.
Il n’est d’ailleurs pas anodin de constater que cette cérémonie honteuse se déroule juste une année après les assassinats de Merah, attribués, comme d’habitude, par toute la bien-pensance à l’extrême droite, avant qu’ils ne découvrent, horrifiés, que le tueur s’appelait Mohamed.
Aujourd’hui, en s’appuyant sur le témoignage de deux mères voilées de soldats français victimes du jihadiste toulousain, nous avons droit, bien évidemment, à l’escroquerie sémantique habituelle : Merah n’a pu assassiner au nom de l’islam, ce n’est donc pas un musulman !
Eh bien si, et il n’a pas fait qu’appliquer les textes sacrés, comme le disait Hamdane Ammar, dans un article intitulé « Pourquoi ne pas dire aux Français que Merah n’a fait qu’appliquer le Coran« .
En effet, il est temps, n’en déplaise à Malek Chebel et ceux que René Marchand appelle les taupes de l’islam, de dire la vérité aux Français.
Non, l’islam n’est pas une religion d’amour de tolérance et de paix.
Non, l’islam n’est pas qu’une religion, mais une vision politique totalitaire utilisant le fait religieux pour imposer un projet de société théocratique.
Non l’islam, qui interdit la liberté de conscience, n’est pas compatible avec les lois laïques de notre République.
Non, les musulmans ne s’intégreront pas à la France, comme l’ont fait auparavant d’autres strates de l’immigration, parce que ce serait contraire au texte de leur prophète. Comme le disait le roi Hassan II lui-même devant Anne Sinclair médusée, n’essayez pas de les intégrer. « Si vous voulez transformer les musulmans en Français, vous ferez de mauvais musulmans et de mauvais Français. Ils ne seront jamais 100 % Français ».
http://www.youtube.com/watch?v=WX8MSLCgFb0
Non, on ne peut pas être musulman et de nationalité française, c’est-à-dire respectueux des valeurs démocratiques, laïques, égalitaires et républicaines de notre pays. Il faut choisir, il y a incompatibilité.
Non, il ne peut y avoir de cohabitation pacifique, sur un même territoire, entre les habitants d’origine et des nouveaux venus qui sont là pour transformer notre pays en terre d’islam.
Oui, bien évidemment, on peut être né musulman et avoir toute sa place en France. Chaque semaine, Pascal Hilout, Leila Syam, Salem Benammar, Hamdane Ammar, Ahmed Ghlamallah le montrent, en écrivant dans Riposte Laïque. Mais pour cela, il faut avoir abjuré l’islam, sinon la contradiction est impossible. Comme le disait Roger Heurtebise, en quatre articles, il ne peut y avoir de mariage entre Marianne et Mahomet.
http://ripostelaique.com/Mariage-force-entre-Mahomet-et.html
http://ripostelaique.com/Mariage-force-entre-Mahomet-et-1938.html
http://ripostelaique.com/Mariage-force-entre-Mahomet-et-1982.html
http://ripostelaique.com/Mariage-force-entre-Mahomet-et-2013.html
Ces évidences, que les maîtres-censeurs de l’antiracisme, gavés de subventions, veulent à coups de procès, contre nous et d’autres résistants, interdire de faire connaître, nous continuerons d’en informer les Français avec notre site, à présent basé en Suisse, ainsi qu’avec nos conférences et nos livres.
Nous ne voulons pas que cette guerre que l’islam nous a déclarés, nous la perdions.
Nous ne voulons pas que la France que nos ancêtres ont construites, et que nous aimons, devienne le 58e Etat de l’OCI, où les droits de l’Homme sont conditionnés, dans l’article 22, au respect de la charia.
Nous ne voulons pas que les traîtres et les collabos qui nous gouvernent continuent de faire venir sur notre sol, en période de chômage de masse, par centaines de milliers, des nouveaux venus qui renforcent, par leur présence, les millions de musulmans qui misent sur la démographie pour prendre le contrôle du pays, sans avoir à combattre, comme le professe lui-même Youssouf Al Qaradawi, celui qui attend que les religieux finissent le travail d’Hitler en exterminant les Juifs.
Nous voulons que ceux qui veulent nous imposer l’islam et sa loi la charia retournent dans les pays musulmans, et quittent la France, de gré ou de force. A ceux qui nous disent que c’est impossible, vu le nombre, nous rappellerons – ce qu’oublieront de faire les maires qui oseront, demain, commémorer le 19 mars 1962 – qu’il y a aujourd’hui 51 ans, plus de 10 % de la population établie en Algérie quitta ce pays, sous la menace du FLN, avec ce seul choix : « La valise ou le cercueil ».
René Marchand a fait sa première conférence-dédicace, ce samedi 16 mars, à Paris. D’autres se mettent en place, et nous encourageons nos compatriotes à participer la réinformation de leur concitoyens, en montant des réunions publiques autour de « Reconquista ou Mort de l’Europe », ou de « La Valise ou le cercueil ».
Lors de sa conférence parisienne, René Marchand a rappelé cette phrase de Clemenceau, qui ne faisait pas toujours dans la nuance. Le Tigre disait, pendant la guerre de 1914-1918 : « Pour les traitres, 12 balles dans la peau ! »
A ceux qui lui disaient qu’il exagérait, il répondait : « Pour les demi-traitres, 6 balles suffiront ».
Bien sûr, de telles formules, que nous reprenons, ne sont aujourd’hui que des artifices rhétoriques, comme le dit Christine Tasin, car il n’y a pas de guerre menée sur le territoire français, sinon, les médias nous en auraient informé !
(ripostelaique.com)
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