CHRONIQUE DE L'ISLAMISATION DE LA BELGIQUE
Belgique : le parti ISLAM admet vouloir imposer la charia
Lors des dernières élections communales, le parti "Islam", un nouveau parti, a fait élire deux candidats
à Bruxelles.
Pour la première fois en Europe, un parti se réclame
ouvertement de la charia.
Richard Miller, député wallon, prône
l’interdiction de ce parti.
Lors de leur entrée en fonction, les
deux élus ont prêté serment d'allégeance au roi et à la constitution. Or
l'élu Redouane Ahrouch a admis ouvertement son projet d'instaurer la
charia comme loi commune et a confirmé son allégeance à allah et au
coran :
«Je pense qu’un musulman doit être vraiment fidèle à ses
croyances. Tout musulman – un milliard et demi de musulmans sur la planète, savent
très bien que si on embrasse l'islam, on embrasse aussi tout ce qui va avec,
c'est-à-dire le coran, la tradition prophétique, et l'exemple de la biographie
du prophète. Moi en tant que musulman, je peux pas être contre le coran,
c'est un non-sens.»
Ce parti s'expose à être dissous. Lors d'une manifestation à Bruxelles pour protester contre ce parti, Alain Wagner a pris la parole en
tant que représentant français de l'ICLA (Alliance Internationale pour
les Libertés Individuelles). Voici un extrait de son discours dans
lequel il explique pourquoi ce parti n'est pas légal :
«La charia est une loi qui légitime la violence, le viol
conjugal, l'esclavage, l'assassinat des femmes pour raisons d'adultère, des
apostats, des homosexuels, de ceux qui expriment des opinons défavorables sur
leur religion et leur prophète.
La charia a été déclarée par la Cour européenne des droits
de l'homme comme étant incompatible avec les principes démocratiques. Le 13
février 2001, la Haute Chambre déclare que la charia est incompatible avec les
principes démocratiques. La charia prévoit dans son application la destruction
de la démocratie et des droits de l'Homme. Ce n'est pas légal. La Belgique,
comme tous les pays européens, a signé la Convention européenne des droits de
l'Homme. Nos pays démocratiques ont le devoir de protéger les droits de
l'Homme.
L’article 17 de la Convention se lit :
« Interdiction
de l'abus de droit : Aucune des dispositions de la présente Convention
ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou
un individu, un droit quelconque de se livrer à une activité ou
d’accomplir un acte visant à la destruction des droits ou libertés
reconnus dans la présente Convention.»
(Note de PdV : la Déclaration universelle des droits de l’Homme contient
une disposition similaire, à l’article 30).
Donc, le parti Islam n'est pas légal. Il n'a pas le droit
d'avoir des activités visant à la destruction des droits de l'Homme. Et
l'instauration de la charia, même partielle, est une attaque contre les droits
de l'Homme. Les représentants soi-disant élus de ce parti ne sont pas légaux. Il
y a eu une faute grave de l'État qui n'a pas respecté ce traité [la Convention
européenne des droits de l'Homme].
En laissant ce parti agir, nous participons
à la destruction des droits de l'Homme. Il y a donc une crise de l'État, une
crise de la classe politique en général.»
Lire aussi : "La Charia est au droit ce que la barbarie est à la civilisation", par Salem Ben Ammar, docteur en sciences politiques
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