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Sur le blog de JPPS : Vers un sultanat de France
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- jeudi 22 avril 2010
Ayant prophétisé la prise de pouvoir imminente par l’Islam, le « Cassandre » masculin que je suis, se doit maintenant de proposer un scénario à la fois probable, et plausible.
Les djinns m’informent que les choses se feront simultanément au niveau
international, par le rétablissement du califat (un califat « virtuel »,
comme l’évêché de Partenia, de Mgr Jacques Gaillot), et localement, en
Europe – et ailleurs –, par la proclamation « unilatérale » (comme
dirait le « french doctor »), de sultanats ou d’émirats.
Le califat (arabe : khalifa = vicaire) fut la première forme de gouvernement établie par l’islam.
Il représente l’autorité politique et l’unité de la communauté (oumma)
musulmane. Le premier calife fut Abou Bakr (en 632). Après les dynasties
omeyyades, abbassides et fatimides, les souverains ottomans utilisèrent
ce titre, jusqu’à ce que le fondateur de la Turquie « moderne »,
Mustafa Kemal (Atatürk), abolisse le sultanat en 1922, puis le califat
en 1924. Le successeur du dernier calife, Ertugrul Osman, est mort en
2009 (il eût été Osman IV).
Bien que le califat ait « officiellement » disparu, il y a 86
ans, il n’est pas totalement erroné de penser qu’il renaquit de ses
cendres, en 1961, sous le nom de OCI (Organisation de la
Conférence Islamique), et que son Secrétaire général, le Turc Ekmeleddin
Ihsanoglu, pourrait très bien être proclamé « calife » (entre autres,
par Oussama ben Laden, qui s’est déjà prononcé en faveur d’un califat
« virtuel »). En attendant ce jour béni, l’OCI a déjà réussi à faire
voter, par l’ONU, une Résolution sur le blasphème, qui bénéficie avant
tout à l’Islam.
Au niveau local, et particulièrement en France, la stratégie serait la
suivante. Grâce à la débilité mentale de nos gouvernants européens (et
plus particulièrement de Tony Blair, grand communautariste devant
l’Éternel), l’immigration de peuplement et le « syndrome du
ghetto volontaire », ont permis la colonisation d’immeubles, de pâtés de
maisons, de rues (rue Myrha), de quartiers (Scharbeek ou
Saint-Josse, à Bruxelles), de certaines villes (Rotterdam, dont le maire
est marocain), voire de départements (Seine-St-Denis).
Dans ces « enclaves » musulmanes, les « us et coutumes » musulmans sont instaurés
: coutumes alimentaires (abattage rituel et viande hallal, interdiction
du porc et de l’alcool) ; statut personnel et état-civil (répudiation
et polygamie, interdiction de l’homosexualité) ; coutumes vestimentaires
(niqab, burqa)…
Afin d’imposer ces pratiques, des tribunaux de la charia sont créés (plus de 85 en Grande-Bretagne).
La police est chassée à coup de pierres de ces enclaves, et remplacée
par des milices musulmanes, qui peuvent même être autorisées à régler la
circulation (c’est le cas rue Myrha, avec la bénédiction du commissaire
divisionnaire Alain Gibelin).
Quel sera le stade suivant ? Si l’on en croit mes confrères (en
prophéties), comme Éric Zemmour, Geert Wilders ou Alexandre del Valle,
ces « enclaves » feront éventuellement sécession.
Personnellement, et là, ce n’est pas le prophète qui parle, mais le
politologue amateur, je ne pense pas que les islamistes puissent, avant
longtemps, abolir les monarchies en Grande-Bretagne, en Belgique ou aux
Pays-Bas, et proclamer une « République islamique » (même les
terroristes irlandais n’ont jamais osé s’attaquer à la famille royale).
Je pense plutôt à l’institution en France d’un sultanat (ou d’un
émirat). Un organisme d’occupation comme le MbF (Militärbefehlshaber in
Frankreich), ayant à sa tête un Renthe-Fink (Ambassadeur auprès de
Vichy en 1943) arabe, qui informerait poliment le chef de l’État
français (qui pourrait être l’islamophile Dominique de Villepin… né à
Rabat), des desiderata du sultanat.
Ajoutons en conclusion que ce sultanat virtuel ne manquera pas de « conseillers techniques » français de souche : des
personnalités de l’ultra-droite ont déjà fait connaître à leurs futurs
maîtres, leur disponibilité pour une future collaboration… | | | | | | | | | | |
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