INTERDICTION DE LA CIRCONCISION ET DE L'EXCISION
L’Allemagne condamne la circoncision
Le jugement d'un tribunal régional allemand, paru récemment et condamnant la circoncision pour motif religieux comme une atteinte inacceptable à l'intégrité physique de l'enfant lève un pan du voile sur des pratiques religieuses aussi anciennes et inadaptées à notre siècle qu’obsolètes et barbares.
La religion est une relation porteuse de sens entre un individu et
un surnaturel. Cette relation engage le pratiquant vis à vis de lui
même... Cela impacte sa vie.
La mutilation sexuelle d'un enfant, au nom du fait religieux, n'engage pas ceux qui la commandent ni ceux qui pratiquent cette altération de son intégrité, non, car ces derniers se retranchent derrières des millénaires d’histoire. L'acte réalisé, cette mutilation autant
"irresponsable" qu’"irréversible", impacte par contre la vie de l'enfant et le marque à jamais. Le tribunal de Grande Instance de Cologne ne s’y est pas trompé et le rappelle dans son arrêt "Cette modification est contraire à l’intérêt de l’enfant qui doit décider plus tard par lui même de son appartenance religieuse".
Le terme mutilation est le qualificatif exact qu’il faut retenir ici. La définition le démontre : « mutilation : tout acte chirurgical non justifié par une raison thérapeutique » ; c’est un acte de coups et blessures volontaires sur mineur de moins de quinze ans, aggravé par le fait qu’il soit pratiqué ou commandité par un ascendant légitime.
A l'aune des luttes engagées contre les pires dictateurs du Maghreb et du Moyen‑Orient, il est à espérer que le débat qui s’engage en Allemagne trouve non seulement un écho en Europe et aux États-Unis mais également au cœur des pays qui pratiquent le plus cette barbarie même si les derniers résultats électoraux nous laissent à penser le contraire.
L’utilisation du VERBE à des fins de contrôle et de soumission par les instances religieuses, l’utilisation du bien du mal et la menace de l’enfer contre la promesse d’un paradis inaccessible car rarement mérité sont des pratiques qui se concrétisent au travers d’actes barbares tels ceux évoqués dans cette article mais parfois aussi beaucoup plus ultimes et sacrificiels.
Il y a urgence à légiférer sur la base d’un rapport d’enquête parlementaire détaillant ces actes de barbarie que sont l’excision et la circoncision.
Aucune motivation d’ordre religieux ne peut justifier de telles pratiques d’un autre âge.
Aujourd’hui, en France, existe une loi (Art 222-9 et 222-10 du Code pénal) qui condamne l’excision, il faut qu’il en soit de même pour la circoncision, pratique entrant dans le cadre des violences ayant entraîné une mutilation permanente.
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La mutilation sexuelle d'un enfant, au nom du fait religieux, n'engage pas ceux qui la commandent ni ceux qui pratiquent cette altération de son intégrité, non, car ces derniers se retranchent derrières des millénaires d’histoire. L'acte réalisé, cette mutilation autant
"irresponsable" qu’"irréversible", impacte par contre la vie de l'enfant et le marque à jamais. Le tribunal de Grande Instance de Cologne ne s’y est pas trompé et le rappelle dans son arrêt "Cette modification est contraire à l’intérêt de l’enfant qui doit décider plus tard par lui même de son appartenance religieuse".
Le terme mutilation est le qualificatif exact qu’il faut retenir ici. La définition le démontre : « mutilation : tout acte chirurgical non justifié par une raison thérapeutique » ; c’est un acte de coups et blessures volontaires sur mineur de moins de quinze ans, aggravé par le fait qu’il soit pratiqué ou commandité par un ascendant légitime.
A l'aune des luttes engagées contre les pires dictateurs du Maghreb et du Moyen‑Orient, il est à espérer que le débat qui s’engage en Allemagne trouve non seulement un écho en Europe et aux États-Unis mais également au cœur des pays qui pratiquent le plus cette barbarie même si les derniers résultats électoraux nous laissent à penser le contraire.
L’utilisation du VERBE à des fins de contrôle et de soumission par les instances religieuses, l’utilisation du bien du mal et la menace de l’enfer contre la promesse d’un paradis inaccessible car rarement mérité sont des pratiques qui se concrétisent au travers d’actes barbares tels ceux évoqués dans cette article mais parfois aussi beaucoup plus ultimes et sacrificiels.
Il y a urgence à légiférer sur la base d’un rapport d’enquête parlementaire détaillant ces actes de barbarie que sont l’excision et la circoncision.
Aucune motivation d’ordre religieux ne peut justifier de telles pratiques d’un autre âge.
Aujourd’hui, en France, existe une loi (Art 222-9 et 222-10 du Code pénal) qui condamne l’excision, il faut qu’il en soit de même pour la circoncision, pratique entrant dans le cadre des violences ayant entraîné une mutilation permanente.
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