jeudi 30 juillet 2009

SUR LE BLOG DU "BRITISH NATIONAL PARTY"


















How Long Will Judge Ian Trigger Keep His Job?

UN JUGE ANGLAIS DENONCE L'IMMIGRATION DE PEUPLEMENT

July 29, 2009

How long will Judge Ian Trigger keep his job?

This is the question being asked in legal circles after the Liverpool Crown Court judge dared to tell the truth about the great immigration swindle.

Sentencing a Jamaican drug dealer to two years imprisonment, the senior judge declared that hundreds of thousands of migrants poured into Britain merely for the benefit system handouts and this had helped to double the national debt.

Judge Trigger made the remarks while addressing
Rastafarian Lucien McClearley,
who had claimed asylum in Britain.

“Your case illustrates all too clearly the completely lax immigration policy that exists and has existed over recent years,” Judge Trigger said.

“People like you, and there are literally hundreds and hundreds of thousands of people like you, come to these shores to avail themselves of the generous welfare benefits that exist here.

“In the past ten years the national debt of this country has risen to extraordinary heights, largely because central Government has wasted billions of pounds.

Much of that has been wasted on welfare payments.

“For every £1 that the decent citizen, who is hard-working, pays in taxes, nearly ten percent goes on servicing that national debt.

That is twice the amount it was in 1997 when this Government came to power.”

The accused arrived legally in Britain in November 2001 on a visitor’s
visa.

He was arrested in October 2002 after it ran out but claimed asylum and was released while this was being processed.
He then “disappeared from the radar of the authorities” the court heard.

His application was rejected in 2004 but he was only arrested this February after police stopped a car he was driving and noticed it smelled of cannabis.

A search of his house in Everton uncovered cannabis worth £7,200, a gram of cocaine and a fake passport.

Judge Trigger, who is also a part-time immigration judge, told him that
the “fact that it took nearly two years to process your claim shows how
desperate the situation in this country has become.”

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Aux racines du Rastafarisme

Tour à tour considéré comme une religion, un mouvement spirituel,
une philosophie ou une force politique (en Jamaïque, certainement),
le rastafarisme se limite pour plusieurs à un cliché :
Le fan de Bob Marley, portant les dreads, les yeux rougis par l'absorption
de la fumée du cannabis.
Mais encore?
En voici les grandes lignes.
Le rastafarisme est d'abord une religion s'appuyant sur certains écrits
de l'Ancien Testament - le Livre de la Révélation, le Livre des Rois,
le Deutéronome, le Lévitique.
Ses adeptes croient que l'empereur Hailé Sélassié 1er,
roi d'Éthiopie de 1930 à 1974, est le Messie annoncé,
l'incarnation de Dieu (Jah), le Ras Tafari.
Traduit de l'amharique, langue éthiopienne, «ras» signifie «roi»
et«tafari», créateur.
La religion rasta n'est pas organisée autour d'une structure, d'une Église.
C'est une religion personnelle, qui met l'emphase sur la dignité individuelle et un amour profond pour Dieu.

Less rastas n'ont donc pas de lieux de culte.
Cependant, certains d'entre eux font partie de regroupements
tels que les Twelve Tribes of Israel, les Nyabinghi ou les Bobo Ashanti
(les «bobo dreads», qu'on reconnaît à leur turban).
Le plus important regroupement, Twelve Tribes of Israel,
qui accepte les adeptes de toutes les races,
considère le Christ comme le sauveur, au même titre que Hailé Sélassié 1er.
Le mouvement est représenté partout dans le monde.
Au Canada, selon le recensement de 2001, seulement 1135 Canadiens se disaient des adeptes du rastafarisme -865 hommes et 270 femmes-, pour la plupart âgés de 25 à 44 ans.
Mais pour les premiers adeptes, il s'agit tout autant d'un mouvement afrocentrique qui a pris une dimension politique dans les années 60 et 70
et dont la popularité en Jamaïque a coïncidé avec la montée du mouvement nationaliste.

Le roi Sélassié

Il est largement admis que l'année zéro du rastafarisme correspond
au couronnement de Hailé Sélassié 1er à la tête de l'État éthiopien, en 1930.
Sélassié, descendant direct du roi Salomon (il serait de la 225e génération),
était alors reconnu comme chef d'État sur la scène internationale.
«À l'impact que le Ras Tafari a eu devant les forces internationales,
pour les fils de la diaspora africaine, le couronnement de Hailé Sélassié
devenait à ce jour le plus important événement du XXe siècle»,
insiste Lloyd Bradley, auteur de Bass Culture :
When Reggae Was King, important ouvrage sur la musique et la culture jamaïcaine.
L'histoire de la montée en popularité du rastafarisme est marquée par plusieurs héros, aujourd'hui considérés comme des prophètes.
Le plus important d'entre eux est Marcus Mosiah Garvey
le «Jean le Baptiste noir», proclamé héros national par le gouvernement jamaïcain en 1964, 24 ans après sa mort survenue à Londres, où il a été enterré avant que l'État jamaïcain ne rapatrie sa dépouille.

L'apôtre Bob Marley

Cela dit, Robert Nesta Marley est sans l'ombre d'un doute l'ambassadeur
le plus reconnu du mouvement rasta.
Détail intéressant : Bob Marley, alors aux États-Unis, n'a pas été témoin
de la légendaire visite officielle du Ras Tafari Hailé Sélassié 1er
en Jamaïque le 21 avril 1966, au cours de laquelle un nombre vaguement estimé de 100 000 à 200 000 rastas étaient venus l'accueillir.
C'est sa femme Rita Marley qui, ayant été témoin de l'événement,
a converti Bob au rastafarisme.
Bien qu'une des caractéristiques de son oeuvre réside dans l'universalité
des thèmes qu'il aborde - paix, amour, justice sociale -, plusieurs de
ses chansons évoquent des thèmes chers au rastafarisme :
Exodus, Redemption Song, Iron Lion Zion, 400 Years, Natural Mystic,
One Foundation, Rasta Man Chant.
Cependant, ses voyages en Afrique, où il a pris acte de la pauvreté et de l'injustice qui y régnaient, lui ont fait douter de sa foi.
Peu avant sa mort, Marley s'est converti à l'Église orthodoxe éthiopienne qui,
tout en conservant plusieurs bases du rastafarisme, évacue cependant la croyance que le Ras Tafari soit le Messie.

(Cyberpresse, 23 février 2007 par Philippe Renaud - La PresseCollaboration spéciale)
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