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La langue, disait
Esope, est la meilleure et la pire des choses. Esope parlait de la langue, de
bœuf ou de mouton, que l’on mange, mais aussi de la langue que l’on parle, comme
le montrent les exemples dont il illustre son apologue et qui se rapportent à
la parole. En parlant, arguait Esope, on instruit, on persuade, on éclaire,
mais aussi on déforme, on calomnie, on ment. Sous le soleil d’Allah, puisque,
comme chacun sait, depuis que la nazie Undke l’a démontré, ou a cru le faire,
le soleil d’Allah brille sur l’Occident, il ne se passe pas de jour sans que les
médias, les hommes politiques, les importants et les notoires confirment cette vérité
ésopique.
Oui, la langue est double ; elle est toute ambiguïté, ambivalence,
double sens, mensonge fardé de vérité ou poudre de vérité servant à dissimuler
les rides du mensonge.
Nemmouche, Merah et
la smala, Fofana et sa clique, Moussaoui et les innombrables hétéronymes de ce
nom, etc. sont français : du moins, c’est ce que répètent à cor et à cri Valls,
Hollande, Taubira et autres ministres, sénateurs, députés, les journaleux du
Monde (ou de Libé ou du NO ou de Marianne ou l’Huma) et de la 2 (ou de la 3 ou
de la 7 ou de France Inter ou de France Culture), les cultureux, les experts
ès-islams (mais, hélas, inexperts ès-France), les gros consciencieux du social,
etc. Nemmouche, Merah et la smala, Fofana et sa clique, Moussaoui et les
innombrables hétéronymes de ce nom, etc. se sont
« radicalisés » : c’est ce que ressassent dans un même souffle
les mêmes importants, sans jamais examiner la validité de ce processus, si tant
est que c’en soit un. La radicalisation, laquelle n’est jamais définie, ce qui
n’empêche pas que l’évidence en est tenue pour allant de soi, se serait faite
en prison, pas en Algérie, mais en France : c’est ce qu’entonnent en
choeur les mêmes dominants. Merah, Nemmouche, la smala Merah, Fofana et sa
clique, Moussaoui et les innombrables hétéronymes de ce nom, etc. font le
djihad en Syrie, mais aussi en Irak, en Afghanistan, au Mali, en Egypte, etc. :
c’est ce que brament les mêmes perroquets.
Toutes ces
affirmations péremptoires sont assénées à grands coups d’autorité et de
suffisance « scientifique ». En réalité, ce ne sont que de bons et gros
mensonges, bien gras, dodus, replets, prêts à mettre au four et destinés à être
gobés en une fois. Nemmouche, la smala Merah, la clique Fofana, Moussaoui et
ses avatars, etc. sont musulmans, musulmans bon teint et pur sucre, 100%
garantis par les brutes de La Mecque. Ils sont français par accident, musulmans
par essence, par affirmation de soi, par nécessité – musulmans et fiers de
l’être, arborant leur islamité en sautoir, comme un maréchal soviétique se
transformait lors des célébrations publiques en sapin de Noël décoré de
médailles, médaillons, barrettes, galons, franges, etc. Les « autorités »
de l’islam (recteur, imams, docteurs en sciences islamiques, présidents
d’associations culturelles, élus, ministres, etc.) ne défilent pas dans les
rues pour protester contre les meurtres, les attentats, les assassinats, les
pillages. La raison en est simple. Si les coupables, à savoir l’islam, le
Coran, la charia, Mouhammad, etc. étaient désignés, cela vaudrait apostasie.
Ces horreurs ne font d’ailleurs pas réagir les Français. Qu’attendent-ils pour renoncer
collectivement à leur nationalité ? 60 millions de Français brûlant devant
les préfectures cartes d’identité, certificats de nationalité française,
extraits de naissance, etc., voilà un acte de sécession. Il vaut mieux devenir
apatride que de conserver quelque chose en commun avec Nemmouche, Merah,
Fofana, Moussaoui, leurs smalas et leurs cliques de coreligionnaires.
La nationalité
française n’est que le premier mensonge. Le deuxième se rapporte à la
radicalisation. Nemmouche, la smala Merah, la clique Fofana, Moussaoui et ses
avatars, etc. ne se sont pas radicalisés ; ils n’ont même pas eu besoin de
le faire. Ils sont musulmans : cinq prières par jour, fatiha et tout le
tralala, aumônes (mais aux seuls musulmans), pèlerinage, inversion jour-nuit
pendant le mois de ramadan. Moussaoui, Fofana, la smala Merah, etc. ne sont
jamais allés en prison ou, s’ils y ont fait un petit tour, un tout tout petit
tour, un séjournet, ce fut en qualité d’hôtes de marque ou d’enfants gâtés, à
qui la justice « française », de moins en moins française et de plus
en plus islamisée, passe tout, jusqu’au moindre caprice. La prison n’est pour
rien dans ce qu’ils sont, ni dans ce qu’ils font. Elle est, comme la
nationalité, un accident.
Dans le dernier mensonge
« ils font le djihad en Syrie », ce qui est faux, ce n’est pas
« ils font le djihad », puisqu’ils ne font que cela, c’est le
lieu : « en Syrie ». La vérité est qu’ils font le djihad partout
et, comme ils se trouvent en France, ils y font le djihad. Telle est la loi
d’Allah. Leur Coran enjoint de tuer des juifs, ils tuent des juifs. Leur Coran
enjoint de tuer des mécréants, ils tuent des mécréants. Leur Coran enjoint de
tuer des chrétiens (dits associateurs
dans leur langue), ils tuent des chrétiens. Leur Coran ne se contente pas d’enjoindre
de tuer ces hommes, femmes, enfants, vieillards ; il enjoint aussi de les
voler, de piller ou de détruire leurs biens, de les rançonner. Alors, ils
volent, pillent, rançonnent. Musulmans, ils connaissent la sixième obligation,
l’obligation suprême, l’obligation « absente » selon Qotb, à savoir
la guerre contre les mécréants, les juifs, les chrétiens, etc., la guerre
portée dans le dar-el-harb qu’est la France, le grand effort pour soumettre les
Français, mal gré que ceux-ci en aient, à la loi d’Allah.
Rien dans ce que
font Merah, Nemmouche, Fofana, Moussaoui, etc. n’est anormal : tout est
conforme à la loi d’Allah. Le problème, ce n’est pas eux ; c’est nous - non
pas « nous », le peuple, mais ceux qui exercent le pouvoir politique,
symbolique, social, idéologique, les Valls, Taubira, Hollande, les journaleux,
les gros consciencieux du social, les experts, etc. Ils mentent comme ils
mentaient déjà en 1940, quand ils étaient à Vichy, quand ils écrivaient dans Le
Temps ou quand ils péroraient devant les micros de Radio-Paris. Aujourd’hui,
Radio-Paris ment, Radio-Paris est musulman. Variante : Le Monde, France 2,
la 3, Libé, le NO, etc. Les collabos sont de retour ou, plus exactement, ils
n’ont jamais quitté le pouvoir, si ce n’est entre août 1944 et janvier 1946 et
de 1958 à 1974.
Comme les collabos
de 1940, ceux de 2014 font porter la responsabilité de ces crimes sur
l’étranger : c’est la faute de la Syrie, de l’Irak, de l’Iran, de la
Somalie. Les Algériens, les Maliens et les Saoudiens sont étrangement exonérés
de toute complicité. Ou bien c’est la France qui est la cause de tout. Pas
l’islam, non, mais n’importe qui, vous et moi, la prison prétendue « école
du crime », les femmes, la police, les pompiers, qu’il est juste de
lapider. Quand leur Coran enjoint de tuer les juifs, c’est la faute de la
France, des feux de circulation, des hôpitaux, des policiers, etc. ; ce
n’est pas la faute du Coran. Et c’est au moment où des juifs se font tuer en
France par les nazis et les racistes de l’islam que les socialos, écolos et
gauchos font défiler leurs marionnettes décervelées et lobotomisées pour
protester, non pas contre ces tueurs, mais contre le peuple français. En 1942,
ils auraient défilé contre les résistants.
Dès lors, les
ratiocinations sur la francité des tueurs de juifs ou sur les prisons
criminogènes ou sur les méchants Syriens sont un écran de fumée. Que les
journaleux, les experts, les cultureux, les politiciens consultent les
résultats électoraux dans les « quartiers » où vivent les smalas
Merah, les cliques Fofana et Nemmouche ou les hétéronymes de Moussaoui, etc. La
vérité est dans ces urnes, où tous les bulletins sont socialo, écolo, Mélenchon,
Hollande, Royal, Besancenot.
© Jean Moulin
pour LibertyVox
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