lundi 28 janvier 2013

BIENTOT, PLUS UN CHRETIEN AU KOSOVO (GRACE A L'OTAN ...ET AUX GOUVERNEMENTS EUROPEENS)



Muslims burn churches, “hitting the Serbs where it hurts them the most”


via BosNewsLife » Kosovo’s Serb Christians Face “Rising Attacks” Against Orthodox Sites.


Serbian Orthodox Christians in Kosovo struggle with a “sharp rise” in threats and vandalism against their churches and other religious sites, human rights investigators told BosNewsLife Tuesday, January 22.


Since this month’s Orthodox Christmas assailants attacked a monastery, set on fire a chapel and wooden crosses, and destroyed over 100 Orthodox tombstones, reported Belgrade-based Balkan rights group Centar 9.


The clashes are linked to anger within Kosovo’s mainly Muslim Albanian population about the removal of a memorial to fallen fighters in neighboring Serbia.

A memorial to Islamic terrorists the US failed to condemn.


Thousands of ethnic Albanians protested after some 200 masked Serbian police officers backed by armored personnel carriers removed the monument Sunday, January 20, in the town of Presevo.


It bore the names of 27 ethnic Albanian fighters killed during the 2000 conflict in the Presevo Valley, a spillover from the 1999 war in Kosovo, Serbia’s former province.


Local media reported that the ‘Albanian National Army’ group asked supporters on social website Facebook to retaliate by “hitting the Serbs where it hurts them the most,” an apparent reference to churches and other religious sites.


Soon after, dozens of men were seen marching to the Serbian monastery

‘Assumption of the Holy Mother of God’ in Kosovo, which was recently rebuild after being demolished in a 2004 demonstration.


Kosovo police, backed by international police and peacekeepers, dispersed the crowd after they threw stones and firecrackers in last Sunday’s unrest, witnesses said.


Elsewhere, a small chapel was set on fire at an Orthodox graveyard in the ethnically mixed village of Milosevo, while in Priluzje village unknown attackers burned several wooden crosses and exploded a large tombstone, Centar 9 told BosNewsLife.


The January 20-21 unrest also saw the destruction of dozens of Orthodox tombstones, including 27 in Klokot village, Centar 9 said.


The monument also remembers Serbian children killed in ethnic clashes in 2003 near the Bistrica river.

“This [shooting] incident greatly disturbed thousands of Serbs still living in this area,” the group explained.


Tensions have risen since earlier this month 56 Orthodox tombstones were destroyed at the Kosovo Polje graveyard, “in the midst of Serbian Eastern Orthodox celebrations of Christmas holidays,” Centar 9 added.


Kosovo police has been blamed for playing down the violence by reportedly saying the Christmas incident happened at the same location of previous graveyard vandalism. “The incident occurred in Kosovo Polje, in central Kosovo, and not in the village of Makarabe,” as claimed by police, Centar 9 said.


United Nations representatives condemned the attacks.


Fewer than 100,000 Serbs, many of them Orthodx Christians, have remained in Kosovo following a post-war exodus of non-Albanians.
 They live in separate areas watched over by NATO peacekeepers.


Western diplomats have expressed frustration over the slow progress towards reconciliation among the different groups. Kosovo, which broke away and later declared independence from Serbia in 2008, is recognized by some 90 nations, but not by Serbia and its key veto-wielding ally Russia.

Related: The Kosovo Tragedy – where are the churches?
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Déroulement de la guerre

Article détaillé : Opération Allied Force.
Le conflit débute en 1996 avec la création de l'« Armée de libération du Kosovo » (ou UCK), qui amorce une campagne de révolution en assassinant des dirigeants, des policiers et des gardes-frontières serbes, ainsi que les Albanais collaborant avec le régime. Les Serbes ont alors pris de sévères contre-mesures policières et militaires. 

Le point tournant est survenu en mars 1997, lorsque le gouvernement de l'Albanie s'est effondré à la suite d'opérations financières pyramidales ratées. Des arsenaux ont été pillés et ces armes se sont invariablement dirigées en grand nombre vers le Kosovo, où l'UCK naissante livrait aux autorités serbes une véritable guerre d'indépendance.

La communauté internationale a réagi à la crise en 1998, en créant un « groupe de contact » composé de l'Allemagne, des États-Unis, de la France, du Royaume-Uni et de la Russie qui firent d'ultimes efforts diplomatiques en février 1999 lors de la conférence de Rambouillet suite à des allégations de massacres alors que les violences intercommunautaires se multipliaient11.

Human Rights Watch a estimé que les forces serbes avaient expulsé 862 979 Albanais du Kosovo vers la Macédoine et l'Albanie, et que plusieurs centaines de milliers de plus avaient été déplacés à l'intérieur de leur propre pays ; au total, plus de 80 % de toute la population du Kosovo (ou 90 % des Albanais du Kosovo) avaient été chassée de leurs foyers.

 Des rumeurs concernant un plan d'épuration ethnique à grande échelle mené au Kosovo (plan Fer-à-cheval) circulèrent dans les médias occidentaux. Ces rumeurs se révélèrent par la suite infondées.

L'échec des négociations à Rambouillet et l'éventuelle catastrophe humanitaire poussa l'OTAN à intervenir en effectuant une campagne aérienne de bombardement appelée Opération Allied Force.

Le général Wesley Clark dirigea les opérations depuis le Supreme Headquarters Allied Powers in Europe, qui ont commencé le 24 mars 1999.

Celles-ci auraient dû se limiter à des bombardements symboliques durant 3 ou 4 jours pour ramener Belgrade à la table des négociations comme cela s'était passé pour en terminer avec la guerre de Bosnie mais ces bombardements ont finalement duré 78 jours.

58 574 missions aériennes sur ces 78 jours d’opérations ont causé la perte de deux appareils américains au combat (Un F-117 et un F-16), plus de 800 missiles sol-air ont été tirés par la DCA serbe. On compte 4 397 missions SEAD anti-radar.

Au sol, plusieurs forces spéciales des nations de l'OTAN opéraient dans la discrétion, un membre du Special Air Service a été tué12.
Des unités terrestres de l'OTAN se sont concentrées en Macédoine tandis qu'une brigade de l'US Army s'est déployée - avec difficulté - en Albanie ; n'ayant pas participé aux combats, elles seront l'avant-garde de la future KFOR à la fin de ceux-ci.

Une guerre de l'information eut lieu entre les parties en conflit. Les forces de l'OTAN avaient préservé les infrastructures du réseau Internet en ex-Yougoslavie tout en tentant de neutraliser les médias serbes, car « un accès libre et ouvert à Internet ne [pouvait] qu'aider le peuple serbe à connaître la vérité au sujet des atrocités » du régime de Milosevic13.

Ces frappes qui durèrent plus de 70 jours semblent mener à une impasse jusqu’à la conclusion d’un accord entre la République Fédérative de Yougoslavie et les envoyés spéciaux de l’Union européenne, le président finlandais Martti Ahtisaari, et de la Russie, l’ancien premier ministre Viktor Tchernomyrdine, le 3 juin 1999. Ils étaient venus présenter les exigences du G8 pour mettre un terme au conflit du Kosovo à Milosevic. Le cessez-le-feu est accepté par la République Fédérative de Yougoslavie le 9 juin 1999 et met fin à la guerre du Kosovo14.

Le 10 juin 1999, les frappes s'arrêtent et les forces serbes commencent à se retirer du Kosovo investi par la force internationale mandatée par les Nations unies, la KFOR dans le cadre de l'opération Joint Guardian et placé depuis sous l'administration de la Mission intérimaire des Nations Unies au Kosovo en vertu de la Résolution 1244 du Conseil de sécurité des Nations unies.

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