MERCI AU PARQUET DES YVELINES DE REPONDRE A CETTE QUESTION !
Le policier de St Arnoult a-t-il été égorgé par un musulman ?
Cédric Josso
En relisant les dépêches sur la terrible
mort du chef de la police de St Arnoult, des détails me sont apparus.
Voici une des dépêches, la plus détaillée sans doute, publiée par le
Républicain Lorrain* :
La ville de Saint-Arnoult-en-Yvelines est en émoi. Le chef de la police municipale a été égorgé dans son bureau hier. Ce meurtre s’est déroulé entre 12 h 30 et 13 h. L’auteur présumé des faits est l’ex-mari de la compagne de la victime, d’après la gendarmerie. Cette dernière avait été menacée par le passé.
A la mi-journée, elle avait reçu un SMS de ce dernier « lui indiquant qu’il venait de tuer Cédric Josso », a déclaré le procureur de Versailles Vincent Lesclous. La jeune femme donne alors l’alerte.
Mais il est trop tard car à peu près au même moment, les pompiers sont appelés pour venir à la mairie de Saint-Arnoult au secours du chef de la police municipale. La compagne de la victime est immédiatement placée sous protection des gendarmes. Activement recherché, l’auteur présumé, un chauffeur routier âgé d’environ 45 ans, s’est présenté de lui-même à la gendarmerie de Saint-Arnoult-en-Yvelines peu avant 14 h.
La victime est un trentenaire, originaire de Bretagne, père de deux enfants de 3 et 8 ans, a indiqué le Syndicat de défense des policiers municipaux (SDPM). Il avait demandé sa mutation près de Béziers, en Languedoc-Roussillon, selon ce syndicat.
Cette décision aurait suscité la colère de l’ancien mari de sa compagne, considéré comme « violent et agressif », a expliqué le président du SDPM, Cédric Michel. Selon Frédéric Foncel, secrétaire général du Syndicat national des policiers municipaux-FO (SNPM-FO), les cinq policiers municipaux de Saint-Arnoult, dont leur chef, ne sont pas armés : « S’il avait été armé, il aurait pu se défendre et neutraliser son agresseur. » Selon une source proche de l’enquête, le meurtrier a toutefois pu tuer sa victime en la surprenant par derrière.
Avez-vous, comme moi, remarqué des
anomalies ? L’article révèle le nom de la victime, du procureur, du
président du SDPM et celui du secrétaire général du syndicat des
policiers municipaux, soit celui de toutes les personnes qui entourent
l’affaire, ou presque…
Le journaliste ne publie pas, en
revanche, celui de l’auteur présumé et de son ex-femme, devenue
compagne de la victime. L’article précise l’origine de la victime, pas
celle de l’auteur présumé.
Je ne serais pas étonné que si le nom
l’auteur de l’égorgement et son ex-femme sont cachés, c’est parce qu’ils
sont à consonance musulmane.
Je ne serais pas étonné que ces noms sont
censurés pour dissuader les français de faire le rapport entre cet
égorgement, et les égorgements qui se produisent quotidiennement en
terre d’islam.
Et je ne serais pas étonné que, parmi
les différents motifs de ce tragique assassinat, on trouve du racisme
anti-blanc, et l’insoutenable fait que l’ex-femme du coupable présumé
l’ait quitté pour un non-musulman.
Je peux me tromper et je n’en serais pas
fâché. Je n’ai qu’une intention : que les faits soient connus, et
certainement pas d’accabler une communauté.
Je ne sais pas si les médias feront leur
travail et diront la vérité, rien que la vérité, toute la vérité. Je
pense que la famille de la victime, dont je partage la douleur et à qui
je présente ici toutes mes condoléances, méritent, c’est bien le moins,
de connaître l’entière vérité de ce drame.
Si j’ai raison, est-ce important de savoir que le criminel est peut-être musulman ?
Je le pense, parce que les français
doivent tout connaître des mœurs des peuplades qu’ils ont généreusement
décidé d’accueillir sur leur sol. Ils doivent savoir que la catastrophe
du multiculturalisme que les bobos tentent encore d’imposer aux autres
(surtout pas à eux) peut avoir des conséquences dramatiques. Ils doivent
savoir que les couples mixtes dont l’un est musulman n’est pas aussi
neutre qu’avec des asiatiques ou des européens.
Et puisque la quasi totalité des hôtes
des prisons sont des gens issus de l’immigration du Maghreb et du
Sahara, il ne faudra plus beaucoup de temps avant que délinquant =
immigrant, alors qu’immigration ≠ délinquance.
Je ne connais pas les
statistiques sur le mode opératoire des criminels, et j’ignore donc si
l’égorgement était aussi répandu il y a quarante ans, quand la
délinquance des immigrés était inexistante, que maintenant. C’est une
question qui doit être posée.
Et si je ne posais pas ces questions, je serais comme la plupart des journalistes, aliéné.
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
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