EST-IL POSSIBLE D'ETRE, COMME JPPS, ANARCHO-MONARCHISTE ?
On a coupé la tête à nos racines
Louis de Bourbon (1974-)
Louis de Bourbon,
« duc d’Anjou »
« duc d’Anjou »
Photographie de Louis de Bourbon, en 2006.
« Louis XX de France et IX de Navarre »
Titre | « Duc d’Anjou » « Duc de Bourbon » |
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Prédécesseur | Alphonse de Bourbon |
Dynastie | Maison de Bourbon-Anjou |
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Naissance | 25 avril 1974 Madrid (Espagne) |
Père | Alphonse de Bourbon |
Mère | Carmen Martínez-Bordiú |
Conjoint(s) | Marie-Marguerite Vargas Santaella |
Enfant(s) | Eugénie de Bourbon Louis de Bourbon Alphonse de Bourbon |
Héritier | Louis de Bourbon |
Il est de nationalité espagnole et française.
Depuis le 30 janvier 1989, il est le chef de la branche aînée de la Maison de Bourbon et est considéré par ses partisans, les légitimistes, comme l’héritier de la Couronne de France sous le nom de « Louis XX ».
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Henri VII (comte de Paris), ( duc de France )
Depuis 1999
Mgr le comte de Paris est le Prétendant au trône de France depuis le 19 juin 1999. Il est, depuis la mort de son père, le « chef de la maison de France », de par sa position d’aîné des descendants en primogéniture mâle de Philippe de France (fils de France, frère de Louis XIV, duc d’Anjou puis d’Orléans, père du Régent).
De jure « Henri VII » pour les Royalistes, Henri d’Orléans fait usage des pleines armes de France (« d’azur à trois fleurs de lis d’or »).
Mgr le comte de Paris et Duc de France, de jure Henri VII======================================
– par Éric Muth
Pour l'acteur et
écrivain Lorant Deutsch, l'histoire de notre pays s'est arrêtée en 1793 : « À
la mort de Louis XVI, cet évènement a marqué la fin de notre civilisation, on a
coupé la tête à nos racines et depuis on les cherche ».
Déjà,
Henri VI comte de Paris (1908-199) dénonçait en son temps les méfaits d'une
république partisane : « Il faut réapprendre aux Français ce qu'est la
France, la nation, l'intérêt commun.
La redécouverte de la monarchie les y aidera. La tâche est
ardue, car la république a dressé d'elle un portrait abominable ».
D'après
lui, la république est fondée sur le mensonge idéologique et historique qui
fait naître le sectarisme partisan : « La monarchie Capétienne, en revanche,
l'est sur le compromis politique social et l'arbitrage. Hugues Capet et ses
descendants, hissés sur le pavois par les grands barons, s'empressèrent
d'organiser et de soutenir les Communes, par ce subtil dégagement, ils fondaient
l'avenir de la Monarchie et le loyalisme populaires ».
LA
MONARCHIE, DERNIER REMPART DE NOTRE CIVILISATION ?
Presque
160 ans sans roi, c'est un temps fort long pour des générations qui vivent de
plus en plus dans une sorte de « temps accéléré », voire de « présent
perpétuel » et, du coup, c'est la république, qu'elle soit la troisième,
la cinquième ou la treizième, qui est devenue la tradition, et qui semble se confondre
avec l'histoire de notre pays :
" Bien sûr, cela n'enlève rien à la vérité
historique qui n'est guère à la gloire de la république quand on la compare à
la Monarchie ; bien sûr, il est important de mieux connaître notre passé, sans
préjugé ni faiblesse, et d'en montrer les grandes lignes de force, et comment la
Monarchie a souvent su affronter ce que la république a préféré ne pas voir, au
risque d'entraîner le pays dans des catastrophes dont il paye encore le prix,
ne serait-ce que moral ; bien sûr, il faut démonter la "matrice républicaine"
par excellence que constitue souvent l'éducation nationale, en particulier à
travers les manuels d'histoire dont on a parfois l'impression qu'ils ont été
rédigés non pour instruire, mais pour "formater" les jeunes
intelligences au service d'une république et de ses "fumeuses"
valeurs, plus hypocrites qu'autre chose... », s'inquiète Jean-Philippe
Chauvin.
LA
REPUBLIQUE GERE LE PROVISOIRE
« La
république gère le provisoire, alors que la Monarchie pense le long terme »
estime Stéphane Bern. En effet, il faut réintroduire la notion de long terme dans
la politique, et en montrer tout l'intérêt pour la société pour avoir une
chance d'être entendu, ou au moins écouté, par nos concitoyens.
De
nombreux philosophes et hommes politiques évoquent cette nécessité d'une
inscription du long terme dans l'action de l'État pour que celle-ci et celui-ci
soit efficace. Ainsi en juin 2006, le philosophe Michel Serres discourait sur
France-Info de la question de la vitesse et du temps, et il expliquait que
notre société ne « prend plus le temps », qu'elle ne cesse de courir,
par exemple d'une élection à l'autre.
Et Michel Serres de regretter que, dans
le domaine politique, tout se fasse désormais dans la précipitation et sur le
cours terme, alors que la véritable efficacité est rendue possible par le long
terme. Le philosophe insistait alors sur la nécessité de créer des institutions
qui disposent du temps, du long terme.
Et
que dit l'actuel Comte de Paris et Duc de France au sujet de cette « France »
en déroute : « Les Rois de France ont construit la France en mille ans. La
République actuelle la brade et y installe le chaos. Un pouvoir qui ne respecte
pas les différences... L'unité de la France doit se construire par la diversité
de ce pays et avec les Français, avec chaque Français, car la France a vocation
d'être une et indivisible dans sa multiplicité ».
La
situation actuelle ? : « Nous sommes dans l'œil du cyclone. Celui-ci est
déjà en marche, peu sont ceux qui s'en doutent ».
Les Princes sont
tournés vers l'avenir de la France et des Français et peuvent les aider.
À nous
journalistes, de trouver les moyens de les rassembler.
(francepresseinfos.com)
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