lundi 12 novembre 2012

EST-IL POSSIBLE D'ETRE, COMME JPPS, ANARCHO-MONARCHISTE ?

On a coupé la tête à nos racines

 Louis de Bourbon (1974-)


Louis de Bourbon,
« duc d’Anjou »
Description de cette image, également commentée ci-après
Photographie de Louis de Bourbon, en 2006.



« Louis XX de France et IX de Navarre »
Titre « Duc d’Anjou »
« Duc de Bourbon »
Prédécesseur Alphonse de Bourbon
Biographie
Dynastie Maison de Bourbon-Anjou
Naissance 25 avril 1974 (38 ans)
Madrid
(Espagne)
Père Alphonse de Bourbon
Mère Carmen Martínez-Bordiú
Conjoint(s) Marie-Marguerite Vargas Santaella
Enfant(s) Eugénie de Bourbon
Louis de Bourbon

Alphonse de Bourbon
Héritier Louis de Bourbon
Description de cette image, également commentée ci-après

Louis de Bourbon (de son nom de naissance Louis Alphonse Gonzalve Victor Emmanuel Marc de Bourbon) né à Madrid le 25 avril 1974 est connu, à la suite de son père et de son grand-père, sous le titre de « duc d’Anjou », porté par leur ancêtre Philippe de France (1683-1746) avant de devenir Philippe V d’Espagne

Il est de nationalité espagnole et française.

Depuis le 30 janvier 1989, il est le chef de la branche aînée de la Maison de Bourbon et est considéré par ses partisans, les légitimistes, comme l’héritier de la Couronne de France sous le nom de « Louis XX ».

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Henri VII (comte de Paris), ( duc de France )
Depuis 1999

 442px-henri-vii.jpgMgr le comte de Paris est le Prétendant au trône de France depuis le 19 juin 1999. Il est, depuis la mort de son père, le « chef de la maison de France », de par sa position d’aîné des descendants en primogéniture mâle de Philippe de France (fils de France, frère de Louis XIV, duc d’Anjou puis d’Orléans, père du Régent). 
De jure « Henri VII » pour les Royalistes, Henri d’Orléans fait usage des pleines armes de France (« d’azur à trois fleurs de lis d’or »).
Mgr le comte de Paris et Duc de France, de jure Henri VII

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par Éric Muth



Pour l'acteur et écrivain Lorant Deutsch, l'histoire de notre pays s'est arrêtée en 1793 : « À la mort de Louis XVI, cet évènement a marqué la fin de notre civilisation, on a coupé la tête à nos racines et depuis on les cherche ».
Déjà, Henri VI comte de Paris (1908-199) dénonçait en son temps les méfaits d'une  république partisane : « Il faut réapprendre aux Français ce qu'est la France, la nation, l'intérêt commun. 
La redécouverte de la monarchie les y aidera. La tâche est ardue, car la république a dressé d'elle un portrait abominable ».
D'après lui, la république est fondée sur le mensonge idéologique et historique qui fait naître le sectarisme partisan : « La monarchie Capétienne, en revanche, l'est sur le compromis politique social et l'arbitrage. Hugues Capet et ses descendants, hissés sur le pavois par les grands barons, s'empressèrent d'organiser et de soutenir les Communes, par ce subtil dégagement, ils fondaient l'avenir de la Monarchie et le loyalisme populaires ».


LA MONARCHIE, DERNIER REMPART DE NOTRE CIVILISATION ?

Presque 160 ans sans roi, c'est un temps fort long pour des générations qui vivent de plus en plus dans une sorte de « temps accéléré », voire de « présent perpétuel » et, du coup, c'est la république, qu'elle soit la troisième, la cinquième ou la treizième, qui est devenue la tradition, et qui semble se confondre avec l'histoire de notre pays :
 " Bien sûr, cela n'enlève rien à la vérité historique qui n'est guère à la gloire de la république quand on la compare à la Monarchie ; bien sûr, il est important de mieux connaître notre passé, sans préjugé ni faiblesse, et d'en montrer les grandes lignes de force, et comment la Monarchie a souvent su affronter ce que la république a préféré ne pas voir, au risque d'entraîner le pays dans des catastrophes dont il paye encore le prix, ne serait-ce que moral ; bien sûr, il faut démonter la "matrice républicaine" par excellence que constitue souvent l'éducation nationale, en particulier à travers les manuels d'histoire dont on a parfois l'impression qu'ils ont été rédigés non pour instruire, mais pour "formater" les jeunes intelligences au service d'une république et de ses "fumeuses" valeurs, plus hypocrites qu'autre chose... », s'inquiète Jean-Philippe Chauvin.

LA REPUBLIQUE GERE LE PROVISOIRE

« La république gère le provisoire, alors que la Monarchie pense le long terme » estime Stéphane Bern. En effet, il faut réintroduire la notion de long terme dans la politique, et en montrer tout l'intérêt pour la société pour avoir une chance d'être entendu, ou au moins écouté, par nos concitoyens.
De nombreux philosophes et hommes politiques évoquent cette nécessité d'une inscription du long terme dans l'action de l'État pour que celle-ci et celui-ci soit efficace. Ainsi en juin 2006, le philosophe Michel Serres discourait sur France-Info de la question de la vitesse et du temps, et il expliquait que notre société ne « prend plus le temps », qu'elle ne cesse de courir, par exemple d'une élection à l'autre.
Et Michel Serres de regretter que, dans le domaine politique, tout se fasse désormais dans la précipitation et sur le cours terme, alors que la véritable efficacité est rendue possible par le long terme. Le philosophe insistait alors sur la nécessité de créer des institutions qui disposent du temps, du long terme.
Et que dit l'actuel Comte de Paris et Duc de France au sujet de cette « France » en déroute : « Les Rois de France ont construit la France en mille ans. La République actuelle la brade et y installe le chaos. Un pouvoir qui ne respecte pas les différences... L'unité de la France doit se construire par la diversité de ce pays et avec les Français, avec chaque Français, car la France a vocation d'être une et indivisible dans sa multiplicité ».
La situation actuelle ? : « Nous sommes dans l'œil du cyclone. Celui-ci est déjà en marche, peu sont ceux qui s'en doutent ».
Les Princes sont tournés vers l'avenir de la France et des Français et peuvent les aider. 
À nous journalistes, de trouver les moyens de les rassembler.

(francepresseinfos.com)
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