CES BRAVES MUZZ
Le juge prétend que les 47 jeunes filles étaient
ciblées car elles n’appartenaient pas à la communauté religieuse des
agresseurs.
Certaines ont été violées plusieurs fois par jour. Une adolescente a été abusée par une vingtaine d’hommes en une seule nuit. Un responsable musulman affirme que pour certains immigrés pakistanais, les filles blanches sont sans valeur et peuvent donc être abusées sans remords. [1]
Neuf hommes d’origines pakistanaise et afghane ont été condamnés
mercredi en Grande-Bretagne à de la prison pour avoir utilisé des jeunes
filles blanches vulnérables comme esclaves sexuelles, une affaire qui a
suscité une polémique.
Huit des suspects, âgés de 22 ans à 59 ans, sont d’origine pakistanaise, le neuvième étant un demandeur d’asile afghan.
Ces hommes, parmi lesquels des chauffeurs de taxi, un professeur de religion, un employé de fast-food, étaient pour certains mariés et pères de famille.
L’origine des condamnés et le fait que leurs victimes étaient des jeunes filles blanches a provoqué un débat, même si la police a affirmé que les motivations des agresseurs n’étaient pas de nature raciale.
Une vingtaine de membres de l’organisation d’extrême droite, English Defence League, ont manifesté lors du verdict.
Et un représentant de la communauté musulmane locale, Mohammed Shafiq, a affirmé que cette affaire illustrait un problème important concernant la communauté britannique pakistanaise, au sein de laquelle des hommes pensent que les adolescentes blanches ne valent rien et peuvent être agressées.[2]
Si aujourd’hui, ils ont été condamnés, la police a pourtant été mise en cause dans cette affaire. (…) C’est finalement l’arrivée d’un nouveau chef de la police à l’été 2011 qui a permis la réouverture du dossier. L’ancienne équipe a depuis présenté ses excuses et a indiqué qu’elle tirait toutes les leçons de son erreur. Pourtant, la polémique demeure. Selon certains, les autorités auraient volontairement étouffé l’affaire afin d’éviter une récupération par l’extrême-droite et l’apparition de tensions raciales.
Les neuf hommes sont en effet tous d’origine pakistanaise et n’ont attaqué que des adolescentes blanches.
La député du parti travailliste, Ann Cryer, a ainsi affirmé que les enquêteurs avaient «peur d’être traité de racistes».(…) De leur côté, certains accusés ont affirmé que leur condamnation était due à leurs origines et à leur religion.
Leurs avocats ont d’ailleurs indiqué que le jury populaire, composé exclusivement de personnes blanches, était selon eux raciste. [3]
(defrancisation.com)
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Certaines ont été violées plusieurs fois par jour. Une adolescente a été abusée par une vingtaine d’hommes en une seule nuit. Un responsable musulman affirme que pour certains immigrés pakistanais, les filles blanches sont sans valeur et peuvent donc être abusées sans remords. [1]
Un gang de musulmans arrêté pour des viols sur des jeunes filles blanches
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L’origine des condamnés et le fait que leurs victimes étaient des jeunes filles blanches a provoqué un débat, même si la police a affirmé que les motivations des agresseurs n’étaient pas de nature raciale.
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Selon certains, les autorités auraient
volontairement étouffé l’affaire afin d’éviter une récupération par
l’extrême-droite et l’apparition de tensions raciales. (…) La député du
parti travailliste, Ann Cryer, a ainsi affirmé que les enquêteurs
avaient «peur d’être traité de racistes».
(…) Les jeunes filles, dont l’une âgée de 13 ans a dû subir un
avortement après être tombée enceinte, ont été violées, forcées à avoir
des rapports sexuels avec plusieurs hommes par jour, plusieurs fois par
semaine, selon les témoignages présentés au tribunal. (…)Huit des suspects, âgés de 22 ans à 59 ans, sont d’origine pakistanaise, le neuvième étant un demandeur d’asile afghan.
Ces hommes, parmi lesquels des chauffeurs de taxi, un professeur de religion, un employé de fast-food, étaient pour certains mariés et pères de famille.
L’origine des condamnés et le fait que leurs victimes étaient des jeunes filles blanches a provoqué un débat, même si la police a affirmé que les motivations des agresseurs n’étaient pas de nature raciale.
Une vingtaine de membres de l’organisation d’extrême droite, English Defence League, ont manifesté lors du verdict.
Et un représentant de la communauté musulmane locale, Mohammed Shafiq, a affirmé que cette affaire illustrait un problème important concernant la communauté britannique pakistanaise, au sein de laquelle des hommes pensent que les adolescentes blanches ne valent rien et peuvent être agressées.[2]
Si aujourd’hui, ils ont été condamnés, la police a pourtant été mise en cause dans cette affaire. (…) C’est finalement l’arrivée d’un nouveau chef de la police à l’été 2011 qui a permis la réouverture du dossier. L’ancienne équipe a depuis présenté ses excuses et a indiqué qu’elle tirait toutes les leçons de son erreur. Pourtant, la polémique demeure. Selon certains, les autorités auraient volontairement étouffé l’affaire afin d’éviter une récupération par l’extrême-droite et l’apparition de tensions raciales.
Les neuf hommes sont en effet tous d’origine pakistanaise et n’ont attaqué que des adolescentes blanches.
La député du parti travailliste, Ann Cryer, a ainsi affirmé que les enquêteurs avaient «peur d’être traité de racistes».(…) De leur côté, certains accusés ont affirmé que leur condamnation était due à leurs origines et à leur religion.
Leurs avocats ont d’ailleurs indiqué que le jury populaire, composé exclusivement de personnes blanches, était selon eux raciste. [3]
(defrancisation.com)
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