UN EXCELLENT ARTICLE DE MARC NOE
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Les Blancs sont-ils de race inférieure
- par Marc NOÉ
Une Histoire mondiale tumultueuse
L'Histoire
du monde se révèle être une longue succession de luttes, d'antagonismes
d'ordre politique, idéologique, religieux, racial, voire de chocs et de
conflits de civilisations. Ces différents aspects étant, par ailleurs,
souvent étroitement imbriqués et simultanés. Pour mémoire citons
quelques exemples : l'avènement du monothéisme moyen-oriental contre les
religions antiques, Rome contre le monde "barbare", le Christianisme
contre le Paganisme ou polythéisme européen, les guerres ou rivalités
entre Chrétiens (Catholiques, Protestants, Orthodoxes, Anglicans) puis
entre monothéistes (Chrétiens, Musulmans) ; la querelle des idéalistes
contre les matérialistes, puis celle des matérialistes entre eux
(marxisme et capitalisme). Aucune page d'Histoire n'est exempte de ce
genre de rivalités où chaque camp essaie d'affirmer sa supériorité sur
l'autre d'une manière ou d'une autre.
Notre
monde d'aujourd'hui n'échappe pas à la règle qui voit, notamment,
s'affronter l'idéologie raciste et l'idéologie antiraciste, sans pour
autant ignorer leur étroite imbrication avec d'autres :
capitalisme-anticapitalisme, socialisme-antisocialisme,
étatisme-libéralisme... Chaque force active provoquant immanquablement
une force contraire. Alors, qu'en est-il ?
L'idéologie raciste
Globalement,
l'idéologie raciste veut affirmer la suprématie d'une race et de sa
culture sur les autres. On en sait les effets surtout au travers des
évènements de la Deuxième Guerre Mondiale. Mais à côté des théories
d'Adolphe HITLER et de leurs funestes conséquences que tout le monde
connait, d'autres propos nullement belliqueux mais néanmoins tout aussi
racistes nous viennent de personnalités reconnues et tenues pour
exemplaires. Quelques citations:
"Il
faut dire ouvertement que les races supérieures ont un droit vis à vis
des races inférieures. Elles ont le devoir de civiliser les races
inférieures." Jules FERRY - Discours devant les Députés - 1885.
(http://www.volcreole.com/forum/sujet-23354.html)
(http://www.volcreole.com/forum/sujet-23354.html)
"Si nous avons le droit d’aller chez ces barbares, c’est parce que nous avons le devoir de les civiliser". Jules FERRY
(http://www.anticolonial.net/spip.php?article4)
(http://www.anticolonial.net/spip.php?article4)
"Il faut non pas les traiter en égaux, mais se placer au point de vue d’une race supérieure qui conquiert". Jules FERRY
(http://www.anticolonial.net/spip.php?article4)
(http://www.anticolonial.net/spip.php?article4)
"Nous
admettons le droit et même le devoir des races supérieures d'attirer à
elles celles qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de
les appeler aux progrès réalisés grâce aux efforts de la science et de
l'industrie." Léon BLUM - 1925.
(http://www.volcreole.com/forum/sujet-23354.html)
(http://www.volcreole.com/forum/sujet-23354.html)
Voilà
résumé en quelques phrases les ressorts et les motivations de la
politique coloniale prônée par des personnalités laïques et
républicaines au-dessus de tout soupçon et qui, cependant, n'ont jamais
fait l'objet d'attaques de la part des lobbies antiracistes. L'actuel
"Droit d'ingérence" n'est que la forme plus récente de cet état d'esprit
supérieur et condescendant. En effet, au motif que les idées et visions
du monde de quelques-uns seraient intrinsèquement des valeurs
universelles, elles doivent par conséquent être exportées et appliquées
de gré ou de force à toutes les populations, quelles que soient leurs
cultures, leurs mœurs, leurs identités et traditions particulières.
Alors
bien sûr, il ne s'agit pas de mettre HITLER, FERRY et BLUM dans le même
sac. Le premier théorise la notion de "race supérieure", l'assimile à
une sorte de matérialisme biologique, et penche pour l'extermination des
Juifs, entre autres ; les deux autres en restent à une "posture de
supériorité et de condescendance" pour justifier la colonisation. Une
colonisation qui, loin de s'apparenter à un génocide, doit aussi être
considéré sous ses aspects tant économico-financiers que
géostratégiques.
Évidemment,
entre ces trois personnalités, comme on dit : "Y a pas photo". Ici, il
convient juste de noter que les notions de "race supérieure" et de
"supériorité" tout court, sont présentes dans les divers types de
discours conquérants.
L'idéologie antiraciste
Pour
sa part, dans un contexte de mondialisation économique déclarée
obligatoire et où l'identité des Peuples ne compte guère, l'idéologie
antiraciste aboutit aujourd'hui à vouloir faire cohabiter sur le même
territoire des populations complètement différentes et qui ne le
souhaitent pas, nonobstant l'hypocrisie de certains discours militants.
Dans
son combat pour faire triompher sa cause, cette idéologie ne fait rien
d'autre, elle aussi, que tenter d'affirmer la supériorité de ses thèses.
Elle n'a de cesse de vouloir prouver qu'elle a raison en éliminant
l'adversaire. Il s'agit, là encore, d'un discours de conquête qui se
veut supérieur.
Alors
que la planète entière est truffée de luttes raciales ou ethniques, il
faut remarquer que, dans la pratique, le champ d'opération de
l'antiracisme se limite quasiment aux seuls territoires occidentaux et,
d'une manière générale, aux régions gouvernées par des Blancs. Dans ces
zones géographiques, l'antiracisme s'avère donc être spécifiquement une
"arme anti-Blanc". Dans les faits, il n'est rien d'autre qu'un racisme
anti-Blanc et l'Islam conquérant -c'est un pléonasme- en a fait son
"Taser" favori. Résultat de l'opération pour les Pays d'Europe :
communautarismes, volonté d'être distingué et reconnu (donc
discrimination), revendications culturelles et cultuelles, haines
raciales ou ethniques (race = notion biologique et taxinomique / ethnie =
entité d'héritage socioculturel ), jalousies sociales, agressions
répétées et, à terme, guerres civiles interethniques ou interraciales.
La dernière phase est déjà "dans la seringue".
Paradoxalement,
il faut noter que beaucoup d'antiracistes nient l'existence des races,
alors que les Lois antiracistes font elles-mêmes référence aux
appartenances raciales et ethniques. Parallèlement, tout le monde parle
sans complexe des Pays ou Émirats Arabes, de l'Afrique Noire mais jamais
de l'Europe Blanche. Tout ce qui est Blanc serait-il donc suspect ?...
Mais suspect de quoi ?... de racisme, forcément. D'où l'antiracisme.
CQFD ! Mais alors, il faudrait savoir : elles existent ou pas les races ?
Apparemment,
elles semblent bien exister puisque le CRAN (Conseil Représentatif des
Associations Noires) fait explicitement référence à une race lorsque,
dans le préambule de ses statuts, il affirme que " les populations
noires sont encore confrontées à des préjugés séculaires".
L'Article
2 de ces mêmes statuts précise encore que le CRAN a pour but de "
promouvoir la solidarité au sein des populations noires de France" et de
" promouvoir l’image des populations noires et œuvrer pour le
développement et la dignité de ces populations".
Si
le verbe discriminer signifie distinguer, différencier, ne sommes-nous
pas ici face à une discrimination bien réelle ?... et autorisée par la
Loi !
Imaginons
un instant le tollé unanime des bobos et antiracistes de tous poils si
un Blanc venait à créer le CRAB (Conseil Représentatif des Associations
Blanches) !
Et
puis il y a surtout cet aspect culpabilisant tendant à rendre le Blanc
responsable de tout ou presque tous les maux. Ainsi le Blanc est-il tenu
pour responsable de l'esclavage, par exemple, en omettant soigneusement
de dire que tous les Peuples -toutes races confondues- l'ont pratiqué à
un moment ou à un autre de leur Histoire. Aujourd'hui certains États le
pratiquent encore et ce ne sont pas des États Blancs. Au fait, un
Français a-t-il songé à faire un procès à Silvio BERLUSCONI au motif que
les Romains, ancêtres des Italiens, ont réduit 80000 Gaulois en
esclavage après la chute d'Alésia, en 52 av. JC ? Un Noir a-t-il
seulement pensé à trainer en justice tel ou tel État Africain parce-que,
à certaines époques, les chefs de tribu vendaient leurs prisonniers et
même certains membres indésirables de leurs entourage à d'autres
négriers, qu'ils soient Noirs, Arabes ou Blancs ? Un Européen (
Français, Italien, Espagnol principalement) envisage-t-il un procès à
l'encontre de Abdelaziz BOUTEFLIKA en raison des razzias effectuées par
les Barbaresques de l'Algérois, pendant des siècles, sur les populations
côtières et destinées à alimenter les marchés aux esclaves, avec la
bénédiction de l'Empire Ottoman ? La traite des Blancs et des Blanches
est aussi une réalité historique !.. et c'est d'ailleurs ce qui a motivé
la prise d'Alger par les Troupes Françaises, en 1830. Le pétrole et le
gaz n'avaient rien à voir dans l'affaire.
En
agissant comme elle le fait, mensonge, omission, réécriture de
l'Histoire, l'idéologie antiraciste ne fait donc qu'exacerber, chez les
uns et les autres, la montée du racisme qu'elle prétend combattre.. et
réciproquement d'ailleurs. Il y a là comme un effet pervers de vases
communicants alors que, quelle que soit sa race, un homme n'a pas à
rougir de ce qu'il est, le Blanc comme les autres !
Une Terre, un Peuple
Les
différentes races ne sont pourtant pas nécessairement ou génétiquement
ennemies... alors pourquoi créer des conditions débouchant sur de tels
antagonismes ? La nature même du monde étant déjà conflictuelle, n'y
a-t-il donc pas suffisamment d'autres motifs à guerroyer ? Et qu'y
aurait-il de choquant dans la volonté de tous ces groupements humains à
ce que Noirs, Arabes, Asiatiques, Blancs ou même Martiens veuillent
vivre entre eux et distinctement des autres, ce qui ne signifie pas sans
contact, ni relation, ni estime, ni sympathie ? Ce qui n'interdirait
pas non plus à des personnes issus d'autres Peuples de résider sur des
territoires autres que celui d'origine comme cela s'est toujours fait
dans des proportions raisonnables. Toutes les civilisations, tous les
Empires, toutes les Nations ont, de tous temps, connu ce genre de
contact "à la marge", ne serait-ce que par leurs échanges commerciaux
qui ne datent pas d'hier. La notion naturelle "une Terre, un Peuple"
éviterait ainsi bien des conflits racialo-ethniques intra-sociétaux
sachant que l'ouverture au monde n'a rien à voir avec le mélange forcé
des mondes qui, précisément, les fait disparaitre. Cette notion
inhérente à l'Histoire de tous les Peuples n'a évidemment rien à voir
avec un quelconque apartheid sur lequel débouchent inévitablement les
communautarismes au sein d'un même État. Chaque Peuple a droit sa propre
culture, à sa propre identité, à sa propre Terre qu'il lui appartient
de protéger, de développer. Pourquoi s'acharner à faire disparaitre
toute cette diversité, soit par racisme, soit par antiracisme ? Tokyo ne
sera jamais Washington, Le Caire ne sera jamais Berlin, Zürich ne sera
jamais Tombouctou, pas plus que Paris ne sera jamais Alger. Ou alors
cela signifiera qu'une ou plusieurs civilisations auront disparu ! Il
apparait pourtant bien évident que les Peuples et leurs cultures
respectives sont bien plus à même de se tolérer et de s'estimer
mutuellement dès lors qu'ils se distinguent et se développent librement
dans un espace qui leur est propre. Le "village Terre" n'existe pas, le
"citoyen du monde" non plus. Il n'y a que des hommes enracinés sur leurs
terres et organisés en sociétés particulières. C'est déjà pas mal. Dans
cet esprit, il faudrait voir à sortir un peu du schéma psychanalytique
réducteur et débilitant du style "peur de l'autre parce-que ignorance de
l'autre" dont on nous rebat les oreilles. Qui a peur de qui ? Qui a
peur de quoi ? Qui ignore quoi ? Le monde ne serait-il peuplé que d'une
bande de trouillards incultes que seuls les médias et les milieux
autorisés - autorisés par qui ?- seraient habilités à éduquer doctement
en leur expliquant les raisons mal fondées de leurs peurs idiotes !
Au
XXIème Siècle, en un temps où la tendance est justement à la protection
de la Nature, à la sauvegarde des espèces et des races animales,
pourquoi les hommes avec leurs races, avec leurs ethnies, leurs
cultures, leurs identités différentes, n'auraient-ils pas droit aux
mêmes égards ? Les hommes ne feraient-ils donc pas partie intégrante de
la Nature ?
Capitalisme mondialiste et antiracisme
Dans
les faits, les deux idéologies -racisme et antiracisme- se suscitent et
s'alimentent mutuellement tout en se combattant, un peu à la manière du
bloc capitaliste et du bloc communiste qui, à l'époque de la guerre
froide et tels des chiens de faïence, justifiaient leur propre existence
par celle de l'autre. Ici, et selon leurs penchants philosophiques
personnels, les observateurs qualifieront la situation de "dialectique"
ou de "dualiste".
Or,
tout comme en physique, la disparition de l'une ou l'autre des deux
forces entraine inévitablement un déséquilibre et ouvre une brèche
béante dans laquelle l'autre s'engouffre sans retenue pour aboutir à un
système totalitaire. Tout est alors nivelé, indifférencié, amalgamé,
uniformisé et régi par la même règle. Pour le monothéisme, c'est le
"paradis au ciel"; pour le marxisme, le "paradis sur terre"; pour le
capitalisme internationaliste, la "gouvernance économique mondiale".
C'est selon ce même principe, la nature ayant horreur du vide, que naissent et meurent les civilisations.
De
nos jours, et après l'épisode raciste de l'entre-deux guerres, nous
sommes désormais rendus à l'ère de l'antiracisme, concomitante à la
mondialisation capitaliste. Toutes deux alliées de circonstance. En
effet, pour les tenants de ces deux doctrines, peu importent les
consommateurs pourvu qu'ils consomment et peu importent les producteurs
pourvu qu'ils produisent. Ici, et bien qu'il faille admettre la possible
existence d'un capitalisme national -voire local-, c'est bien le
capitalisme mondialiste qui trouve son intérêt dans le déplacement des
populations en provenance de pays pauvres à faible consommation vers des
pays encore riches qui, de plus, leur procurent les subsides
nécessaires pour consommer. L'intérêt des travailleurs nationaux qui
paient de leurs poches les aides en tous genres par le biais des taxes
et impôts acquittés est ici totalement méprisé. D'où la nécessité
décrétée par quelques économistes technocrates "bruxellois", via les
différents Traités européistes, de laisser passer les flux migratoires
afin de "rééquilibrer les zones de production et les zones de
consommation". D'où la nécessité également pour la haute finance et ses
satellites médiatiques d'actionner le levier antiraciste afin de faire
accepter les communautarismes au sein d'un même État. Les multiples
délocalisations d'entreprises françaises, et plus généralement
occidentales, sont une conséquence directe de ce mode de pensée : il
s'agit bien là de diminuer les coûts de production pour augmenter les
profits quitte à faire indemniser les chômeurs par les États... des
chômeurs qui, naturellement, pourront ainsi continuer de consommer un
peu et donc d'écouler la production.
De
cet état de choses le monde entier se rend bien compte : depuis la
chute du Mur de Berlin, le capitalisme mondialiste triomphe. Du temps de
la "guerre froide", il avait encore besoin des Peuples en tant
qu'États-Nations pour, le cas échéant, disposer de chair à canon en cas
d'invasion soviétique. Désormais, et sans pour autant regretter feu le
bloc de l'Est, le capitalisme mondialiste "se la pète" et tond les
Peuples qui ne sont plus bons qu'à produire, à consommer et, si
possible, à se taire en regardant la télévision. Les peuples deviennent
ainsi des masses de divertis et les médias sont là pour veiller au
grain. L'emprise mondialiste est aujourd'hui totalitaire. Fi des
identités, fi des cultures et des traditions sauf si elles sont
"métissées", c'est-à-dire méconnaissables et déracinées... d'autant que
"le politique", sensé les protéger en les représentant, se subordonne
désormais lui-même et de plus en plus à "l'économique". Le phénomène est
général sur toute la planète et "ON" nous le présente même comme
inévitable, inéluctable et gage de progrès. Ben voyons...
Autrefois,
le communisme avait ses "alliés objectifs", ses "compagnons de route".
Aujourd'hui le capitalisme mondialiste a son antiracisme, du moins tant
qu'il lui est utile. Il est d'ailleurs "amusant" de constater que, sans
s'en rendre compte, certains antiracistes qui se proclament
anticapitalistes ou l'inverse font le jeu de ceux-là mêmes qu'ils
croient combattre ! Olivier BESANCENOT et son NPA -pour ne citer qu'eux-
sont parfaits dans le rôle. Dans le même ordre d'idées, se
rappelle-t-on que la plupart des mouvement pacifistes étaient téléguidés
par l'Union Soviétique contre l'Occident, et que beaucoup d'écolos sont
en fait manipulés par des lobbies industriels environnementaux ? La
commande à distance semble bien être un des fléaux mortels de nos
sociétés modernes et l'antiracisme ressemble bien à un missile, "Scud"
ou "Patriot" selon les point de vue, qui est en train de nous péter à la
figure !
Le cas de l'Afrique du Sud
Un
exemple frappant de cette instrumentalisation de l'antiracisme par le
capitalisme mondialiste réside dans le cas de l'Afrique du Sud.
Sans
prendre aucun parti, rappelons les faits. Du temps de la guerre froide,
l'Afrique du Sud et son régime d'apartheid avait bénéficié d'une
relative indulgence de la part des pays occidentaux, des USA et des
milieux d'affaires. Ces derniers n'hésitant pas à investir dans le pays
et à soutenir le pouvoir Blanc en raison de la position géopolitique
stratégique de l'État Sud-Africain face au bloc communiste. L'opposition
noire était alors principalement animée par des gens comme Desmond
TUTU, hostile à Israël et favorable aux Palestiniens, ainsi que par les
amis de Nelson MANDELA (incarcéré à vie) eux-mêmes épaulés par les
communistes Blancs Sud-Africains et les Soviétiques.
Le
2 Février 1989, Frederik de KLERKE, homme politique conservateur
rassurant pour les Blancs, arrivait au pouvoir. Quelques mois plus tard,
le 9 Novembre, survenait la chute du Mur de Berlin qui consacrait la
fin du bloc de l'Est. Dès cet instant, la politique de l'Afrique du Sud
allait s'infléchir. Imprégné d'une conception antiraciste de la société,
le processus de disparition de l'apartheid anti-Noirs était
progressivement mis en œuvre conjointement à tout un train de mesures
favorables aux Noirs, et Nelson MANDELA obtenait sa libération. Le
pouvoir Blanc n'étant plus indispensable à la lutte anti-communiste, la
haute finance et les investisseurs mondiaux opéraient alors une
conversion radicale, passant du soutien aux Blancs au soutien aux Noirs.
En 1996, les Blancs étaient définitivement écartés du pouvoir.
L'apartheid anti-Blanc et la discrimination positive pouvaient
commencer.
Le capitalisme mondialiste n'a pas de Patrie
La
leçon qu'il faut donc tirer de ce genre d'exemple est que,
contrairement aux idées reçues, le capitalisme mondialiste (la haute
finance, les milieux ou banques d'affaires, le capitalisme apatride, les
marchés, les investisseurs... chacun l'appellera comme il veut) n'est
nullement homogène et solidaire des intérêts d'une race, d'une ethnie ou
d'une idéologie en particulier, fut-elle blanche, juive ou sioniste.
L'existence d'un pôle arabe et l'émergence d'un pôle chinois complètent
aujourd'hui le tableau. Il y a donc aussi des rivalités en son propre
sein mais ses soutiens ne vont jamais que là où sont ses intérêts. Un
point c'est tout. Aujourd'hui, pétrole et ressources minières obligeant,
on lâche les Blancs pour les Arabes et les Noirs... Demain on lâchera
les Arabes et les Noirs pour jouer avec les Chinois ! L'argent n'a pas
d'odeur. Nul Idéal dans tout cela... l'Idéal, c'est bon pour les masses,
quelle qu'en soit la couleur de peau. On ne sait jamais : demain, on
peut encore avoir besoin de soldats ! En un temps où les économies
étaient encore nationales et sous le contrôle du politique, certains
intérêts financiers pouvaient encore être considérés comme étant liés à
ceux d'une Nation. Soumis au "politique", le capitalisme se trouvait
ainsi relativement maîtrisé. A notre époque, ce n'est quasiment plus le
cas : à grand renfort d'ultralibéralisme, les monopoles et oligopoles
tentaculaires de nombre de multinationales, supranationales et autres
consortium financiers s'appliquent à faire sauter un à un les verrous et
protections que constituaient naturellement les État-Nations.
Le
rêve du capitalisme mondialiste ?... une planète uniformisée,
dépersonnalisée, métissée, une planète de producteurs-consommateurs
régie par une seule et même gouvernance économique mondiale. Une de ses
armes ?... le "Taser" antiraciste mêlé d'internationalisme ! Deux de ses
courroies de transmissions ?... le FMI et la gouvernance économique
européenne de José Manuel BARROSO, actuel Président de la Commission de
Bruxelles. Un de ses thèmes récurrents... la paix dans le monde ! On
nous assène, par exemple, à longueur d'émissions de propagande que la
paix en Europe est due aux institutions européistes... tant pis pour
ceux qui croyaient encore à tort que c'était grâce à la victoire de
1945. Et tous les "gogos-bobos" de tomber dans le panneau !
Des Lois liberticides et anti-françaises
La
conséquence de tout cela est que, rendu au niveau de ce qui nous
intéresse au premier chef, la FRANCE, des jours sombres sont à prévoir
si rien n'est fait, si rien ne change rapidement et en profondeur.
Alors
que les signaux d'alarme sont actionnés depuis longtemps par des gens
de tous bords, alors que les clignotants sont au rouge depuis belle
lurette, les milieux qui se croient encore politiques font la sourde
oreille. "Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil" semble
être la nouvelle devise des gouvernants qui ne gouvernent plus rien et
de leur opposition qui... qui quoi, au fait ? Mais où diable sont donc
passés les SULLY, les COLBERT, les RICHELIEU, les MAZARIN, les TURGOT,
les NECKER que peu d'élèves doivent désormais connaitre ?...
Progressivement
vidée de sa substance par un capitalisme mondialiste et agressée
physiquement par un Islam conquérant, la société française est
maintenant au bord de l'implosion. La chasse aux "souchiens", aux
"sous-chiens", aux Blancs est ouverte (cf. L'actualité) et interdiction
leur est faite de se défendre, de se rebiffer sous peine de se voir
traiter de racistes, de sectaires, de "réacs", de "beauf" et sanctionnée
par la "J"ustice en raison de certaines Lois antiracistes promulguées
par des Députés Blancs inconscients. Des Lois liberticides qui ne se
justifiaient même pas en regard du Peuple Français, pas plus raciste que
d'autres, et qui se retournent maintenant contre lui parce-que c'est
bien connu : seuls les Blancs sont racistes et les autres races ne font
que lutter contre le racisme des Blancs qu'ils aiment bien malgré tout !
Fermez le ban.
Alors,
à quand l'abrogation de ces Lois liberticides anti-françaises ? Sur le
plan de la Liberté d'expression des Blancs cela aurait certainement un
retentissement analogue à celui de l'abolition de l'esclavage pour les
Noirs.
Après la France, plus de zone de repli pour les "souchiens"
À
l'époque de la décolonisation, politique soutenue conjointement par les
États-Unis, la Chine et l'Union Soviétique qui voulaient prendre les
places, il a fallu que les populations blanches quittent l'Afrique Noire
au motif qu'elles n'étaient pas noires. Il a fallu qu'elles quittent
l'Indochine au motif qu'elles n'étaient pas asiatiques... et elles
avaient plutôt intérêt à le faire.
À
la fin de la Guerre d'Algérie, pourtant gagnée militairement sur le
terrain -il ne faut pas l'oublier-, il a aussi fallu que les Européens
quittent le pays, devenant ainsi des Rapatriés. Souvenons-nous de la
menace d'alors : "La valise ou le cercueil !". Souvenons-nous de ces
files d'attente d'Européens, les Pieds-Noirs, prêts à rembarquer et dans
lesquelles les fellaghas du FLN venaient piocher pour en extirper
certains "cochons de Français" puis les exécuter sommairement. Et tout
cela sous l'œil consterné des Militaires Français qui avaient reçu
l'ordre "supérieur" de ne pas bouger.
Alors,
si les populations noires d'Afrique ont eu le droit de vivre uniquement
entre elles, si celles d'Indochine et celles d'Afrique du Nord ont eu
ce même droit sans pour autant être taxées de racisme, pourquoi les
populations blanches d'Europe n'auraient-elles pas droit au même
traitement équitable ? Un jour très proche, il faudra pourtant bien
inverser la vapeur... ou disparaitre ! Les islamistes demandent déjà la
création d'enclaves musulmanes sur le Sol Français. Sous le fallacieux
prétexte de la loi du nombre, à quand la sécession du "9-3", à l'instar
du Kosovo qui n'avait historiquement rien de musulman ?
Le
XXème siècle regorge pourtant d’exemples de "remigrations" y compris en
Europe où des populations installées dans des territoires depuis
parfois plusieurs dizaines de générations sont retournées à leurs terres
d'origine : Grecs (1,2 million de Grecs établis en Asie mineure depuis
l’Antiquité expulsés vers la Grèce par le gouvernement nationaliste turc
de Mustapha Kemal en 1923) ; Finlandais (400.000 Finlandais expulsés de
Carélie soviétique en 1945) ; Allemands (13 millions chassés d’Europe
centrale et orientale en 1945 qui ont trouvé refuge en RFA, RDA et
Autriche ) ; Français (1 million de « Pieds-Noirs » rapatriés en France
en 1962). Plus près de nous, les migrations ou "remigrations" dans les
Balkans témoignent encore d'un phénomène courant dans l'Histoire
mondiale.
Le retour au pays (le RAP !) est donc bien possible et qu'on ne nous dise pas qu'on ne peut plus rien faire.
Parce-que pour les "souchiens", après la FRANCE, plus de zone de repli, et sans Patrie plus de rapatriement possible.
À
titre d'exemple, les Israéliens savent bien ce que c'est que de se
battre dos à la mer, mais eux n'ont pas laisser l'Islam
s'institutionnaliser à l'intérieur de leurs frontières. Nous, si. Merci
Monsieur le Président !
Or,
ici comme toujours, tout n'est que rapport de forces et malheur à celui
qui accepte de jouer avec les règles imposées par l'ennemi. On est le
plus fort ou on est le plus faible mais la supériorité ne se décrète pas
: elle se prouve par la victoire, non par la défaite. On gagne ou on
perd. Demande-t-on à un athlète de se mettre dans les starting-blocks
pour perdre ? Lui dit-on que ce n'est même pas la peine de courir
parce-que c'est foutu d'avance ?... Non, alors autant tout faire pour
gagner et vite car la fin du match est proche et nous en sommes
maintenant à jouer les arrêts de jeu ! De toutes les façons, face à
l'offensive de l'Islam et aux coups de boutoirs racialo-ethniques, les
Blancs de France et d'ailleurs n'auront pas trente-six solutions : ce
sera la victoire ou la soumission... ou bien la diaspora ! C'est bien ce
qui est promis, non ?...
Mais
après tout, peut-être les Blancs ne sont-ils qu'une race inférieure
sans fierté qui ne mérite que sarcasmes et mépris. Qui ne mérite que
d'être vaincue en raison même de sa nature fondamentalement malsaine. Le
racisme anti-Blanc aurait-il donc raison ?
(legaulois.info)
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