Le café-philo de droite fut fondé en l'an 2000 par JPPS, afin de promouvoir, en France, l'UNION DES PATRIOTES.
Le Café-philo se veut un lien entre toutes les composantes de la droite nationale - mais surtout le catalyseur d'un véritable aggiornamento de ladite droite.
Observatoire de l'Islamisation de la France et de l'Europe Blog de JEAN-PIERRE PAGèS-SCHWEITZER
Le café-philo de droite fut fondé en l'an 2000 par JPPS, afin de promouvoir, en France, l'UNION DES PATRIOTES.
Le Café-philo se veut un lien entre toutes les composantes de la droite nationale - mais surtout le catalyseur d'un véritable aggiornamento de ladite droite.
According
to Palestinian-American Dean Obeidallah, “The Nigerian terrorist group,
Boko Haram, who kidnapped hundreds of schoolgirls in Nigeria has
nothing to do with Islam, and it’s grotesquely irresponsible of the
media to suggest it does.” Now, that IS funny!
Perhaps not-so-funny boy can glance at a quran, where it says the taking of female slaves is permitted during jihad.
The Daily Beast Obeidallah (like his fellow Mohammedans at CAIR)
demands that the media: Kindly stop referring to the Nigerian terrorist
group Boko Haram as “Islamic terrorists,” “Islamists” or anything else
involving the word “Islam.” The despicable acts taken by this militant
group—from kidnapping schoolgirls to slaughtering people at churches and
mosques—have absolutely nothing to do with Islam. In fact, as one
well-known Imam told me, the claim by Boko Haram’s leader that its
actions are based on Islamic principles is “blasphemy” of the worst
kind. (Only if you consider the quran blasphemous)
Why do our
media continually use terms like “Islamist” or “Islamic radical” to
describe people or groups without doing the bare minimum investigation
into whether there’s actually a connection between their conduct and
Islam? (You better hope they never do)
Instead, it appears that the media assume if the person is Muslim and
claims he is acting in accordance the faith, that’s good enough for
them. It shouldn’t be.
Here’s some
real “breaking news”: Want to know how much of the violent acts
committed by Boko Haram are based on Islamic principles? Nothing, nada,
niente, rien, or any word you want to use for having no connection.
And this isn’t
just my view. It’s what Muslims around the world having been saying for
the past week as they have both denounced Boko Haram’s savagery and
stated that Boko Haram’s actions are in no way sanctioned or supported
by Islamic principles. (Oh, but they most certainly are. See below)
Clarion Project: In his own words, the leader of Boko Haram’s refutes everything Obeidallah has to say:
“If we meet infidels, if we meet those that become infidels, according to Allah,
there is not any talk except hitting of the neck. I hope you, chosen
people of Allah, are hearing. This is an instruction from Allah. It is
not a distorted interpretation. It is from Allah himself.”
He also cites Islamic sources when
justifying Boko Haram’s kidnapping of the Nigerian girls. Slavery of
one’s adversaries, he says, is permissible during a jihad. The captives are the booty of war. Shekau explains,
“There are slaves in Islam, you should know this, Prophet Muhammed took slaves himself during [the] Badr war.”
Shekau isn’t saying that it is
permissible to take just anyone as a slave, but only those that belonged
to the enemy. So how do these innocent girls qualify as seized enemy
property? Because Shekau believes the jihad is not against an
army, government or ethnic group but against Christianity, Western
influence, democracy and Muslims that Boko Haram sees as impure.
“To the people of the world, everybody should know his status, it is either you are with us mujahideen or you are with the Christians.”
He continues: “We know what is happening in this world, it is a jihad war
against Christians and Christianity. It is a war against Western
education, democracy and constitution… This is what I know in Quran. This is a war against Christians and democracy and their constitution, Allah says we should finish them when we get them.”
Shekau’s view is substantiated by IslamWeb, a popular website that endorsesSheikh Yousef al-Qaradawi, the spiritual leader of the Muslim Brotherhood. In a 2002 fatwa (authoritative Islamic ruling), IslamWebconcludes:
“Islam left only
one source for slavery that is enslavement in war and only legal war
(i.e. against the non-Muslims). Indeed, the enslavement of prisoners of
war was a part of warfare. So, Islam did not free the slaves of its
enemies while its own followers are enslaved by those enemies and given
the worst possible treatment.”
In another 2002 fatwa,IslamWeb specifies that females from the enemy camp can be taken as booty.
It says:
“’The slaves that
your right hand possesses’…includes the slave girls and slaves in
general those who are under the control of a free Muslim. As a rule, the
only channel of producing this segment of society is Jihad in the cause of Allah.”
Cinq pays africains sont réunis par l'Élysée un mois après l'enlèvement par la secte islamiste de plus de 200 lycéennes.
Que faire pour endiguer l'extension de Boko Haram?
La question est simple, mais la réponse des plus complexes, va occuper
les présidents réunis samedi à l'Élysée pour un minisommet consacré à la
secte nigériane. Outre Goodluck Jonathan et François Hollande, tous les chefs d'État des pays proches du Nigeria
(Bénin, Niger, Tchad, Cameroun) y viendront. Le ministre des Affaires
étrangères britannique, William Hague, est aussi attendu ainsi que la
sous-secrétaire d'État américaine Wendy Sherman.
La brièveté des
entretiens ne devrait pas permettre une révolution. «L'important de
cette réunion est qu'elle démontre que les présidents de la région ont
pris en compte le danger que représente Boko Haram et qu'ils sont tous
là», souligne-t-on à l'Élysée. Le groupe, qui évolue dans le nord du
Nigeria, profite largement de la porosité des immenses frontières pour
se cacher des forces nigérianes ou s'approvisionner en armes avec
d'autant plus de facilité qu'il s'appuie aussi sur des solidarités
tribales, notamment au sein des Kanuris très nombreux dans Boko Haram,
mais aussi au Cameroun et au Niger.
Or, si le Niger et le Nigeria entretiennent d'excellentes relations,
ayant même mis en place des patrouilles communes, si le Tchad s'est
rapproché ces dernières années de son grand voisin, les discussions avec
le Cameroun restent froides. La suspicion se nourrit de querelles
frontalières, même si la plus importante autour d'une zone pétrolière a
été tranchée il y a plusieurs années. Yaoundé a longtemps ignoré les
menées de Boko Haram, considérant ce mouvement comme un problème
nigérian, et se refusant à toute coopération. Depuis peu, les violences
de Boko Haram ont largement atteint le territoire camerounais, avec
quatre enlèvements d'Occidentaux. Depuis le début mai, des villages ont
aussi été attaqués ainsi que deux commissariats de police. «Les
Camerounais commencent à avoir peur, explique un diplomate. Le Nigeria
est un grand pays, avec une armée forte, qui peut supporter des niveaux
de violences élevés totalement intolérables pour ses voisins». Paul
Biya, le président camerounais, avait joué un rôle actif dans les
négociations pour la libération des otages français.
Le minisommet
souhaite permettre ou au moins aider à mettre en place une coordination
entre les services de renseignements et les militaires de ces pays.
«Les Occidentaux peuvent aider à construire ces structures et à les
rendre plus professionnelles», souligne-t-on à l'Élysée. Les experts
pourront aussi prêter main-forte pour l'analyse des images satellitaires
ou aériennes. «Mais il n'est pas question d'une intervention militaire
occidentale contre Boko Haram», rappelle-t-on dans l'entourage de
François Hollande.
Les Occidentaux se contentent pour
l'heure d'une aide technique. Washington a envoyé une trentaine de
spécialistes à Abuja ainsi que des drones et des avions de surveillance.
La France a, de son côté, dépêché une dizaine d'hommes. Les trois
Mirage, les trois Rafale et le Breguet-Atlantique basés au Tchad
patrouillent la zone. La France entend aussi mettre en avant ses
informations glanées lors des pourparlers pour la libération de la
famille Moulin-Fournier et du père Vandenbeusch. «À cette occasion, nous
avions ouvert de canaux et procédé à quelques reconnaissances dans la
zone», souligne-t-on. La tâche est pourtant délicate. Selon plusieurs
sources, même mise sous l'intense pression de la mobilisation
internationale pour sauver les 200 jeunes filles, l'armée nigériane
reste attentiste et rétive à écouter les conseils.
«En dépit des offres
d'assistance des États-Unis et d'autres partenaires internationaux, la
réponse du gouvernement nigérian à cette crise a été d'une lenteur
tragique et inacceptable», a tonné jeudi Robert Menendez, président de
la commission des affaires étrangères du Sénat américain.
Sans
l'avouer plusieurs États redoutent aussi les méthodes très musclées des
militaires locaux dans ces affaires de prise d'otages. «On n'est pas
fou. Même si les jeunes filles sont localisées on ne va donner ce
renseignement brut aux Nigérians», confie une source.
Les souvenirs de
la tentative de libération, en 2013, par l'armée nigériane, sans doute
appuyée par les Britanniques, de sept prisonniers étrangers restent
vifs. Les otages, aux mains d'Ansaru, un groupe dissident de Boko Haram,
étaient tous morts. «Dans ce dossier, il est clair que nous
privilégions la négociation.»
Pour l'Élysée, il est clair aussi
qu'une fois l'affaire des lycéennes terminée, le dispositif de recherche
occidental sera levé. Le minisommet doit donc surtout servir à définir
des stratégies globales d'avenir, pour qu'une fois l'émotion retombée,
la lutte contre Boko Haram ne soit pas une fois de plus oubliée.
Blog humoristique d'extrême droite, très bête et très méchant.
Biographie de JPPS
Homme de lettres, journaliste et essayiste, JPPS est retraité de l'enseignement supérieur et publie régulièrement dans la presse nationale. Descendant de Louis- Antoine Garnier-Pagès (maire de Paris en 1848), il est président de l'ADAEP, l'Amicale des Descendants des Anciens Ediles de Paris. Il est depuis 2001 le directeur de l'Observatoire de l'Islamisation de la France et de l'Europe (O. I. F. E.).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire