lundi 16 décembre 2013

OUI, QU' ILS CREVENT !

Des chevaux de laboratoire finissent à la boucherie : 21 interpellations

Des chevaux de laboratoire finissent à la boucherie : 21 interpellations


Des animaux, utilisés notamment comme cobayes par l'industrie pharmaceutique, auraient été remis dans le commerce par des intermédiaires au lieu d'être détruits. 21 personnes ont été interpellées dans 11 départements.
 
"Il s'agirait de chevaux qui auraient dû finir chez l'équarisseur et qui finissent chez le boucher", a indiqué Benoit Hamon sur RTL lundi matin. Une vaste opération de gendarmerie a été déclenchée lundi matin dans 11 départements français dans le cadre d'une enquête contre un trafic de viande de cheval et de viande en gros, a indiqué la gendarmerie. Une centaine de chevaux auraient été remis dans la chaîne alimentaire après avoir subi des expériences médicales.
 
Parmi les 21 interpellés figurent trois vétérinaires 
Selon une source proche de l'enquête, 21 personnes ont finalement été interpellées. Parmi ces 21 personnes interpellées en Languedoc-Roussillon, Provence-Alpes-Côte-d'Azur, Rhône-Alpes, Auvergne et Midi-Pyrénées figurent plusieurs négociants en viande, dont l'organisateur présumé du trafic et un proche. Il y a aussi au moins trois vétérinaires ou encore un informaticien.

L'opération, s'inscrivant dans une information judiciaire conduite à Marseille, mobilise une centaine de militaires, a précisé la gendarmerie. Elle s'est déployée principalement dans le sud de la France, en Languedoc-Roussillon, Provence-Alpes-Côte-d'Azur et Midi-Pyrénées, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Une opération similaire est aussi menée en Espagne, dans un abattoir de Gérone, de l'autre côté de la frontière. Signalement d'un contrôle sanitaire dans l'Aude


Les gendarmes ont ainsi interpellé un homme à Narbonne (Aude), apparemment à son domicile, avant de l'emmener sur le site des abattoirs de la ville où pourraient se trouver les bureaux de sa société, a constaté un photographe de l'AFP.  Des perquisitions devaient avoir lieu au siège de négociants en viande et, dans une moindre mesure, dans des abattoirs. Les investigations visent essentiellement la mise sur le marché de viande de cheval impropre à la consommation. 


Elles sont parties du signalement, il y a quelques mois, de viande de cheval ne satisfaisant pas les normes sanitaires dans un abattoir de l'Aude, a rapporté la même source. Les chevaux, dont certains achetés au géant pharmaceutique Sanofi, auraient ainsi été vendus pour la consommation après falsification ou escamotage de leurs documents vétérinaires.

Pas de danger selon Sanofi !!!
Selon Europe 1, Sanofi revendait les bêtes quelques dizaines d'euros au commerçant incriminé. Ce dernier, après avoir falsifié les documents  à l'insu de Sanofi avec ses complices, les revendait ensuite aux abattoirs comme des chevaux "normaux" entre 500 et 800 euros. Sanofi indique collaborer à l'enquête et affirme qu'il n'y a pas de danger pour les consommateurs.

Benoît Hamon a tenu à distinguer cette nouvelle affaire du scandale Spanghero. "C'est différent, là il pourrait s'agir d'un problème sanitaire. 

Il y a des chevaux qui ne doivent pas finir dans votre assiette ni chez le boucher, et c'est le travail je crois de cette enquête dont nous saurons les résultats bientôt", a-t-il dit.
(My TF1 News)

Je ne savais pas que l'on faisait de l'expérimentation animale sur les chevaux !
J'espère que quelques personnes ayant mangé de la viande de ces pauvres chevaux seront malades !

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