ADIEU VIELLE EUROPE !
FIN DE RACE
Cela ne frappe nullement les Français que ceux qui
prétendent que les races n’existent pas sont les mêmes qui voient du
racisme partout !
Bien qu’ils ne parlent déjà plus de « races » mais d’« ethnies », ils n’ont pourtant que ce mot à la bouche : à les en croire, le racisme n’est pas l’a priori le plus partagé de par le monde, c’est le péché suprême de leur peuple – au point qu’ils sont convaincus d’avoir perpétré le génocide indien en Amérique, inventé la solution finale, bombardé Hiroshima et Nagasaki au nom de leur racisme ontologique.
Cette conviction est si ancrée dans leur esprit malade qu’ils ont élaboré tout un arsenal pénal dont l’objet est de punir et de persécuter les derniers sceptiques qui défendraient encore toute position un tant soit peu différentialiste…
Mais, me diras-tu, de deux choses l’une : ou les races existent, auquel cas il est tout à fait légitime de parler de racisme ; ou les races n’existent pas et le racisme est un non-sens – et par conséquent l’antiracisme une imposture intellectuelle.
C’est donc dans le fol espoir d’éradiquer à tout jamais le racisme de la surface de la terre que Normal Ier, après avoir voulu entrer dans l’histoire – dans une fanfare de casseroles – avec l’adoption de la loi fondamentale du « mariage pour tous », a également promulgué en douce celle non moins fondamentale de la « suppression du mot “race” » dans leur législation…
Gageons que si Normal Ier avait pris la peine d’ouvrir 1984 de George Orwell, il n’aurait pas commis cette énième bourde – mais à quoi pouvait-on s’attendre de la part de ce petit roitelet qui s’est fait surprendre à lire sur la plage durant ses vacances un digest intitulé La Culture pour les nuls ?
Or, il aurait appris que l’une des manifestations du totalitarisme sévissant dans le pays socialiste décrit dans le roman orwellien s’exprime notamment par la suppression du dictionnaire des mots dont le sens n’est pas orthodoxe et que l’appauvrissement du vocabulaire est une fin en soi…
Or, de l’abolition des termes tabous à la dissolution de groupuscules extrémistes (i.e. nationalistes) qui incitent, soi-disant, à la haine « raciale », il n’y a qu’un pas que le gouvernement s’est empressé de franchir : le 24 juillet, Manuel, en réponse à l’affaire Méric, croyant revivre la guerre d’Espagne de son grand-père catalan, s’est livré, tel Don Quichotte, à la mise à mort des moulins fascistes que sont L’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes, responsables comme chacun le sait des troubles à l’ordre public du type Trocadéro… Lui, c’est Pasolini qu’il aurait dû compulser pour comprendre ce qu’est le fascisme contemporain.
En réalité, l’épouvantail de l’extrême droite xénophobe qui menacerait les fondements de leur république n’est qu’une grossière stratégie politique que la fausse gauche a coutume d’agiter en période de rigueur afin de détourner les Français des questions économiques, en l’occurrence la destruction de leur modèle social…
Ainsi s’explique le complexe français vis-à-vis de ce sujet sensible du racisme, sciemment entretenu par la propagande orchestrée depuis trente ans par Sauvons le racisme : créé en 1984 par les socialistes, il s’agit d’une association subventionnée par le contribuable plus raciste que le plus raciste des groupuscules racistes, qui, si elle s’offusque, sous couvert d’humanisme, que l’on puisse établir une hiérarchie entre les races, n’hésite pas, elle, en revanche, à établir une hiérarchie entre les racismes : selon son échelle de valeurs, il y aurait donc un racisme absolu plus grave que d’autres : à savoir l’antisémitisme, et un racisme imaginaire qui ne compterait pour rien : le racisme anti-blanc…
Politiquement, son dessein était et est toujours de monter les communautés les unes contre les autres à force de ressentiment et de victimisation et d’imposer aux Français de souche l’immigration de peuplement et, à terme, leur génocide par substitution…
C’est là, semble-t-il, tout le sens du message subliminal de la suppression du mot « race » de leur Constitution.
(adieu-vieille-europe.tumblr.com)
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Bien qu’ils ne parlent déjà plus de « races » mais d’« ethnies », ils n’ont pourtant que ce mot à la bouche : à les en croire, le racisme n’est pas l’a priori le plus partagé de par le monde, c’est le péché suprême de leur peuple – au point qu’ils sont convaincus d’avoir perpétré le génocide indien en Amérique, inventé la solution finale, bombardé Hiroshima et Nagasaki au nom de leur racisme ontologique.
Cette conviction est si ancrée dans leur esprit malade qu’ils ont élaboré tout un arsenal pénal dont l’objet est de punir et de persécuter les derniers sceptiques qui défendraient encore toute position un tant soit peu différentialiste…
Mais, me diras-tu, de deux choses l’une : ou les races existent, auquel cas il est tout à fait légitime de parler de racisme ; ou les races n’existent pas et le racisme est un non-sens – et par conséquent l’antiracisme une imposture intellectuelle.
C’est donc dans le fol espoir d’éradiquer à tout jamais le racisme de la surface de la terre que Normal Ier, après avoir voulu entrer dans l’histoire – dans une fanfare de casseroles – avec l’adoption de la loi fondamentale du « mariage pour tous », a également promulgué en douce celle non moins fondamentale de la « suppression du mot “race” » dans leur législation…
Gageons que si Normal Ier avait pris la peine d’ouvrir 1984 de George Orwell, il n’aurait pas commis cette énième bourde – mais à quoi pouvait-on s’attendre de la part de ce petit roitelet qui s’est fait surprendre à lire sur la plage durant ses vacances un digest intitulé La Culture pour les nuls ?
Or, il aurait appris que l’une des manifestations du totalitarisme sévissant dans le pays socialiste décrit dans le roman orwellien s’exprime notamment par la suppression du dictionnaire des mots dont le sens n’est pas orthodoxe et que l’appauvrissement du vocabulaire est une fin en soi…
Or, de l’abolition des termes tabous à la dissolution de groupuscules extrémistes (i.e. nationalistes) qui incitent, soi-disant, à la haine « raciale », il n’y a qu’un pas que le gouvernement s’est empressé de franchir : le 24 juillet, Manuel, en réponse à l’affaire Méric, croyant revivre la guerre d’Espagne de son grand-père catalan, s’est livré, tel Don Quichotte, à la mise à mort des moulins fascistes que sont L’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes, responsables comme chacun le sait des troubles à l’ordre public du type Trocadéro… Lui, c’est Pasolini qu’il aurait dû compulser pour comprendre ce qu’est le fascisme contemporain.
En réalité, l’épouvantail de l’extrême droite xénophobe qui menacerait les fondements de leur république n’est qu’une grossière stratégie politique que la fausse gauche a coutume d’agiter en période de rigueur afin de détourner les Français des questions économiques, en l’occurrence la destruction de leur modèle social…
Ainsi s’explique le complexe français vis-à-vis de ce sujet sensible du racisme, sciemment entretenu par la propagande orchestrée depuis trente ans par Sauvons le racisme : créé en 1984 par les socialistes, il s’agit d’une association subventionnée par le contribuable plus raciste que le plus raciste des groupuscules racistes, qui, si elle s’offusque, sous couvert d’humanisme, que l’on puisse établir une hiérarchie entre les races, n’hésite pas, elle, en revanche, à établir une hiérarchie entre les racismes : selon son échelle de valeurs, il y aurait donc un racisme absolu plus grave que d’autres : à savoir l’antisémitisme, et un racisme imaginaire qui ne compterait pour rien : le racisme anti-blanc…
Politiquement, son dessein était et est toujours de monter les communautés les unes contre les autres à force de ressentiment et de victimisation et d’imposer aux Français de souche l’immigration de peuplement et, à terme, leur génocide par substitution…
C’est là, semble-t-il, tout le sens du message subliminal de la suppression du mot « race » de leur Constitution.
(adieu-vieille-europe.tumblr.com)
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