samedi 26 octobre 2013

LA PAROLE EST AUX DETRACTEURS DE JPPS (QUI N'ONT RIEN COMPRIS AU FILM...)




JÉSUS A-T-IL VÉCU ?

Dans un courrier daté du 1/01/08 (<< Jésus a-t-il existé ? (La mémoire akashique du FORUM 2013) >>), DaneelOlivaw13 avait écrit :
<< Eh oui : la "mémoire akashique" du Forum 2013, diaboliquement désintégré du Net par d'obscures volontés de DÉTRUIRE mon travail et le faire disparaître à jamais...
Mais tel le Phénix qui renaît constamment de ses cendres, « la parole de vérité », elle, ne meurt jamais et réapparaît sans cesse malgré toutes les agressions qu'elle peut subir !
(Comme le répétait le Mahatma Gandhi :
<< AVEC LE TEMPS, SEULS L'AMOUR ET LA VÉRITÉ FINISSENT PAR TRIOMPHER >>)

Bref... malgré donc cette ignoble tentative de "crucifier" virtuellement mon forum 2013 en le supprimant carrément du réseau internet... (vous pouvez tentez de le chercher... "Yahoo" vous répondra que - comme certains esprits de l'ombre le prétendent aussi pour Jésus (!) - << ce forum n'existe pas ! >>... alors qu'il a bel et bien existé pendant plus de quatre ans (!)) voilà donc à nouveau la résurrection de l'un de ses messages (transmis maintenant à des dizaines d'autres adresses en plus des forums "officiels") :
Dans un courrier daté du 17/12/04 (Forum 2013),
DaneelOlivaw13 avait écrit :
<< JÉSUS A-T-IL VÉCU ? >>
C’est cette question quelque peu “farfelue”,  que posait notre ami Pierre Lance sur la première page de couverture de “l’Ère Nouvelle” n°161 de juillet-août 2004, annonçant un article de Jean-Pierre Pagès-Schweitzer intitulé “l’Historicité de Jésus de Nazareth”. 
Texte où l’on pouvait lire notamment (pages 9 et 10) ces affirmations péremptoires : « C’est avec une certaine jubilation que nous publions ci-après l’excellent document de Jean-Pierre Pagès-Schweitzer, démontrant que notre calendrier grégorien n’a pas la moindre base historique réelle ! (...)
Cet article est extrait du n° 442 de notre confrère “Les 4 Vérités hebdo”  du 10 avril 5004...


Document comportant certes des observations pertinentes mais dans l’ensemble quand-même assez... “burlesque” !
Par exemple :
«... Prenant le risque de m’attirer les foudres de la “Sacrée Congrégation pour la Doctrine de la Foi” (ex-inquisition), je récidive : les Juifs n’ont pas pu faire crucifier Jésus de Nazareth par les Romains, parce qu’il n’a jamais existé !... »

Eh oui, Monsieur Pagès-Schweitzer a osé (à noter qu’il n’est pas le seul : en ce mois de décembre, sur internet, il y a eu une vague d’assertions de ce genre croyant démontrer “irréfutablement” l’inexistence de Jésus) ... et il avance comme argument principal à sa provocation :
 « L’une des règles fondamentales de la recherche “historique” est que la charge de la preuve incombe à celui qui affirme et non à celui qui nie. 
En d’autres termes, je n’ai pas à prouver la non-existence de Jésus : il appartient à ceux qui voudraient nous en convaincre d’en rapporter la preuve... »

Ben voyons... Comme c’est facile !
On pourrait aussi répliquer exactement la même chose à ceux qui veulent nous convaincre de "l'inexistence de l'effet de serre" : eux aussi osent clamer - MÊME AUJOURD'HUI ENCORE EN 2007-2008-2009-2010-2011 (!!!) - qu'il appartient aux écologistes d'apporter la preuve du réchauffement planétaire (!)... pendant qu'ils noient sous un << scepticisme chronique >> les innombrables preuves qui existent déjà sur sa dramatique réalité !

Affirmer aussi que Jésus n’a pas existé relève du même genre de "NÉGATIONNISME" de la réalité !...
Et nonobstant le prégnant problème écologique qui menace notre existence à tous, nier ainsi l'existence de Jésus - et dans la foulée celle de Moïse et de toute l'histoire du peuple Juif, est même une “révision” de l’Histoire plus problématique encore : car s’il est vrai que l’on peut réunir certains faits isolés qui tendraient à démontrer l’inexistence de Jésus - que les Juifs n’auraient donc pas pu crucifier ! -, on peut de même découvrir d’autres faits isolés “démontrant” que Moïse aussi est une légende, donc : Israël, la “terre promise” !

Rassurez-vous... il en va de même pour Mahomet : lui aussi est soupçonné par certains de n’avoir jamais existé... comme Shakespeare d’ailleurs ...
Eh oui, et il y a même eu des journalistes ou chercheurs passionnés pour tenter de nous convaincre de l’inexistence de Paul Mc Cartney... ou d’Isaac Asimov !...

(Si-si, authentique !!! Il y a eu des pages entières consacrées à prouver - avec tout plein de preuves édifiantes - que Paul Mc Cartney n'était pas Paul Mc Cartney mais un vil usurpateur (!)... ou même qu'Isaac Asimov n'existait pas et n'était que le prète-nom d'un groupe d'écrivains et journalistes.... chose évidement totalement fausse... mais les gens avaient tellement de mal à imaginer que puisse exister un génie comme lui... capable des plus grands chef-doeuvre de la science-fiction... et d'écrire un roman entier.... en une seule nuit ! (Il s'agissait en l'occurence de "Les Dieux Eux-Mêmes", un pur joyaux !... Le titre était en fait inspiré de ce poème : << CONTRE LA STUPIDITÉ, LES DIEUX EUX-MÊMES, LUTTENT EN VAIN >>)... Finalement, j'en viens même à me demander si "Daneel Olivaw" existe lui aussi (?)  :oD)

Suivent quelques lignes de rhétorique, dignes des grands Sophistes de la Grèce Antique (voir justement notre éditorial et dossier central, il y en a un édifiant exemple)... puis cet argument “fatal” :
« En fait, tous les détails des paroles prononcées et des actes accomplis dans le Nouveau Testament par Jésus ont leur source dans l’Ancien Testament (...) Il suffit donc de “chercher” et de “fouiller” l’Ancien Testament et l’on retrouvera, par exemple, pratiquement tous les détails de la “Passion” dans le psaume 22 : “ils ont percé mes mains et mes pieds”, “ils se partagent mes vêtements et tirent au sort ma tunique” ... »
(Thèse "midrashique")

Comme le disait cependant Pierre Lance quelques mois plus tard, dans “l’Ère Nouvelle” n°163 de novembre-décembre 2004 :
Cela n’aurait pas eu grand écho si l’on n’avait pas monté en épingle - si j’ose dire - la crucifixion, en oubliant que les Romains crucifiaient chaque année des milliers de pauvres types

(Rien d’étonnant donc à ce que l’on retrouve presque à l’identique nombre de scènes de “la Passion” dans d’autres témoignages !...)

A souligner également que le phénomène de la voyance - et de la prédiction donc - est une réalité indubitable... Pourquoi alors considérer comme faux le Nouveau Testament sous prétexte que l’Ancien en annonçait “fidèlement” (?) les épisodes ?...

Cela n’est aucunement la preuve que tous les témoignages sur Jésus sont des faux... (Cette façon bien cavalière de réfléchir me fait penser à ces inénarrables “zététiciens”, dont Gérard Majax, qui, parce que eux n’arrivent à reproduire certaines choses que par le trucage et la falsification, affirment péremptoirement que tout est trucage et falsification, comme évidemment cette “grande arnaque” qu’est l’homéopathie... pourtant capable de guérir - bien mieux que la médecine chimique - les bébés, les animaux, etc.)

Ou alors, il faudrait aussi affirmer que l’histoire du Titanic n’est également qu’une falsification de l’Histoire !

Eh oui, car en cherchant bien, en “fouillant” (!), on peut aussi trouver cette anecdote édifiante (lue dans “Les Grandes Énigmes”, éditions Larousse, 1992. Coll “la Mémoire de l’Humanité”) :
« La fin du Titanic prévue 14 ans à l’avance : en 1898, Morgan Robertson publie “Futility”, où il décrit le naufrage du “plus grand paquebot construit par l’homme” : le “Titan” !...
 Celui-ci s’éventre sur un iceberg, avant de couler avec la majeure partie de ses passagers, en raison du nombre insuffisant de canots de sauvetage !... »

(A noter que ce remarquable ouvrage Larousse regorge de témoignages de ce genre, authentiques, plus édifiants encore !!! Et en ce qui concerne la description du “Titan”, il faut savoir aussi que l’on y retrouva même les détails les plus précis, nombreux, sur le “Titanic” !...)


D’autres farouches athées aiment également nous asséner ce genre d’argument (constituant “la preuve formelle et absolue” (?) de l’inexistence de Jésus) :
«... L’éminent historien juif helléniste et philosophe Philon, vivant à l’époque supposée de Jésus, ne le mentionne pas. Les quelques quarante historiens qui se sont succédés dans les deux premiers siècles ne l’ont pas mentionné davantage. Il reste suffisamment d’écrits de [ces] auteurs … pour former une bibliothèque. Et pourtant dans cette masse de littérature juive et païenne (excepté 2 passages -contestés- dans les écrits d’un auteur juif, et 2 autres dans les œuvres d’écrivains romains), on ne trouve aucune mention de Jésus-Christ. Leur silence constitue un témoignage assourdissant pour les historiens. Dans toute l’œuvre de l’historien juif Josèphe, formée de nombreux volumes, il y a seulement deux paragraphes qui prétendent se référer à Jésus... »

Ainsi donc, le fait que de nombreux historiens ignoraient - ou méprisaient (?) - l’Oeuvre de Jésus, et donc son existence... serait LA Preuve !... Or, regardez donc dans vos divers dictionnaires ou encyclopédies (“Larousse”, “Encyclopaedia Universalis”, “Quid”, etc.) s’ils mentionnent les oeuvres, ou ne serait-ce que l’existence, de si actives et influentes personnalités comme Antoine Béchamp, René Quinton, Henri-Charles Geffroy...

Vous en trouverez aussi beaucoup qui ignorent leur existence !

Et par contre, ce sera pour vous un vrai coup de chance de tomber sur un Écrit - officiel évidemment, pas genre “Journal de La Vie Claire” ou “Lettre de l’Agnvs” - qui oserait seulement mentionner leur nom ! Et ne parlons même pas de leur oeuvre...

(MÊME SUR LE NET, IL FAUT AVOUER QUE SI NOUS N'AVIONS PAS ÉTÉ LÀ POUR TENTER D'Y REMETTRE UN PEU DE CULTURE AUTHENTIQUE... HENRI-CHARLES GEFFROY RESTERAIT TOTALEMENT INCONNU.... INEXISTANT !

QUAND ON PENSE QU'IL A MÊME FALLU QUE L'ON SE BATTE CONTRE "LA VIE CLAIRE" ACTUELLE QUI, DANS LE PEU DE PHRASES QU'ELLE LUI CONSACRAIT, OSAIT PRÉTENDRE QU'IL PRÉCONISAIT LES ALIMENTS LAITIERS ET CARNÉS QU'ELLE VEND ACTUELLEMENT...
ALORS QUE TOUT SON COMBAT PENDANT PLUS DE 40 ANS AVAIT JUSTEMENT ÉTÉ L'ALIMENTATION BIO-VÉGÉTALIENNE !... (DONC : SANS VIANDE ET SANS LAIT !))

Cela signifierait donc que le découvreur des microzymas, l’inventeur des thérapies marines, ou le fondateur de La Vie Claire n’auraient, eux-aussi, comme Jésus, jamais existé ?


On le constate bien, toute cette littérature athée et prétendument scientifique et historique, ne repose que sur une authentique « MAUVAISE FOI » (!!)
(Car l’athéisme n’est qu’un système de croyance comme un autre, peut-être pas pire que les dérives fanatiques d’autres croyances, certes, mais certainement pas, comme les athées aiment le croire : “meilleur”, ou “supérieur” !)

Bref, comme le concluait finalement Pierre Lance lui-même dans son “Ère Nouvelle” de décembre 2004 (présentant l’ouvrage de notre ami commun Georges Krassovsky Ce que Jésus a voulu dire) :  « Je n’ai rien contre Jésus, à supposer qu’il ait vécu, ce qui est d’ailleurs sans importance, car s’il n’a pas vécu, un autre a vécu pour dire ce qu’on dit qu’il disait... et cela revient au même ! »


Voici cependant, juste pour mettre un terme à ces précédentes “informations historiques” qui tentent de prouver avec tant d’arrogance l’inexistence de Jésus (assertions continuellement répétées, tels des dogmes religieux !), quelques autres informations qui démontrent le contraire (trouvées sur le site internet “http://www.foibiblique.com”) :

« Le témoignage le plus ancien en-dehors des Évangiles vient d'une lettre de Mara, un philosophe, à son fils Serapion entre 73 et 165 après J.C.. Ce n'est pas l'élément le plus probant, disons-le tout de suite. Dans cette lettre, le mot "Jésus" ne s'y trouve pas mais « un sage roi des Juifs » est comparé à Socrate et à Pythagore. La lettre dit : "Quel avantage les Athéniens tirèrent-ils en mettant à mort Socrate ? La famine et la peste vinrent sur eux comme jugement pour leur crime. Quel avantage les hommes de Samos tirèrent-ils en brûlant Pythagore ? En un instant, leur pays fut recouvert par le sable. Quel avantage les Juifs gagnèrent-ils en exécutant leur Roi sage ? Leur nation fut abolie peu de temps après cet événement. Dieu vengea justement ces trois hommes : les Athéniens moururent de faim ; les Samiens furent engloutis par la mer ; et les Juifs, détruits et arrachés de leur pays, vivent dans la plus complète dispersion. Mais Socrate ne mourut pas pour toujours ; il survécut dans les enseignements de Platon ; Pythagore ne mourut pas pour toujours, il survécut dans la statue d'Hera. Le Roi sage ne mourut pas non plus pour toujours, il vit dans les enseignements qu'il a donné." ..

On voit dans cette lettre que son auteur n'est pas un historien, puisque Pythagore n'est pas mort brûlé (QUOIQUE CE N'ÉTAIT PAS LOIN D'ÊTRE LA VÉRITÉ... SON ÉCOLE PYTHAGORICIENNE FUT BRÛLÉE AINSI QUE NOMBRE DE SES TRAITÉS... MAIS LUI FUT ASSASSINÉ PAR LES MÊMES QUI AVAIENT MIS LE FEU À SON OEUVRE) et que la famine et la peste n'ont pas touché Athènes à la mort de Socrate.

Néanmoins, le roi sage des Juifs qu'il décrit ressemble beaucoup à Jésus : sagesse, enseignements en circulation, condamnation à mort par son peuple, destruction et dispersion d'Israël après sa mort. On ne voit personne d'autre que Jésus qui puisse correspondre à cette liste. Certains ont pensé à un roi d'Israël assassiné au temps de la dispersion babylonienne, mais aucun ne correspond au reste (sagesse, enseignements). Cette lettre est donc probablement le témoignage indirect d'un païen, de l'existence de Jésus et de la circulation de ses enseignements...

Flavius Josèphe parle de Jésus mais sa déclaration qui le décrit comme "un homme sage, si on peut l'appeler un homme" (Antiquités, Livre XVIII chap. 3 § 3) est contestée depuis le XVIe siècle. En voici le texte :  "Maintenant il y avait, en ce temps-là, un certain Jésus, un homme sage, s'il est permis de l'appeler un homme, parce que c'était un faiseur de miracles, et un enseignant qui enseignait de telle manière que les hommes l'écoutaient avec plaisir. Il s'attirait après lui, à la fois beaucoup de Juifs, et beaucoup de Gentils. C'était le Christ, et lorsque Pilate le condamna à être crucifié, à la suggestion des principales personnalités parmi nous, ceux qui l'aimèrent depuis le début ne l'abandonnèrent pas ; parce qu'il leur apparut de nouveau le troisième jour, comme le leur avaient annoncé les prophètes, ainsi que dix mille autres merveilles à son sujet. Et la tribu des Chrétiens, ainsi nommés d'après son nom, n'est pas encore éteinte à ce jour." ...
D'un côté, il est vrai que Josèphe parle de Jésus avec tant de vénération qu'on y reconnaît plus la touche d'un chrétien que d’un juif pharisien. Eusèbe, qui cite souvent Josèphe, ne mentionne jamais ce passage.
Mais plusieurs chercheurs ont travaillé assidûment sur ce passage et une majorité d'entre eux se refusent à l'éliminer en son entier. Ils en enlèvent les parties les plus improbables mais gardent le principe d'une description de Jésus !...

D'un autre côté, cette citation se trouve dans tous les manuscrits de Josèphe (en toutes les langues).

De plus, Josèphe mentionne en un autre endroit « Jean le Baptiste » (Antiquités XVIII chap. 5 § 2) et « Jacques, frère de Jésus qu'on appelle Christ » (Antiquités XX chap. 9 § 1) deux passages non contestés. La conclusion des historiens, même les plus sceptiques est bien résumée par Renan (un sceptique français) :
« Je crois le passage sur Jésus authentique. Il est parfaitement dans le goût de Josèphe... On sent seulement qu'une main chrétienne a retouché le morceau, y a ajouté quelques mots sans lesquels il eut été presque blasphématoire, a peut-être retranché ou modifié quelques expressions. » (Vie de Jésus, p. 12).

Tacite (Annales 1 XV § 44) : « Néron a infligé les tortures les plus recherchées à ces hommes qui sous le nom commun de chrétiens, étaient déjà marqués par la plus méritée des infamies. Leur nom tire son origine de Christ qui, sous le règne de Tibère avait subi la peine de mort par un décret du Procurateur Ponce Pilate. » Certains historiens ont émis l'hypothèse d'une interpolation, comme pour Josèphe. Mais cette théorie ne repose sur rien, tous les manuscrits des Annales de Tite contenant le texte entier.

Gibbon : « La critique la plus sceptique doit respecter la vérité de ce fait extraordinaire et l'intégrité de ce si fameux texte de Tacite. Cela est confirmé par Suétone (In Nerone, chap. 16), historien aussi diligent qu'exact, qui mentionne le châtiment infligé par Néron aux chrétiens, une secte d'hommes qui suivaient une nouvelle et “criminelle” superstition. Ensuite, la chose est confirmée par le consentement des plus anciens manuscrits, par le style inimitable de Tacite qui a gardé son texte de toute interpolation par une fraude pieuse. Enfin par la continuité de son récit qui accuse les premiers Chrétiens des crimes les plus atroces... » (!) (Chute et Déclin de l’Empire Romain, vol. 2, chap.16)

Pline le Jeune, gouverneur de Bithynie en 112 écrit à l'empereur Trajan (Epîtres X, 96) et lui demande conseil concernant le traitement des chrétiens. Pour les démasquer, il explique à l'empereur qu'il « les fait maudire Christ, ce qu'un vrai chrétien ne fera jamais ». Puis il cite leur défense : « Les chrétiens arrêtés affirment que leur culpabilité ou leur erreur se limite à se réunir en un jour fixé, avant le jour, pour chanter des hymnes à Christ comme à un dieu, et se lier par un voeu solennel, non pour quelque mauvaise action, mais à ne jamais commettre de fraude, de vol, d'adultère, à ne pas trahir leur parole, et à ne pas renier leur foi si on le leur demandait. »

Thallus, historien samaritain, cité par Julius Africanus, un chrétien du IIIe siècle :
« Thallus, in le troisième livre de ses Histoires, élude les ténèbres [au moment de la crucifixion] comme provenant d’une éclipse du soleil, ce qui est absurde, parce qu'une éclipse du soleil ne pourrait avoir lieu au moment de la pleine lune, et c'est justement au moment de la pleine lune pascale qu'eût lieu la crucifixion. » ... Ce témoignage d’Africanus montre que les 3 heures de ténèbres pendant la crucifixion de Jésus (rapportées en Matthieu 27/45, Marc 15/33, Luc 23/44) provoquait un débat chez des historiens des trois premiers siècles, non sur leur existence mais sur leur explication ! »


Evidemment, c’est une gageure de prétendre régler la question de “l’existence” de Jésus en seulement deux pages. Il est cependant un fait irréfutable - malgré l’acharnement de certains à nier obstinément la réalité - que Jésus a bel et bien existé
(et pas seulement “quelqu’un d’autre qui aurait compilé d’autres écrits pour lui faire dire ce que l’on dit qu’il disait” (!!!))...

La Lettre de l’AGNVS, en 2005, continuera donc ce dossier pour aller explorer encore plus avant le COEUR même de l’authentique message christique, et ainsi mieux l’entendre, mieux le comprendre,... et mieux le vivre !




Citation (qui a envahi beaucoup de sites, blog et forums) : << LEON X, qui gouverna l’Eglise au début du XVIème siècle, confia à son secrétaire, le cardinal Bembo, qui nous le rapporte dans ses écrits : « On sait depuis des siècles combien cette fable du Christ a été profitable à nous et aux nôtres ».
PAUL III, qui prend le trône pontifical peu après Léon X, déclare à l’ambassadeur d’Espagne auprès du Saint Siège, Mendoza, « que le Christ n’était autre que le soleil adoré par la secte mithraïque, et que Jupiter Ammon, représenté dans le paganisme sous la forme du bélier ou de l’agneau ». Toujours selon Mendoza, Paul III expliquait les allégories de son incarnation et de sa résurrection par le parallèle du Christ et de Mithra. Il disait que l’adoration des mages n’était autre que la cérémonie dans laquelle les prêtres de Zoroastre offraient à leur dieu l’or, l’encens et la myrrhe, les trois présents affectés à l’astre de la lumière. Il osait dire, ce pape, que l’on ne disposait d’aucun document d’une authenticité irrévocable qui prouvât l’existence du Christ comme homme et que, pour lui, sa conviction était qu’il n’avait jamais existé, Mithra et Jésus étant un seul et même dieu. >>

Daneel : Qui affirme ça ?...
Des disciples fervents de ces fameuses "sectes anti-chrétiennes" de la Franc-Maçonnerie !

Quelle crédibilité peut-on franchement accorder à des gens qui passent leur temps à dénigrer et salir ceux qui ne pensent pas comme eux ?

(C'est comme si l'on demandait à des vivisecteurs de témoigner sur les associations "anti-vivisection" !
Ou à des chasseurs particulièrement viandards de dire ce qu'ils pensent des "églises écolos" spécialisées dans la défense de l'animal et la dénonciation de la Chasse !....
Vous voyez ce que je veux dire ?

C'est comme si on demandait également à des << médecins >> thuriféraires de l'industrie pharmacochimique de témoigner sur les "sectes anti-vaccinales" (!), ou les << scientifiques >> du nucléaire ou des OGM de rédiger des articles historiques sur les "dangereux terroristes" genre José Bové ou Monique Séné (une physicienne "anti-nucléaire" du Groupement de Scientifiques pour l'Information sur l'Energie Nucléaire")...

==> Citation infondée !!!!!!!!!!!!!

On a beaucoup répété une réponse que Léon X aurait faite au cardinal Pietro Bembo : « On sait de temps immémorial combien cette fable du Christ nous a été profitable. » (All ages can testifie enough howe profitable that fable of Christe hath ben to us and our companie parfois citée en latin Quantum nobis nostrique que ea de Christo fabula profuerit, satis est omnibus seculis notum)

Ceux qui citent cette phrase allèguent parfois comme source Jean Pic de la Mirandole, mais sans référence précise. Il semble que l'attribution de ce blasphème à Léon X remonte à John Bale (1495-1563), auteur anglais anticatholique (John Bale, The Pageant of Popes, éd. 1574, p. 179).


(A noter que c'est aussi dans l'article "Franc-Maçon" cité précédemment, que, parmi tout un long baratinage d'embrouilles et "d'a-peu-près" plus ou moins mensongers, fallacieux et singulièrement "scientiste" (oui oui, ce sont les mêmes "Esprits Libres" qui nous soutiennent que "L'effet de serre n'existe pas et qu'il n'y a aucun réchauffement de la planète" (!)... ou encore que les vaccins ont sauvé l'humanité de l'extinction (menacé par les vilains virus, microbes et bactéries qui ne cherchent qu' à la détruire)... ou encore que la viande est absolument nécessaire à la survie des hommes !!!)...

"FACE A LA CONNERIE,
IL Y A AUSSI UN DEVOIR DE RÉSISTANCE !"

Bref, je disais donc : c'est dans cet article pour le moins tendancieux que l'on peut lire aussi cette contre-vérité assénée péremptoirement : "le célèbre faussaire Eusèbe de Césarée" (sic)....
Or, cela est aussi vrai que les prétendues citations de Paul II ou Léon X !

C'est comme pour la si célèbre phrase de Voltaire :
<< Je ne partage pas vos idées mais ferais tout pour que vous puissiez les exprimer >>...

Ou celle de Clémenceau en 1903 à propos de Napoléon :
<< Il est avéré que Napoléon n'a pas existé du tout, tout n'a été que farce littéraire, que les crédules et les profiteurs ont su mettre à profit >>...

Où même la si célèbre phrase de Galilée << Et pourtant elle tourne ! >>
(Là aussi, une totale invention d'un écrivain très imaginatif !!!!!!!!!!!!!)

A noter que, comme les "légions démoniaques", les sites, blogs et forums qui répètent en Choeur ces mensonges médisants sont innombrables, se trouvant comme alliés dans cette oeuvre de démolition et de salissure, non seulement tous les authentiques esprits pervers et lubriques de la terre, mais aussi tous les "sectateurs" des croyances opposées à l'enseignement catholique : depuis la religion athée, en passant par la religion ouvertement proclamée comme "sataniste", jusqu'à cette myriade de mouvements plus ou moins délirants issus du "Nouille-Age", et racontant tout et n'importe quoi !
Jusqu'aux philosophes prétenduement rationnels - tel Michel Onfray (qui raconte pourtant lui aussi souvent n'importe quoi !) -, qui n'hésite pas lui non plus à sortir de son carquois, ces flèches empoisonnées à la médisance : << Il est remarquable, aussi, de noter que deux papes du XVIe siècle ont affirmé le caractère légendaire de Jésus : Léon X et Paul III. Le premier confia à  son secrétaire, le cardinal Bembo : « On sait de temps immémorial combien cette fable de Jésus-Christ a été profitable à  nous et à  nos proches ». Quant au second, il déclara au duc Mendoza, ambassadeur d'Espagne :  « N'ayant pu découvrir aucune preuve de la réalité historique de Jésus-Christ de la légende chrétienne, j'étais dans l'obligation de conclure à un dieu solaire mythique de plus. » Les papes eux-mêmes ont douté !... >> (cf. http://aristippe.over-blog.com/article-5197204.html )

Quand on est obligé ainsi de marteler comme preuves de sa raison ses FAUX frauduleux... c'est bel et bien la preuve au contraire que l'argumentation raisonnable et sensée de l'inexistence de Jésus est inexistante !...
En utilisant leurs techniques, on pourrait tout aussi bien prouver la non existence de Napoléon, d'Einstein ou de Mère Térésa ! (Ne saviez-vous donc pas que l'on avait plus de preuves de l'existence de Jésus que de Napoléon ?... )

Dans le site "abracadabrantesque" << Le gros mensonge de la Bible >>, on peut lire aussi parmis la tripotée de mensonges insensés - densité plus lourde encore que le plomb en ce qui concerne le nombre de conneries au mètre carré ! - :
<< comme Jésus-Christ, Juan Diego n'a jamais existé ! >>
(Ben voyons. La fameuse Tilma non plus n'a jamais existée, pas plus que de Robespierre ou Mao, ou Staline, Pol Pot ou Hitler...




(*) Le 12 décembre dernier, c'était la fête de ND de Guadalupe.
Vous avez déjà entendu parler de cette apparition miraculeuse ?

Probablement pas en France... à moins d'être Chrétien ! (Ou d'avoir lu mon "vieux" message à son sujet : Mensonges catholiques ?... (Juan Diego et Guadalupe))

Voici à l'occasion de ce récent anniversaire, le message de "l'Institut Catholique Argentin pour l'investigation des Miracles" :
<< Miracles relatifs au manteau de Notre Dame de Guadalupe.
Le premier miracle du manteau de la Vierge Marie - LA TILMA - a été réalisé par la Mère de Dieu le 12 décembre 1531.
La Vierge Marie avait demandé à saint Juan Diego d'aller au sommet du Mont Tepeyac pour y cueillir les fleurs qui s'y trouvaient, afin de les apporter à l'évêque de Mexico qui avait demandé au Ciel un signe pour s'assurer de la véracité de la demande de Marie par l'intermédiaire de son humble messager.

La Sainte Vierge demandait en effet que l'on construise une chapelle en son honneur au sommet du mont. Ainsi, quand Juan Diego se présenta à l'évêque Zumárraga, il ouvrit son poncho et laissa tomber les fleurs qui étaient des roses de Castille. Mais ce qui étonna davantage les témoins fut de les voir disparaître au moment même où ceux-ci les prenaient des mains de Juan Diego. En déposant son poncho devant l'évêque, on aperçut dessiné l'image de la Très Sainte et toujours Vierge la Mère du Vrai Dieu, image qui se conserve toujours aujourd'hui.

Le 26 décembre 1531, il y eut une procession au Mont Tepeyac où se réunirent de nombreux indiens chichimèques ; ceux-ci jouaient avec leurs arc et leurs flèches et dansaient selon leurs coutumes. Malheureusement une flèche tirée au hasard transperça la gorge d'un indien qui accompagnait le "Manteau". Il mourut à l'instant. C'est devant l'image que l'on retira la flèche et aussitôt on vit se former une cicatrice et l'indien ressuscita.
A partir de ce moment là, les indiens se convertirent au catholicisme au nombre de 9 millions.

En 1751, Michel Cabrera analysa avec Joseph Ibarra le poncho et ils constatèrent que l'image n'avait aucune marque de pinceau.
En 1791, de l'acide muriatique tombé sur le côté droit supérieur avec une proportion de 50% d'acide nitrique et 50 % d'acide chlorhydrique, faisant un trou de 10 cm de diamètre. Trente jours après le tissu était reformé sans que personne n'intervint pour réparer l'accident.
Aujourd'hui encore, il reste une marque de la tache et seulement au moyen d'un instrument de précision on peut observer des traces de brûlure.

Au XVIIIe siècle, on fit une copie très semblable de l'original avec le même tissu de maguey (fibres végétales de cactus) : malgré tout, la copie était réduite en poussière quelques quinze années après, tandis que l'original possède déjà près de 500 ans, ce qui est un phénomène inexplicable. Le manteau mesure 1.71 de haut sur 1.05 de large.

Le 14 novembre 1921, le tailleur de pierre Lucien Perez, un anarchiste, dépose un bouquet de fleurs au pied du manteau de Juan Diego, dans lequel il avait mis une charge de dynamite qui détruisit tout alentour, mais laissa intacte le poncho ainsi que la vitre qui le protégeait.

En 1929, le photographe Alfonso Marcué González découvrit une figure humaine dans l'oeil droit de la Vierge.
En 1936, l'évêque de Mexico fit analyser trois fibres du manteau (ce qui donnera plus tard le prix Nobel de chimie pour l'année 1938 et 1949).
Le Dr. Richard Khun d'origine juive découvrit que la peinture de l'image n'avait aucune origine végétale, minérale ni même animale, ni aucun élément des 111 pigments connus dans le monde. Khun en déduit que la peinture n'est pas d'origine humaine.

En 1956, l'ophtalmologue Torruela Bueno découvre qu'en approchant l'oeil pour réaliser un fond d'oeil, la pupille se ferme et en en retirant la lumière, la pupille se dilate de nouveau comme s'il s'agissait d'un oeil humain.

En juillet 1956, le Dr. Lavoignet après huit mois d'intense travail découvre le phénomène optique de la triple image de Purkinge-Samson qui correspond à ce que perçoit l'oeil humain, c'est-à-dire les trois réfractions de l'objet vu.

En février 1979, le Dr. José Aste Tonsmann, chef du Centre Scientifique d'IBM à Mexico, découvre à son tour, grâce à de puissants ordinateurs des phénomènes inexplicables : dans les pupilles des yeux de la Vierge Marie, qui ont un diamètre de 8 mm., sous forme digitalisée, on peut voir douze personnages qui regardent l'image de la Vierge de Guadalupe.
Mais là ne s'arrête pas le côte merveilleux de la surprise. En effet, en agrandissant la pupille de l'un des personnages de la scène, c'est-à-dire de l'évêque Juan de Zumárraga, donc un agrandissement de quelques milliers de fois de ceux de la Vierge, soit 2500 fois plus, on aperçoit alors l'indien Saint Juan Diego montrant le poncho avec l'image de la Vierge de Guadalupe.
Ainsi, en un quart de micron qui est la partie de millionième de millimètre, le Professeur Aste Tonsmann put voir une scène extraordinaire, découverte qui lui ôta le sommeil pendant plusieurs nuits.

Le 7 mai 1979, les scientifiques Jody Brand Smith, professeur d'esthétique et de philosophie et Philipp Serna Callahan, biophysicien de l'Université de Floride et spécialiste en peinture et membres tous deux de la NASA, n'ont pas rencontré de peinture dans l'original du poncho. Ils prouvent que ce n'est pas une photographie qui aurait imprimé le tissu. Ils découvrirent également que le poncho conserve sans aucune explication la température du corps humain oscillant autour de 36,6° - 37°.
Puis le 22 décembre 1981, le RP Mario Rojas, découvre à son tour à l'Observatoire "Laplace" de Mexico que les étoiles du manteau correspondent au solstice d'hiver du 12 décembre 1531 à 10:26 sur le territoire de Mexico, c'est-à-dire à l'heure où saint Juan Diego déploya son poncho devant l'évêque. 
Les astronomes ont certifié le fait. Deux anges furent peints par la suite à côte de la Vierge en dehors des rayons mais trente jours après ils disparurent et aujourd'hui, grâce à des outils très spécialisés et sophistiqués, on peut en trouver la trace.
On aperçoit également les traces d'une couronne peinte sur le chef de la Vierge. Ces différentes peintures dateraient du XVIIIe s. Une peinture a été appliquée sur l'ange de la partie inférieure, sur l'or des rayons et l'argent du cordon et sur le serpent au-dessous des pieds de la Vierge. Cette peinture est en train de disparaître pour restituer les couleurs originales gravées le 12 décembre 1531. Si l'on approche à moins de 10 cm. de la toile on ne voit que les fibres du manteau sans aucune couleur.
Les scientifiques de la NASA découvrirent en outre qu'en passant un rayon laser sur la toile mais de façon latérale le rayon passe sans toucher la peinture ni la toile de telle sorte que l'image est suspendue en l'air à trois dixième de millimètres au-dessus du tissu. Enfin, le gynécologue, en posant son stéthoscope sur la ceinture de la Sainte Vierge Marie qui est enceinte, entendit le bruit des battements du coeur et constata qu'ils s'élevaient à 115-120 pulsations à la minute ce qui correspond aux battements cardiaques du coeur de l'Enfant Jésus, tout comme ceux d'un foetus dans le sein de sa mère... >>









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