jeudi 8 août 2013

POUR QUI ROULE JEAN ROBIN ?







mercredi 20 mars 2013

Jean Robin, la délation et la menace de mort

source : Riposte Laïque

Jean Robin s’est lancé dans des révélations sur quelqu’un qui écrit sous pseudonyme sur la délinquance, Laurent Obertone.

Révélations allant jusqu’où, il est difficile de le dire, car il faudrait savoir ce que permettent de trouver les pistes qu’il donne, mais les éléments qu’il donne, non seulement un nom de site, mais un nom d’éditeur, paraissent suffisamment précis pour dépasser la simple information sur des opinions politiques, et pour permettre d’aller jusqu’à la révélation de l’identité d’une personne.
Le travail du journaliste est bien d’informer sur les idées défendues par les auteurs, enquêter sur ce point relève bien de ce travail là, mais il s’arrête également là. Si quelqu’un utilise un pseudonyme pour sa sécurité (ce qui est visiblement le cas compte tenu du sujet traité par Obertone) révéler son vrai nom ou donner des éléments suffisamment précis pour permettre sa révélation, constitue une mise en danger d’autrui, moralement abjecte, ce n’est plus du travail de journaliste, c’est du travail de contribution à l’assassinat possible d’autrui.

Jean Robin entre donc dans une forme de délation, qu’il ne s’étonne donc pas du dégoût et de la condamnation morale que son action suscite.
Et voilà qu’il ajoute à cette mauvaise action, le mensonge, en accusant Christine Tasin de menace de mort, alors qu’elle écrit clairement qu’elle parle de combat par les mots uniquement :
  »Voir un site, par son unique animateur, qui, jusqu’à présent, se disait du camp des patriotes, tourner casaque et lécher les babouches du politiquement correct et de la délation aux côtés de Mediapart, c’est de la Haute trahison, tout simplement, ce que le bon sens populaire exprime, par un artifice rhétorique très parlant, en disant : « en temps de guerre, ce serait 12 balles dans la peau ». L’image est parlante, même si elle pue la barbarie de ceux qui, en 44-45, ont rendu une justice sommaire et expéditive ; d’ailleurs nous ne sommes évidemment pas de ceux qui lancent des fatwas, et, d’ailleurs, nous sommes loin de ces situations, le combat se joue encore avec le fabuleux pouvoir des mots, qui permet, de façon plus intelligente et plus efficace qu’avec 12 balles, de « tuer » les traîtres à notre cause. « 

Le seul qui accroisse le danger de meurtre aujoud’hui, est Jean Robin lui-même, par ses révélations réelles ou fausses.

Elisseievna
Lire également, sur la délation : L’Etat décore une délatrice, Caroline Fourest
http://elisseievna-blog.blogspot.fr/2013/01/letat-decore-une-delatrice-caroline.html

Jean Robin n'est pas un vrai patriote

Les vrais patriotes défendent Laurent Obertone contre les commissaires politiques de gôche

Source : Riposte Laïque

Le succès sans équivalent du dernier livre d’Obertone les rend malades.

Malgré leurs diktats, malgré leur censure, malgré leurs dérisoires efforts pour, à 4 contre 1 sur les plateaux télé, décourager les lecteurs de suivre le conseil de Marine le Pen, ces derniers se pressent en masse pour aller lire les scandales et injustices quotidiennes dans notre pays, qu’on nous cache. Que les medias officiels nous cachent soigneusement. Et qui, selon Obertone, sont, dans la réalité, bien pires encore que ce qu’il a écrit.

Enfer et damnation, voilà que les épithètes traditionnelles ne suffisent pas. Voilà qu’ils peuvent brandir « fasciste, », « extrême droite  » et compagnie, le Français moyen se bouche les oreilles et se régale.

Obertone dit le vrai et son succès oblige les medias à parler du phénomène, quoi qu’ils en aient.

Alors, voilà que Mediapart décide de dresser ces fauves désobéissants en sortant la grosse Bertha.

La grosse Bertha ? Une ou plutôt des enquêtes que le commissaire politique Plenel aurait diligentées et qui aurait occupé quelques journalistes à plein temps (vous êtes content, n’est-ce pas, ami lecteur, de savoir à quoi servent les subventions à la presse) pour démasquer le loup qui se cacherait derrière Obertone.

Je sais Plenel et Mediapart capables de tout pour casser (ou plutôt essayer) celui qui ne pense pas comme eux et, au passage d’essayer de salir Marine le Pen, celle qui leur fait terriblement peur avec son amour de la nation et de la laïcité. Je ne serais pas étonnée de voir Obertone gagner le procès qu’il leur a intenté, avec comme avocat le talentueux Gilles-William Goldnadel.

La stratégie des nostalgiques de Staline consiste en effet à ne pas parler du contenu du livre, mais à chercher à démolir son auteur, au nom d’un passé supposé sulfureux particulièrement diffamatoire…

Mais j’ose¨dire ici que même si Mediapart avait raison (ce qui, vu les nombreuses bavures professionnelles de Plenel, révélées dans « La face cachée du Monde », est fort douteux) cela ne changerait rien à mon soutien à   La France orange mécanique. C’est une œuvre lucide, l’enquête d’un journaliste sérieux et inquiet de voir ce que devient son pays et ce à quoi sont exposés nos compatriotes.

Quand bien même Obertone serait le pire des individus (ce qui n’est pas l’impression qu’il donne au travers de ses interviews, articles, prises de paroles diverses) au nom de quoi devrais-je jeter aux orties un livre intéressant et juste sous prétexte que son auteur aurait des convictions qui ne seraient pas les miennes ?

A ce compte-là, faut-il faire un gigantesque autodafé des œuvres de Céline l’antisémite,  de celles de Drieu la Rochelle ou de Brasillach ? Les œuvres littéraires doivent-elles être interdites si leur auteur a été délinquant ou nazi ?    Doit-on punir le délit d’opinion comme on le faisait sous l’Inquisition ou sous Hitler ou comme on le fait dans les pays musulmans ? Doit-on transformer un Obertone en proie à la vindicte de l’Ayatollah Plenel en Rushdie français ?

Les chiens sont lancés. Et le pire c’est qu’il y a un site patriote (ou qui se prétendait tel jusqu’à présent) qui se joint à la meute, et dont l’animateur se vante de collaborer avec Médiapart dans la traque du passé supposé du jeune auteur de France Orange Mécanique.    On en perd notre latin. Comment un ennemi atavique de la gauche, qui voue une haine presque pathologique au communisme et à tout ce qui n’est pas libéral peut-il marcher main dans la main avec Mediapart et Plenel, symboles de la haine de la France, de la Nation et des patriotes, amalgamés de manière policière à des beaufs racistes ? Avec Mediapart, le symbole de la collaboration avec l’ennemi ?

Oui, l’ennemi. Parce que nous sommes en guerre. Guerre de l’information officielle contre les sites de réinformation. Guerre des élites contre la France d’en bas. Guerre des européistes-mondialistes contre les patriotes. Guerre des islamo-collabos contre les islamophobes. Guerre des adeptes du remplacement de population contre les Gaulois amoureux de leur pays et de leurs traditions. Guerre de ceux qui veulent à tout prix imposer la société multiculturelle contre ceux qui demandent un effort  d’intégration à ceux qui considèrent notre pays comme un Eldorado. Guerre de ceux qui veulent interdire la liberté d’expression contre les amoureux de celle-ci.

Alors, voir un site, par son unique animateur, qui, jusqu’à présent, se disait du camp des patriotes, tourner casaque et lécher les babouches du politiquement correct et de la délation aux côtés de Mediapart, c’est de la Haute trahison, tout simplement, ce que le bon sens populaire exprime, par un artifice rhétorique très parlant, en disant : « en temps de guerre, ce serait 12 balles dans la peau ».

L’image est parlante, même si elle pue la barbarie de ceux qui, en 44-45, ont rendu une justice sommaire et expéditive ; d’ailleurs nous ne sommes évidemment pas de ceux qui lancent des fatwas, et, d’ailleurs, nous sommes loin de ces situations, le combat se joue encore avec le fabuleux pouvoir des mots, qui permet, de façon plus intelligente et plus efficace qu’avec 12 balles, de « tuer » les traîtres à notre cause. Car, dans ce cas, une étape est franchie. On n’est plus dans ces polémiques imbéciles qui divisent inutilement le camp des patriotes, en s’en prenant tantôt à Zemmour, puis à Fdesouche, puis à Ménard, puis à Marine Le Pen. On est passé à la collaboration active avec un site qui incarne ce que nous combattons au plus profond de nous-mêmes.

Comme si, dans le monde manichéen de la France de 2013, un prétendu patriote pouvait se permettre le luxe de tirer à vue sur ceux qui font l’indispensable travail de réinformation, sur l’Union européenne, l’immigration, l’insécurité ou l’islam, susceptible d’ouvrir les yeux aux Français et de leur permettre de changer le rapport de force.

Comme si, en 1940, celui qui croyait au ciel pouvait se permettre d’insulter celui qui n’y croyait pas, comme si le monarchiste d’Estienne d’Orves pouvait se permettre de cracher sur le communiste Gabriel Péri, comme si celui qui avait été Croix de Feu pouvait se permettre de salir celui qui avait cru au Front populaire…

Christine Tasin

mercredi 6 mars 2013

Jean Robin traité de pute sur jerusalem plus

Jena Rabin,l’arroseur arrosé

source : Judéologie


Après avoir répondu au défi d’Alain Soral au sujet du tatouage d’Elie Wiesel, Jean Robin qui s’est spécialisé dans l’étude d’Alain Soral ,vient d’être traité de pute sur le site internet ultra sioniste jerusalemplus.* Jean Rabin qui bouffe à tous les râteliers mais qui combat surtout Alain Soral, les judéologues et les musulmans, est remis à sa place par ceux la même pour lesquels il tapine.
Pauvre Robin, il n’avait fait que recopier les informations du site http://www.eliewieseltattoo.com/
Jean Robin un quart de juif trois quarts sioniste.

JEAN ROBIN EST UNE PUTE

Cela risque bien de l’emmerder à ce guignol mais je doute qu’il aie en ce moment le temps de lire. Son CV est édifiant. Un coup avec Cohn Bendit puis avec Soral, Menard et radio-courtoisie, le petit rigolo veut qu’on parle de lui surtout. Il est partout à la fois et veut dominer le monde du journalisme. Faut dire qu’il n’a pas de mal, le pervers. Qui n’en a pas plein le cul de lire des articles insipides et souvent militants de la part du 4è pouvoir ?

par Nina

Moi, la prem’s bien sûr. Quand on a vu ce que ces braves journalopes ont l’habitude d’écrire depuis des décennies au sujet de nos chances pour la France ou encore des pseudo-reportages sur le conflit israélo-arabe ou tenez encore…les faits divers à la con où de pauvres gens sont emprisonnés pour pédophilie active alors qu’ils sont parfaitement innocents.

La liste est longue et vlà le Robin qui tente depuis des années de rallier à lui tous les haineux de la francosphère en s’alliant qui avec « égalité et réconciliation » de la pute néo-nazie Soral ou encore avec Paul Marie Coûteaux dont on connait l’acharnement antisémite sur radio-courtoisie.

Le pire dans le personnage infâme du Robin des toiles, c’est qu’il s’annonce devant un autre antisémite notoire Jacob Cohen comme…JUIF !!!! mouahahahahahah L’a rien compris le bouseux de Clermont-Ferrand, c’est pas parce que t’as un parent juif que tu l’es ipso-facto.

Le con !

Le voilà s’attaquant pour les besoins de référencement de son site de merde en train de donner du grain à moudre à toute la fachosphère. Les muslims exultent et les négationnistes en redemandent. Parti à la recherche DE l’article qui boosterait ses records, le p’tit Robin des fientes a été nous pêcher un article mettant en cause l’histoire d’Elie Wiesel.

Il paraît que le grand écrivain et humaniste Wiesel n’aurait pas son tatouage datant d’Auschwitz. Je ne vous raconte pas les aminches et vous demander d’aller jeter un œil sur son article donnerait à cet étron une gaule d’enfer vu que ça ferait marcher à donf son putain de référencement. Oui, je vous sens quelque peu outragés par mon langage grossier…mais je n’arrive pas à trouver mieux quand je parle de merde.

Or donc, Soral l’enfoiré mit au défi son pote Jean Robin d’aller enquêter sur l’imposture supposée d’Elie Wiesel. Pas con, le minus s’exécuta. L’avait rien à se mettre sous le chicot pour énerver la blogosphère et faire plaisir à Paul Marie son pote de radio-courtoisie.

On se fout pas mal de sa trouvaille, un vague article en anglais comme on en trouve des milliers dès qu’il s’agit de porter un coup à la vérité sur la Shoah. Comment contourner la loi effectivement contre le négationnisme si ce n’est qu’en déboulonnant des icônes et les faire passer pour de fieffés menteurs ?
Peu à peu, des petits cons, de grosses putes narcissiques, vous refont l’histoire et se proclament « Maîtres es vérité ». Sauf que la Vérité (mouais…avec un grand V) elle ferait mal au cul de tous ces indigents qui veulent exister coûte que coûte sans une once de moralité.

Il s’en fout ce nase de balancer des inepties. Pire encore, il se cache derrière une pseudo-judéïté qui devrait normalement le faire passer pour un Diogène. Selon les théories fumeuses de cet indigent de la comprenette, il paraîtrait que la « judéomanie » c’est à dire « le phénomène d’admiration outrée pour les Juifs ayant lieu en France, depuis les années 80, en prétendant qu’il existe une discrimination positive à l’égard de la communauté juive et qu’une recrudescence de l’antisémitisme et du communautarisme sont automatiquement liés »

Classe hein ?

On est trop smarts alors on crée de la jalousie et c’est donc normal qu’on nous fasse chier. Je vous la fais courte mais l’idée est là. Il ne lui viendrait pas à l’esprit à ce petit con que si effectivement on a la cote dans de nombreux domaines c’est parce qu’on cherche, qu’on étudie et qu’on se lance. Si les autres sont jaloux ça reste leur problème mais qu’on ne freinera jamais vu qu’on n’a pas du tout envie de s’emmerder.

Leur antisémitisme, qu’il se le carre profond, on ne va tout de même pas pousser l’assimilation au point de devenir des mordus de la starac ou se lancer dans une bourrée auvergnate endiablée pour se la jouer « plis fronçai qu’moi ty meurs… » En conclusion : Vas chier Jean Robin. T’es pas plus cacher que Soral ou Ramadan. Bien le bonjour à Paul Marie et à sa clique de Radio-Paris.


vendredi 1 mars 2013

Jean Robin est un petit merdeux





source : alainzannini.com


Jean Robin, intellectuel stérile (pléonasme) se présente sur son blog comme éditeur-journaliste. Persuadé d'avoir des pensées fondamentales à nous communiquer, il a cru bon, en désespoir de cause, de se publier lui-même, après s'être fait refouler par tous les éditeurs. Tatamis, sa maison d'édition dont la profession de foi se réclame de valeurs comme la pensée libre, la lutte contre la censure ou le politiquement incorrect, ce qui ne mange pas trop de pain, semble rencontrer quelques difficultés à trouver une clientèle. Il est vrai que ses propres ouvrages ne risquent pas de lui en procurer une.

Ses livres ? Parlons-en justement :  

La judéomanie, essaie de surfer sur le thème porteur du communautarisme, décrivant notamment le caractère contre-productif de l'action philosémite en France. Ça aurait pu marcher, avec un peu plus de talent, mais ça n'a pas marché.

Ils ont tué la télé publique, sujet rêvé pour passer à ... la télé, qui adore qu'on lui parle d'elle, est une lourdingue charge de Robin contre ceux qui lui en ont interdit l'accès. Là encore, flop total.

Alain Finkielkraut, la position du missionnaire, au sous-titre racoleur, dédié à l'immense penseur de la condition post-moderne, dont il a pu espérer, en vain hélas, qu'il ferait jouer son réseau bien établi dans les médias afin qu'on y chante ses louanges, n'a pas davantage rencontré le succès. Il ne reste plus à Jean Robin qu'à visionner en boucle la vidéo dans laquelle son philosophe préféré s'engage publiquement, entre deux grimaces, à lire ce petit livre à lui consacré.

Éditeur aux abois, réduit à vendre ses livres au poids par souscription, il s'efforce de rameuter tout ce qu'il peut comme célébrités dans le but de publier enfin le best-seller qui lui permettra de sortir de l'ornière dans laquelle son orgueil mal placé l'a empêtré. Son catalogue étique (une douzaine de livres en trois ans), fait de bric et de broc, dépourvu de tout fil conducteur hormis celui d'essayer de faire un "coup" commercial, fait voisiner sur l'étagère des considérations sur la timidité en amour, le monde des truands, et même, tenez-vous bien, le scandale des radars routiers, thème éminemment littéraire comme chacun sait. Un catalogue donc, qui loin d'honorer son credo flatteur annoncé plus haut, ne fait que regrouper un ensemble de tâcherons dont le souhait commun aurait été de se faire éditer ailleurs. Comme on les comprend !

En attendant de rencontrer le succès, notre éditeur à insuccès se dépense sans compter sur son blog dérisoire où seuls quelques pauvres internautes égarés ont pu échouer par hasard un soir de désespoir. C'est sur ce support cybernétique que dans un message en date du 26 octobre 2009 il reproche à Nabe des propos tenus dans son dernier entretien accordé au magazine Médias.

Vexé de constater que l'on puisse refuser poliment de se laisser publier chez lui,  notre blogueur incontinent fait mine de s'offusquer d'une façon parfaitement démagogique, des derniers engagements publics de Nabe en faveur des Palestiniens. "Toute personne qui se révolte contre Israël est mon ami" affirme Nabe, dans la droite ligne de ses écrits politiques antérieurs. Quiconque achoppe sur ce genre d'assertion témoigne d'une incompréhension totale de l'auteur de Printemps de feu, et par là se révèle indigne d'en publier la moindre ligne. De deux choses l'une, en effet : soit Jean Robin n'a jamais lu sérieusement les livres de Nabe, auquel cas on se demande bien pour quelle raison valable il souhaitait le publier, soit au contraire il connaissait les positions politiques de cet auteur sur cette question, (qui sont depuis toujours sans ambiguïté), et son indignation rétrospective n'en paraît que plus mensongère.

En tout état de cause on se demande bien comment le directeur des éditions Tatamis a pu caresser le rêve naïf de relever son catalogue besogneux en y accueillant celui que de plus en plus de lecteurs considèrent comme le meilleur écrivain français vivant. Ce que ce brave Jean Robin n'a apparemment pas compris, c'est que Nabe n'entend désormais s'exprimer qu'à ses propres conditions. Aucune maison d'édition française n'ayant été capable de les honorer, il était bien naturel que le taulier de la cabane Tatamis rejoigne la cohorte des velléitaires dépités de ne parvenir à exploiter la sueur d'un artiste sous couvert de bonnes intentions. L'expression "Je suis trop cher pour vous" assenée par l'écrivain expérimenté à l'éditeur néophyte, est tout sauf une boutade : l'argent est bien le nœud du problème de Nabe avec les éditeurs. Parce qu'aucun d'entre eux n'a voulu mettre le prix (ce prix que Jean-Paul Bertrand, lui, n'avait pas hésité à payer), il a choisi de se passer de leurs services en toc et de leurs propositions douteuses. Est-ce donc trop demander aujourd'hui que d'exiger son pain, et rien que son pain, pour faire vivre son art quand on est un vrai artiste ?

Quant aux ricanades sur l'image du "censuré maudit", elles sont en grande partie fabriquées par les détracteurs de Nabe, furieux de n'avoir pas réussi à lui fermer tous les accès aux médias. Parce que si on peut effectivement lui compter une quarantaine d'apparitions télévisées, on ne dit jamais qu'elles s'étalent sur une durée de vingt-cinq ans. Pas plus qu'on ne précise le fait incontestable qu'actuellement, Frédéric Taddeï (auquel on peut joindre Franz-Olivier Giesbert dans une moindre mesure) est bien le seul journaliste à lui offrir régulièrement et joyeusement la possibilité de s'exprimer en public.  De son côté, Laurent Ruquier qui sévit pourtant à la télé depuis vingt ans, ne l'a en tout et pour tout invité qu'une seule et unique fois dans une émission de sinistre mémoire aux allures de guet-apens, autorisant son collaborateur Miller à lui nuire délibérément par des moyens fort peu glorieux.

Assurément, Jean Robin, notre éditeur maudit ne méritait pas l'honneur d'une brève sur ce site, et il ne manquera certainement pas l'occasion de nous remercier d'avoir été trop bons de sortir les éditions Tatamis d'un anonymat auquel elles retourneront sans plus tarder.

Voir aussi les commentaires sur son blog

jeudi 28 février 2013

Judéomanie : Jean Robin, Plagiaire ?


source : http://sarkozyisraeletlesjuifs.blogspot.fr/2010/08/judeomanie-jean-robin-plagiaire.html

Cette petite information, vérifiée par mes soins, intéressera sans doute nos lecteurs vigilants.



Dans son livre La Judéomanie, autoédité en 2006, l'auteur Jean Robin écrivait, p. 21 :

« Définition : J’ai créé le mot "judéomanie" pour… »

Interrogé en 2006, à l’occasion de la sortie de ce livre, Robin déclarait encore :

« La judéomanie est un nom que j’ai inventé pour qualifier un phénomène pas vraiment récent, mais qui a pris au fil des années des proportions inquiétantes ».

Sur la page wikipédia qui lui est consacrée, on peut enfin lire : « Jean Robin (…) est également à l'origine du terme de "judéomanie" ».

Or le terme « judéomanie » a, pour la première fois, été employé en mars 2000 par un site révisionniste, niant l'existence des chambres à gaz.

Mars 2000 : soit six ans avant sa pseudo-invention par Jean Robin.

Voici l’extrait sur le site en question :

« On voit poindre la judéomanie : la prétendue "spécificité" n'est qu'une invention tardive et tout à fait politique. » (Conseil de révision, mars 2000, p. 64.).

(Par respect de la loi française, le lien vers ce site ne peut être fourni intégralement, mais il sera, bien entendu, soumis aux autorités en cas de litige, avec les captures d’écran qui s’imposent : www.vhX.Xrg/YYYrgh/fran/livres2/2000.pdf)

Quand le livre La Judéomanie est sorti en 2006, le même site révisionniste l’a ainsi commenté :

« Un certain Robin intitule son livre La judéomanie et affirme avoir inventé le terme. (…) On se contentera de 20% des droits d'auteur. »

(Même remarque pour le lien, voir à l'année 2006 : http://www.vhX.Xrg/YYYrgh/fran/livres3/CRindex.html)

Conclusion : Le terme « judéomanie » n’a pas été inventé par Jean Robin comme il l'affirme, mais par des révisionnistes (ce que le sioniste Robin n’est pas, de toute évidence). 

Néanmoins, nous sommes désormais en droit d’attendre de lui qu’il signale cette information capitale dès qu’il emploie son terme fétiche... qu'il n'a pas inventé, tant pis pour lui.

Quand je disais que Jean Robin n'est pas sérieux...

Paul-Éric Blanrue 

------------- Nota bene :

Piqué au vif par ce petit texte explicite, Jean Robin me répond qu'après avoir fait quelques recherches sur le net, il s'est aperçu que le terme "judéomanie" daterait non de l'an 2000 mais de 1973. Il en déduit que, par conséquent, "Paul-Eric Blanrue n’est pas sérieux"... On notera, tout au contraire, que Paul-Éric Blanrue est très sérieux, puisque le terme "judéomanie", précisément, comme il est écrit plus haut, n'a pas été inventé par Jean Robin comme il le prétend faussement depuis quatre ans.

Alors même que j'écris en toutes lettres qu'il n'est pas révisionniste, Jean Robin en profite pour faire croire que j'ai voulu le "diaboliser" en l'associant à des révisionnistes. Ses amis sionistes lui ont-ils demandé des comptes ? Il reste, en tout cas, que Jean Robin a mauvais souvenir, puisque ce sont les révisionnistes eux-mêmes qui, dès 2006, l'ont associé à leur combat, en la personne de Pierre Guillaume - l'éditeur du chef de file des révisionnistes français, Robert Faurisson - dans son bulletin de La Vieille Taupe (VT).

Trois exemples en font foi :

1° Ce carton, d'abord, adressé en 2006, lors de la sortie de La Judéomanie, aux lecteurs de Pierre Guillaume, signé Chard (dessinatrice aux journaux nationalistes Présent et Rivarol), qui montre une "vieille taupe" faisant son entrée sur un.... tatami. Les éditions Tatamis ont été fondées par Jean Robin ; et c'est aux éditions Tatamis que l'éditeur Jean Robin a publié en 2006 La Judéomanie de l'auteur Jean Robin. Peut-être la devise figurant sur ce tatami évoquera -t-elle quelques souvenirs à Jean Robin ?




2° Dans le bulletin n°18 de la Vieille Taupe (13-22 septembre 2006), l'organe de Pierre Guillaume, on peut lire cette publicité pour le livre de Robin : « Enfin vous pouvez accélérer considérablement la diffusion du livre de Jean Robin, La Judéomanie et contribuer à la généralisation de l’emploi de ce mot, comme naguère ils avaient imposé «Holocauste», en le commandant en librairie (indiquez au libraire : Éditions Tatamis). Les temps changent, le sens des mots y participe ! »

3° Dans le n°22 de la Vieille Taupe (décembre 2007-janvier 2008), on lit à nouveau, sous la plume du même Pierre Guillaume : « C’était enfin la concrétisation de l’orientation que je n’étais jamais parvenu à imposer dans le mouvement révisionniste : La collaboration des opposants et des victimes du dogme judaïque, des défenseurs de la liberté pour l’histoire, des laïques véritables et des républicains véritablement opposés au communautarisme envahissant. Fermement opposé à la loi Gayssot, avec des arguments solides, Jean Robin, avec son livre La Judéomanie devait être inclus dans ce mouvement, nonobstant son hostilité au révisionnisme. C’est fait, en dépit des impérities et des lenteurs de la diffusion. La miraculeuse intervention post mortem de Raymond Barre, dont les effets ne sont pas terminés, est venue à point nommé relancer le plan de bataille de la VT. »

Décidément, Jean Robin semble éprouver de sérieux problèmes de mémoire. 

Une nouvelle fois, il démontre qu'il n'est pas un interlocuteur sérieux. 

Et ça commence à se savoir...
PEB

Jean Robin n'est pas sérieux




source : http://sarkozyisraeletlesjuifs.blogspot.fr/2009/07/jean-robin-nest-pas-serieux.html


Le "journaliste et éditeur" Jean Robin, ainsi qu'il se désigne lui-même, vient de consacrer à mon livre, Sarkozy, Israël et les juifs, deux vidéos qu'il diffuse sur dailymotion et sur son blog (http://tatamis.blogspot.com/). Sur la seconde, il apparaît en short et chaussettes, assis sur son divan.
Ces documents se résument à une critique partiale de mon ouvrage et de la publicité qui en est faite. Ils contiennent de grossières erreurs et de graves approximations, qui démontrent que Robin m'a lu en diagonale et qu’il n’a rien compris à l’affaire suscitée par la publication de mon livre.
Voici, point par point, ma première et dernière réponse à ce blogueur, afin de clarifier ma position une fois pour toutes à ce sujet. On comprendra vite les raisons pour lesquelles le débat que Robin réclame avec moi est inopportun.



Je ne serais pas censuré ?


Pour commencer, Jean Robin claironne que je ne suis pas victime d'une censure en France. Lui, "éditeur français", dit-il, est prêt à m'éditer. Il n'a pas saisi le fond du problème. Je suis édité. Et je m'apprête même à être édité en langue arabe (entre autres). Si je suis victime d'une censure, tout d'abord, c'est parce que le diffuseur français de mon éditeur belge, Marco Pietteur, refuse de diffuser mon livre sur le territoire français, alors que l'ouvrage n'est ni interdit, ni poursuivi (en France comme en Belgique).
Pour schématiser, un éditeur fait imprimer le livre et le met sur le marché, tandis qu'un diffuseur a pour charge de le faire livrer aux librairies. Le diffuseur de mon éditeur, en refusant de le diffuser dans les librairies françaises, l'a donc condamné à être bloqué à la frontière franco-belge et à n'être diffusé, pour le moment, que dans les librairies belges. Ainsi, en France, le livre n'est-il vendu que sur internet (sur le site de l'éditeur : oserdire.com, et non sur amazon, comme le dit Robin), ou dans les quelques rares librairies courageuses qui l'ont commandé d'elles-mêmes, comme la librairie parisienne Résistances qui vient de subir l’assaut d’individus cagoulés se revendiquant de la LDJ (Ligue de défense juive). Cette scandaleuse absence dans les librairies françaises, jamais justifiée par le diffuseur, est à juste titre nommée "censure par le vide" par mon avocat M° John Bastardi Daumont.
L'autre pan de la "censure par le vide" que nous dénonçons, Bastardi et moi, tient dans le fait qu'aucun grand média français n’ait parlé de ce livre depuis sa sortie, au mois de mai dernier. Alors que la salle de l'hôtel était pleine de lecteurs, seuls deux journalistes se sont déplacés à ma conférence de presse du 4 juin, sans qu'aucun article n'en ait rendu compte à ce jour.
Il est aisé de comprendre que, devant le succès de l'ouvrage (qui en est déjà à sa seconde édition et qui est en train de bénéficier de plusieurs traductions malgré sa mise à l'index de fait, en France), Jean Robin ait pris ombrage de n'avoir pas été sélectionné parmi les éditeurs que j'ai contactés. Mais je me dois de signaler que je me suis contenté de joindre les éditeurs sérieux, qu’ils soient de France, comme La Fabrique ou de Belgique, comme Aden. La maison Oser Dire de Marco Pietteur, qui publie Michel Collon et Eva Golinger, a, de toute évidence, plus de tenue que celle de Jean Robin, surtout célèbre dans son quartier pour avoir publié, entre autres, deux livres de.... Jean Robin lui-même.


Je ne m’attaquerais pas aux préjugés ambiants ?


Jean Robin s'interroge sur les "préjugés ambiants" que je mets en lumière dans mon livre. Selon lui, affirmer que Sarkozy est pro-israélien, comme je le fais, constituerait un "préjugé ambiant" que je ne dénoncerais pas. J’enfoncerais, à l’en croire, "des portes ouvertes". Or le préjugé ambiant auquel s’attaque mon livre est celui-ci : l’accusation systématique d’antisémitisme envers ceux qui critiquent Israël. Telle est la situation que je dénonce. Cette assimilation est, depuis la seconde Intifada au moins, la stratégie de l'AIPAC, du CRIF, de l'UEJF, de l'UPJF et de nombreuses autres associations qui prétendent représenter les intérêts de la communauté juive, alors qu'elles soutiennent d'abord et surtout les intérêts d'Israël, faisant un chantage permanent à l'antisémitisme à leurs contradicteurs. J'ai expliqué ce point dans mon livre, dans quelques interviews parues sur le net et dans des vidéos accessibles sur youtube ou dailymotion. Robin n’en tient aucun compte : à croire qu’il ne m’a pas lu, ni entendu.


Je préjugerais de la position anti-israélienne du général de Gaulle ?


D'après Robin, pour définir ce qu'est le gaullisme, je m'en tiendrais à la fameuse déclaration du général de Gaulle, lors de sa conférence de presse de novembre 1967, où celui-ci évoque les juifs comme un "peuple d'élite, sûr de lui et dominateur". Auparavant, dit Jean Robin (hâtivement), de Gaulle était "pro-israélien", comme il avait été, dit-il, pro-Algérie française en 1958, avant d'évoluer.
Robin n'a pas compris que le gaullisme ne se définit pas par le soutien de son fondateur à la colonisation, mais au contraire par sa démarche décolonisatrice. De la même façon, bien que de Gaulle ait été le "nègre" littéraire de Pétain avant-guerre, nul ne confondra les activités du général et du maréchal durant la guerre de 39/40. Même chose pour Israël. En réaction aux propos du général, Raymond Aron, dans son livre De Gaulle, Israël et les juifs (Plon, 1968), a bien montré, quoique sur un mode critique, que ce dernier avait "ouvert une nouvelle période de l'histoire juive".
L'ancien chef de la France libre avait en effet réagi à un détail qu'oublie de noter Robin : la guerre des Six jours, qui eut lieu en juin 1967, et dont les conséquences se font encore sentir de nos jours, puisqu'alors Israël envahit et annexa, entre autres, le Golan, la Cisjordanie et la bande de Gaza, qui sont toujours au coeur du conflit israélo-palestinien (voir l'opération Plomb durci de décembre 2008-janvier 2009). J'ajoute que de Gaulle ne s'en est pas tenu à cette célèbre conférence de presse et que, le 30 décembre 1967, il répondit à Ben Gourion de la manière suivante :
"Je demeure convaincu qu'en passant outre aux avertissements donnés en temps voulu à votre gouvernement par celui de la République française, en entamant les hostilités, en prenant par la force des armes possession de Jérusalem et de maints territoires jordaniens, égyptiens et syriens, en y pratiquant la répression et les expulsions qui sont inévitablement les conséquences d'une occupation dont tout indique qu'elle tend à l'annexion, en affirmant devant le monde que le règlement du conflit ne peut être réalisé que sur la base des conquêtes acquises et non pas à condition que celles-ci soient évacuées, Israël dépasse les bornes de la modération nécessaire."
Ce document (coté 26823/27268/Affaires Étrangères) démontre que de Gaulle manifestait, avec fermeté et insistance, sa désapprobation devant un état de fait qui dure encore de nos jours. La citation ci-dessus se trouve dans mon livre d'anthologie que les Éditions Blanche ont publié en 2007, sous le titre Le Monde contre soi, que possède Jean Robin. Il ne s’y réfère pas : pourquoi ? Ce document lui aurait pourtant permis de comprendre la position gaulliste sur Israël.


Je surévaluerais l’influence des loubavitchs ?


Jean Robin remarque que Jacques Chirac, avant Sarkozy, a entretenu de bonnes relations avec la communauté loubavitch et que, malgré tout, il n’a pas eu la même politique étrangère que son successeur. Mais d’autres hommes politiques nouèrent également des liens avec les loubavicths sans être pro-israéliens. La grande différence entre Chirac et Sarkozy, c'est que le premier n'a pas été maire de Neuilly, où la communauté loubavitch a acquis beaucoup de poids. C'est justement ce poids, cette influence, qui ont amené Sarkozy à s'en rapprocher.
Pour autant, je ne prétends nullement que sa familiarité avec les loubavitchs de Neuilly soit la seule cause de son parti pris pro-israélien. C'est seulement une pièce du puzzle, qui explique pour une petite part son évolution. La véritable cause de son alliance avec le camp pro-israélien est à chercher ailleurs. Ainsi que je le déclare dans une interview donnée à Silvia Cattori, dans laquelle je résume la thèse de mon livre, Sarkozy voulait capter les voix de Le Pen ; pour les lui ravir, "il fallait tenir un peu le discours de Le Pen sur les immigrés, les banlieues (...) Mais comment faire pour ne pas être considéré comme raciste et pour qu’il n’y ait pas une campagne contre lui dans toute la presse française qui l’assimile à Le Pen ? Eh bien, c’est très simple : il se présente comme sioniste." (http://www.comite-valmy.org/spip.php?article318). C'était le sésame pour ne pas être attaqué par les grands médias. C'est ce que Sarkozy a fait ; et il a gagné. Jean Robin ne s’en est pas aperçu. Il ne le relève même pas.


Une coquille


Jean Robin trépigne sur une coquille de la page 76, à propos d'une date au sujet des vedettes de Cherbourg. Cette coquille (comme quelques autres, c'est la loi du genre) a bien évidemment disparu de la seconde édition, qui sort, je l’annonce, nantie d’une couverture légèrement différente de la première et avec le bandeau rouge : "À L'INDEX EN FRANCE !".


Je prétendrais que c’est l’État israélien qui a diffusé un timbre à l’effigie de Sarkozy ?


Robin me fait grief de ne pas dire la vérité sur le timbre à l'effigie de Sarkozy, sorti en Israël avant la présidentielle de 2007. Sous-entendant que je prétends qu'il s'agit d'un timbre réalisé par l'État juif, Robin cite le nom de Sylvain Semhoun, qui l'a, dit-il, confectionné par ses propres soins. Or c'est exactement ce que j’écris. Voici le passage incriminé, à la page 83 :
"Juste avant la présidentielle de 2007, l’opinion française découvrit bientôt que les Israéliens disposaient d’un timbre à l’effigie de Nicolas Sarkozy. « Il s’agit d’un petit geste symbolique destiné à resserrer les liens qui unissent les Français d’Israël à Nicolas Sarkozy, déclarait Sylvain Semhoun, délégué élu UMP en Israël. « Nous avons pris comme prétexte l’anniversaire de N. Sarkozy, le 28 janvier, pour éditer ce timbre que l’on peut désormais trouver dans les postes israéliennes », ajoutait-il. "
Robin me reproche de pas citer la bonne source. Mais à l'appui de ce paragraphe, je cite Guysen (note 25), l’agence de presse francophone d’Israël (http://www.guysen.com/articles.php?sid=5592).
Comment est-il possible que Jean Robin ait dénaturé ce passage, au point de lui faire dire l’exact inverse de ce que j’écris ?



J’oublierais de dire que c’est grâce à la France qu'Israël possède la bombe ?



Selon Robin, je cacherais que c'est grâce à la France qu'Israël possède la bombe nucléaire. Non seulement je le dis, mais cette information capitale figure en quatrième de couverture du livre : "c'est grâce à la IVe République que l'État juif avait acquis la bombe atomique".
Comment Robin a-t-il pu passer à côté de cette phrase ?


Il y aurait une continuité entre Mitterrand et Sarkozy ?


Selon Robin, je ne précise pas, et ce serait dommageable, que Attali et Strauss-Kahn étaient des proches de Mitterrand. Robin parle à cet égard de "continuité" entre Sarkozy et Mitterrand. Justement non : sous Mitterrand, le Quai d'Orsay n'était pas aux mains des pro-israéliens, grâce, notamment, à Roland Dumas et à Hubert Védrine. Mitterrand avait résisté, bon gré mal gré, à l’offensive sioniste. Sarkozy, non. C'est l’une des grandes différences qui séparent les deux chefs d’État. La grille de lecture pour comprendre l'actuelle présidence est le sionisme partagé et obligatoire du gouvernement, ce qui n'a jamais été le cas auparavant, depuis de Gaulle. Robin ne s’en est pas rendu compte.


Je ne prendrais pas en compte des éléments importants ?


Robin me reproche de ne pas prendre en considération un certain nombre d'événements qui lui semble importants. Pour cause : ils ne le sont nullement. Tous les éléments qui le confirment figurent dans mon livre. Il est tout à fait clair que le Hezbollah est considéré comme un ennemi par Sarkozy et que Kadhafi n'a été reçu en France que parce qu'il a accepté de s'intégrer, du moins en surface, à l'axe atlantique qu’a rejoint Sarkozy lui-même. Jean Robin ne le sait pas. À moins qu'il fasse l'âne pour avoir du son.


Je considérerais que l’État juif est assimilable
au régime nazi ?


Robin prétend enfin que je ne trouve "pas de problème" à l'assimilation établie par certains antisionistes entre l'État juif et le nazisme. Or page 45, j'écris ceci :
"À ce titre, le sionisme, que certains critiques du camp palestinien assimilent hâtivement au nazisme en se contentant de pointer le nationalisme commun des deux mouvements sans rendre compte de ce qui les sépare...."
Une fois encore, Robin m'a lu avec des oeillères. Une fois encore, il démontre qu’il n’est pas sérieux.


Une affaire sérieuse


Dès lors, on aura compris les raisons pour lesquelles Jean Robin n’est pas un interlocuteur sérieux. Le voilà contraint, pour qu'on parle de lui, de faire sa promotion sur mon dos. En travaillant un peu, il arrivera peut-être, un jour, à percer par lui-même. Ce n’est pas gagné.
Pour ma part, ce que je réclame, c'est un débat national sur la nouvelle politique étrangère de notre pays. C'est la raison pour laquelle j'ai écrit ce livre, et non pour polémiquer à vide dans le monde virtuel de la blogosphère, où la grenouille a tendance à vouloir se faire aussi grosse que le boeuf.
Il s’agit d’une affaire sérieuse : nous parlons de la paix et de la guerre dans le monde. Nous évoquons la souveraineté nationale en péril. La politique étrangère de Nicolas Sarkozy risque d’entraîner la France dans des conflits graves. Il serait temps de nous mobiliser pour que les grands médias s’emparent de ce dossier, qui mérite mieux que des chamailleries sur internet.

Paul-Éric Blanrue, 7 juillet 2009.


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Addendum du 3 décembre 2009.


JEAN ROBIN, CANDIDAT AU POSTE D'IDIOT UTILE

À la date du 1er décembre 2009, sur son blog et sous le titre "Paul-Éric Blanrue ne dit pas tout", Jean Robin  commente la troisième édition de mon livre : 
"Cette fois Paul-Éric revient avec une post-face pour la 3è édition de son livre, dans laquelle il annonce glorieusement avoir enfin trouvé un diffuseur pour son livre en France. Diffuseur qu'il appelle "merle blanc", un nom de code sans doute. En réalité, c'est de mon diffuseur dont il s'agit, et c'est moi qui les ai mis en relation le 8 juin 2009, ils se sont rencontrés et ont conclu un accord. Pourquoi Paul-Éric ne le dit-il pas ? Serait-il gêné qu'un pro-israélien comme moi ait aidé à la diffusion de son livre anti-israélien, par pur esprit de débat et de liberté d'expression ?"
Comme toujours avec Robin, il y a du mou dans la corde à noeuds. La chronologie exacte des faits est sensiblement différente de celle qu'il rapporte. En réalité, le premier à avoir attiré l'attention de mon actuel diffuseur, relativement à l'anomalie de ma situation éditoriale, n'est pas Jean Robin, mais le responsable des éditions InterXXX (Jacques XXX), le 3 juin 2009, c'est-à-dire plusieurs jours avant Robin. Vers cette période, un autre éditeur a également joint celui qui n'était pas encore devenu mon diffuseur, pour lui parler des difficultés rencontrées par mon livre. L'ordre des choses veut aussi que mon nouveau diffuseur connaisse mon éditeur, Marco Pietteur, comme interlocuteur, depuis deux ans ; s'ils n'ont pas travaillé ensemble auparavant, c'est, entre autres, parce que M. Pietteur était sous contrat avec un autre diffuseur, celui-là même qui a fait défection lorsqu'il a fallu distribuer mon ouvrage.
Bref, contrairement à ce qu'il soutient, Robin n'est pas le premier ni le seul à avoir écrit à "son" diffuseur à propos de moi, et il n'est pas davantage à l'origine de la rencontre entre mon éditeur et mon actuel diffuseur. Cette mouche du coche s'attribue là un mérite imaginaire : le connaissant, nous n'en serons pas autrement surpris. Le lecteur se demandera d'ailleurs, à bon droit, de quoi se mêle cet hurluberlu, puisque ce genre d'affaires n'a pas pour habitude de s'afficher sur la place publique.  Si maintenant, sous prétexte qu'il a jadis pris la peine d'écrire un mail à son diffuseur, haut fait que nul ne lui conteste, Robin tient malgré tout à se porter candidat au poste d'IDIOT UTILE ( le "sioniste" aidant "l'antisioniste" à être diffusé... ), libre à lui. Même si, comme on l'a vu, son "utilité" a été toute relative dans cette histoire, cette expression semble taillée à sa mesure.  Une dernière chose : Robin ignore qu'un "merle blanc" n'est pas un "code", mais une expression française signifiant "l'oiseau rare". On dit aussi "perle rare". C'est comme "idiot utile"(Useful idiot, en anglais), ce sont des expressions dont il lui faudra un jour apprendre à maîtriser le sens s'il veut persévérer dans l'édition et comprendre pourquoi certains (et certaines) sourient sur son passage.

mercredi 27 février 2013


Application iPhone contre les arnaques



C‘est justement parce que nul n’est censé ignorer la loi que cette application pour smartphones a été réalisée avec le plus grand soin. Il est question d’une application citoyenne qui vise à dénoncer non pas les niqabs, les fumeurs en infraction ou les mauvais stationnements, mais les abus de faiblesses et arnaques en tous genres que certains zozos donneurs de leçons pratiquent sans vergogne (de vrais crimes et délits…). Après l’histoire glauque et pathétique vécue par le physicien Jean-Pierre Petit avec l’auteur de l’application Observer la loi,  Jean Robin (lire le dossier accablant ici), il nous a semblé urgent de réagir et de faire quelque chose pour mettre en lumière cette problématique de l’abus de confiance dans notre pays malheureusement vieillissant. Que la question des abus de faiblesse soit au centre du débat public comme elle le mérite grandement, vu le nombre inquiétant de victimes. Pensez à vos proches, vos parents,… cette situation est devenue insupportable. Il semble, selon les premiers résultats, que les contrevenants s’agglutinent, tels des rats, autour des maisons de retraites et des associations pour personnes âgées…



source : Le Libre Penseur

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Jean ROBIN Vs Jean-Pierre PETIT : 

l’histoire d’une arnaque !

Il fallait absolument mettre en lumière les agissements de J. ROBIN sur son comportement dégueulasse envers un septuagénaire (75 ans !). Pour ma part c’est plus que de l’abus de confiance ;  on est plutôt dans l’abus de faiblesse, l’arnaque, le chantage et la manipulation des lecteurs et clients au moyen de fausses déclarations… un feu d’artifice de douceurs pour le Robin des bois des médias, le redresseur de torts qui abuse et vole les vieilles gens pour redistribuer dans sa poche… Voici, ci-dessous, l’histoire que nous raconte le brillant physicien, et non des moindres, Jean-Pierre PETIT lors de sa collaboration avec Jean ROBIN qui a eu l’idée de sortir un DVD d’entretiens. Avouez que c’est pour le moins cocasse pour celui qui traita A. Soral de voleur de livre ! Le même ROBIN qui s’arroge le droit de critiquer l’Islam à tout bout de champ !!! Nous exigeons de lui qu’il redistribue la totalité des gains (vente des DVD…) à l’association de J.-P. PETIT, à moins qu’il ne choisisse de traîner cette casserole très longtemps, car nous serons là pour le rappeler à tous.
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Voici le texte de Jean-Pierre PETIT, directement disponible sur son propre site ici.
25 février 2012-7 mars 2012. Réponse à Jean Robin
Depuis quelques jours, je reçois de nombreux messages de lecteurs me demandant la raison de la suppression, le 15 février 2012, de l’accès aux 3 vidéos, toutes consacrées au sujet d’ITER, où j’ai été interviewé, en ligne sur le site d’Enquête et Débat. Jean Robin a ensuite mis en ligne sur ce site , le 20 février 2012, un texte intitulé « Précisions sur Jean-Pierre Petit », où je suis, entre autres, qualifié de « menteur ».
7 mars 2012 : Cette page a plongé dans les oubliettes de l’actualité d’Enquête et Débat. Voici comment y accéder, lire les commentaires et éventuellement en poster un autre : http://www.enquete-debat.fr/archives/precisions-sur-jean-pierre-petit-40887
Par contre, l’icône conduisant à une page incitant les lecteurs d’Enquête et Débat à acheter les DvD de Jean-Pierre Petit est toujours en bonne place, sur la page d’accueil (50 euros par coffret de trois), alors que le pourcentage convenu (3 euros par DvD vendus ) ne parvient plus à l’association Savoir sans Frontières, comme cela avait été convenu. Et cela depuis juillet 2011.

Abus de confiance.
Je n’ai personnellement nul besoin de la « publicité » que jean Robin prétend me faire, à travers ces interviews et je souhaiterais qu’ils soient immédiatement retirés et effacés. Il ne vend plus ces DvD qu’à son profit exclusif. Des lecteurs m’interrogent sur les raisons de cet acharnement, lisible dans la page citée plus haut.
Je n’avais pas jugé utile de porter sur la place publique nos différends, ayant en ce moment des travaux urgents à boucler et bien d’autres sujets plus importants sur lesquels concentrer mon attention. Je m’étais contenté d’indiquer sur mon site, sans en donner la raison, que je ne serais pas présent à la Foire du Livre, à Paris, les 16-17-18 mars 2012 et que je ne suis pour rien dans la supression d’accès aux vidéos, opérée par Jean Robin le 15 février 2012.
Mais les allégations mensongères de Jean Robin me contraignent à apporter une réponse. Dans son article, Jean Robin écrit « Reprenons l’historique ». Voici le véritable historique.
Prise de contact :
Jean Robin me contacte en mai 2011 et me sollicite pour une interview sur le thème de la «liberté d’expression». Avant cela, je ne connaissais ni son site, ni sa maison d’édition, ni sa personne. En regardant son site, l’idée de «donner la parole aux gens et d’organiser des dialogues/débats sans tabous » me parait intéressante. J’accède donc à sa demande d’interview et il passe chez moi le week-end du 21-22 mai 2011, durant lequel, nous avons enregistrons 5 heures d’interview.
Avant sa venue chez moi, il n’est nullement question de vente. A mon domicile, Jean Robin exprime son souhait de commercialiser ces interviews. Personnellement, de toute ma vie, je n’ai jamais vendu une seule interview ! Mais, songeant aux difficultés que peuvent rencontrer des petits médias indépendants, je décide d’accepter que Robin puisse gagner quelque argent en vendant ces interviews sous forme de DVD, ceci dans le but de l’aider.
Nous concluons donc un accord selon lequel, je ne touche personnellement pas un seul centime dans cette opération, mais où 3€ par DvD vendu (vendu directement par Enquête et Débat, sans intermédiaire, au prix de 20 euros, plus les frais de port) devront être versés à l’association Savoir Sans Frontières.
Première « réussite » :
La vente du premier coffret (DvD 1-2-3) est lancée et j’en fais, à la demande de Jean Robin, l’annonce sur la page d’accueil de mon site pour l’aider à démarrer. Ce premier coffret est une réussite (l’article de Robin en témoigne). Il revient donc chez moi passer un second week-end (les 16-17-18 Juillet 2011), durant lequel nous enregistrons 10h d’interview. A cette occasion, Jean Robin m’informe que 400 DvD ont été vendus en 5 semaines, et que donc 1200€ reviennent à l’association Savoir Sans Frontières. Il tient à filmer le moment où il me remet ce fameux chèque et à intégrer cette séquence dans les DvD en vente, ce qui lui donne au passage une bonne image.
Quand des doutes se font jour :
La vente du deuxième coffret (DvD 4-5-6) est lancée. Comme pour le premier, à la demande de Jean Robin, j’en fais l’annonce sur mon site, toujours dans l’objectif de l’aider. Mais le temps passe, et on ne voit plus arriver quoi que ce soit, correspondant en principe à la part revenant à l’association Savoir sans Frontières.
Jusque là, je suis sans méfiance. A partir de novembre, je demande à Jean Robin quel est l’état de vente du deuxième coffret et ce qu’il en est de la suite des ventes du premier. Je lui demande au passage sur quelle somme l’association Savoir sans Frontières pourra compter.. Sa réponse est alors très élusive : « heu, vous savez, le 2ème coffret ne se vend pas aussi bien que le premier. ».
Je lui dis qu’il est alors envisageable d’abaisser la part de Savoir sans Frontières de 3 à 2 euros par DvD vendu, dans l’idée de lui laisser plus de marge. Et en même temps, j’envisage qu’au vu de cette baisse des ventes le troisième coffret de 3 DvD puisse ne pas être édité.
Mais, peu de temps après, Jean Robin me relance, de manière pressante, en me demandant d’annoncer sur mon site la proche mise en vente du 3ème coffret, de manière à bénéficier de pré-paiements qui lui permettraient de financer l’opération sans prendre de risque. Je lui repose alors la question sur l’état de vente des premiers deux coffrets. Là, le ton change et devient incisif : « je vous rappelle que ma femme et moi, nous ne sommes ni retraités ni employés, nous ne sommes pas propriétaires, nous devons d’abord sortir notre loyer et nos salaires… ».
Je comprends à ce moment là que l’Association ne percevra plus un euros sur les ventes de ces 9 DvD d’une heure trente chacun.
D’ailleurs, dans une réponse que Jean Robin a donné @bernard (en date du 20 février 2012), on trouve  : « dès qu’on leur explique qu’on ne touche pas d’une retraite ni un salaire, les problèmes commencent… ».
Quels problèmes ?
Si j’avais su que les choses évolueraient de cette manière, je n’aurais jamais laissé se développer une telle opération dans laquelle l’association Savoir Sans Frontières et moi-même jourions le rôle de « caution morale » ! Il ne s’agit pas d’un simple désaccord sur l’exploitation de mon image, c’est une question d’honnêteté. Le fait est que la séquence où on voit Jean Robin me remettre ostensiblement un chèque de 1200€ lui confère une image durable de « mécène » vis-à-vis de l’association, puisqu’on la retrouvera présente sur tous les DvD, sans limitation de temps, alors qu’il était devenu rapidement clair que cette opération n’était plus pour lui qu’une source de profit.
Quand la situation se dégrade…
Entre temps, se situe la rencontre filmée avec Michèle Rivasi, le 16 novembre 2012, et ma longue interview sur ITER. Dans cette dernière, les lecteurs peuvent constater mon état de fatigue. Mais, étant donné l’importance du sujet, je tiens à faire rapidement ce travail et à donner des explications sur les aspects techniques du projet d’ITER. Pour que ceci soit plus facile à comprendre, de retour chez moi, je décide d’ajouter des schémas. Je prépare donc toutes ces images, en fournissant à Robin le timing précis. Il ne lui reste plus alors qu’à inserrer ces documents dans la vidéo, aux emplacement indiqués.
Ce sujet ITER est, à mes yeux, d’une grande importance. C’est pourquoi je souhaite que ces vidéos soient en accès libre à tout le monde. J’ai cru, quelque peu naïvement sans doute, que Jean Robin avait fait ces vidéos en accomplissant son devoir de journaliste ou par intérêt pour ce sujet.
Les jours passent, et la vidéo tarde à apparaître. Je me permets de demander à Jean Robin « quand la vidéo sera-t-elle mise en ligne ? ». Sa réponse, reproduite mot pour mot : « je ferai ça quand vous aurez fait la promotion du 3ème coffret sur votre site ».
Surchargé de travail, je reste littéralement estomaqué en me trouvant confronté à un tel chantage.
Ayant compris que je ne cèderais pas, face à son injonction, Jean Robin finit par mettre cette interview en ligne, en signalant (juste en bas de la vidéo) : « A noter que nous aurions pu en faire un DVD à commercialiser, mais vu l’importance du sujet, nous avons préféré le mettre gratuitement à la disposition du grand public, qui doit être informé« .
Je lui demande immédiatement d’enlever cette phrase grotesque. Il ne donne pas suite. Au moment où j’écris ces lignes, elle figure toujours dans son site, sous l’image d’appel de cette vidéo.
Cette longue interview que j’ai donnée est le résultat d’un travail intensif, durant de longs mois, se traduisant par l’étude de plusieurs milliers de pages de documents et par des dizaines d’heures de discussions avec des spécialistes. Un travail effectué uniquement dans l’objectif d’informer les lecteurs et d’attirer leur attention sur les problèmes liés à ITER.
Dans l’esprit de Jean Robin, il en va tout autrement. Réaliser cet enregistrement, effectuer ce travail de montage, mettre cette vidéo en ligne représente à ses yeux une faveur insigne faite à ma personne, par quelqu’un qui se considère comme « LE journaliste qui, sur les 10 ou 15 dernières années, peut-être plus, en ait le plus fait pour JPP, sans la moindre contestation possible« .
Il est à noter, au passage, dans cette phrase extraite de l’article qu’il a mis en ligne sur son site, que Jean Robin y modère quelque peu son propos. En effet, dans le message qu’il m’adresse le 3 février 2012 il écrit textuellement  : « Je pense avoir fait beaucoup plus pour vous que n’importe quel éditeur ou journaliste dans toute votre carrière. Ne l’oubliez jamais ».
Le non respect des engagements dans la vente des DvD, et ce chantage stupéfiant me font comprendre que Jean Robin et moi n’avons pas la même conception du travail d’un journaliste ni les même critères éthiques. Alors que Robin souhaite vivement que j’aborde, dans d’autres interviews, d’autres pans de mes activités de recherche, concernant la construction des pyramides, la navigation dans l’Egypte de l’Ancien Empire, etc., je décide d’interrompre tout développement de notre collaboration en refusant de lui fournir matière à la création de nouveaux DvD.
Autant je suis toujours prêt à aider des jeunes qui veulent réellement faire du travail sérieux et qui défendent la liberté d’expression, en leur permettant de gagner au passage quelque argent, autant je ne souhaite pas m’associer à des actions dont l’opacité ne correspond plus à mes principes d’éthique.
La Bible en BD :
Pendant le deuxième week-end passé chez moi (les 16-17-18 juillet 2011), donc bien avant que je commence à apercevoir des problèmes liés aux DvD en vente, et aux interviews enregistrées, Jean Robin apprend que j’ai créé, des années auparavant, une adaptation de la Bible en BD. A sa demande je lui en fournis une copie, sous la forme d’un pdf gravé sur un CD. Une semaine plus tard il me demande si j’accepterais de publier cet ouvrage dans sa maison d’édition, Tatamis, dont j’apprends au passage l’existence. Il me décrit cette maison comme « existant depuis plusieurs années, marchant bien, avec un bilan positif ».
Après quelques hésitations, j’accepte.
Quand Jean Robin écrit dans son article « il nous présente une Bible en BD qu’il a écrite il y a bien longtemps, mais qu’aucun éditeur n’avait jamais voulu publier. Nous lui proposons après une lecture plus approfondie de la publier dans la maison d’édition Tatamis, partenaire (…) d’E&D. Il accepte sur-le-champ.», c’est faux.
Cette Bible en BD constituait initialement, mes propres notes d’étude de la Bible. Je ne l’ai JAMAIS présentée à aucun éditeur. Des internautes se souviendront peut être qu’elle fut pendant des années librement téléchargeable sur mon site. A cette époque le pdf fut repris sur plusieurs autres sites (Sens de la vie, Livre pour Tous, etc.).
Sur quel document ou confidence Jean Robin s’appuie-t-il pour affirmer, concernant ce document qu’aucun éditeur n’ait jamais voulu le publier !?
Quand il me propose d’éditer ce document, mon hésitation est liée au fait que ces notes d’étude personnelles restent dans un état proche d’un « brouillon ». Pour faire de cet ensemble quelque chose de publiable, un énorme travail restait à faire, de retouche de dessins, de retranscription non manuelle des textes, de vérification des quelques 2000 citations bibliques qui les émaillaient.
J’hésite parce que ce travail de préparation représente des mois de travail à temps plein. Or le temps m’est précieux. Mais devant l’enthousiasme manifesté par Jean Robin, je finis par céder, un peu trop rapidement, puisque entre le temps où il formule sa demande et celui où je donne mon accord, il ne s’écoule que trois semaines. Le contrat d’édition est signé le 16 août 2011.
La Bible en BD, est mise en vente directe, par correspondance, par Robin lui-même le 13 décembre 2011. Après avoir suscité, depuis mon site, des pré-commandes, j’en fais immédiatement la promotion, par le même canal. A Paris, je participe à un débat avec l’abbé de Tanouarnau, et je présente l’ouvrage à des libraires de ma connaissance. Le résultat de ces annonces est immédiat. Complètant nombre de pré-commandes, émanant des lecteurs de mon site, cette opération se solde par la vente de plus 300 ouvrages (du propre aveu de Jean Robin), constituant à son profit une trésorerie de plus de 7500€, pratiquement la moitié du coût d’impression. Et ceci pendant les premières 2 semaines de vente (décembre 2011)!
Postérieurement au lancement de cette publication, après que je lui aie signifié que je ne souhaitais plus enregistrer de nouvelles interviews il me sollicite à plusieurs reprises :
- En me demandant de participer à un débat en vue de promouvoir la vente d’un autre livre par sa maison d’édition.
- En me demandant de publier une note de lecture dans mon site, pour un de ses propres livres.
Je prends le temps de lire les livres en question, et pour différentes raisons je signifie à Robin que je ne peux pas commenter ces ouvrages, ni débattre avec l’auteur en question, malgré ses rappels pressants.
S’agissant de cette édition, Jean Robin la présente comme le plus grand risque qu’il ait pris de sa vie. Concrètement : 16.000€ frais d’impression à payer mi-février selon ses propres dires. Je rappelle :
- qu’outre les quelques milliers d’euros provenant de la vente directe de la BD, Jean Robin vend, depuis juin 2011, mes interviews représentant 9 DVD.
- que la vente des premiers 3 DVD lui a rapporté 8000€ en un mois.
Est-ce vraiment déraisonnable de supposer que les ventes de ces 9 DVD, en plusieurs mois, lui ont rapporté largement plus que les frais d’impression, avant même qu’il ait été mis en demeure de payer son imprimeur, le 15 février 2012 ?
En d’autres termes, quand Jean Robin évoque un « risque financier exorbitant », de quoi parle-t-il ?
Jean Robin s’abstient de payer, pendant plusieurs mois, la part censée revenir à l’association Savoir Sans Frontières, après avoir obtenu l’enregistrement la fameuse séquence de la « remise du premier chèque » , sous prétexte que « la vente des DVD ne se passe pas si bien » . A plusieurs reprises il se présente, vis à vis de moi, comme un bienfaiteur, s’insurgeant contre mon manque de gratitude.
Au vu des données factuelles qui ont été présentées, j’invite simplement les lecteurs à se forger leur propre jugement. Citons quelques passages extraits de son l’article :
- Les premiers DVD se vendent bien, très bien même, largement au-delà de nos espérances, et principalement grâce à sa communauté de lecteurs assidus.
- les DVD se vendent bien, en plus Jean-Pierre Petit joue le jeu en indiquant en une de son site qu’ils sont sortis et que ses lecteurs peuvent les acheter, ainsi que la Bible ;
- nous avions de nouveaux livres à sortir, donc de nouveaux auteurs à nous occuper, de nouvelles personnes à interviewer, de nouveaux articles à écrire, et surtout de nouvelles sources de financement à identifier car la manne des DVD se tarissait très vite
L’incident « à caractère privé ».
A plusieurs reprises, Jean Robin, à travers ses réponses aux lecteurs, leur dit en clair que notre différent repose sur quelque chose de « privé ». Il y a eu effectivement un « incident privé », auquel je n’aurais jamais fait référence, si lui-même ne l’avait pas ainsi évoqué.
Il n’était pas dans mon intention d’étaler cette affaire en public. Mais le dernier article de Jean Robin sur moi, ainsi que ces réponses qu’il a faites aux lecteurs me contraint de le révéler.
En septembre 2011, quand la collaboration se passait encore plutôt bien, Jean Robin me demande d’être son témoin de mariage en me disant que « je suis une des deux personnes les plus importantes pour lui ». Ma foi, n’étant pas de sa famille ni un proche de longue date, j’éprouve quelque surprise. Mais, je ne veux pas paraître impoli en refusant une telle demande.
Le mariage est prévu le samedi 4 février 2012. Entre-temps, j’avais appris à le connaître à travers les épisodes décrits ci-dessus. Nos contacts s’espaçaient. Mais, une parole donnée doit être tenue.
Donc, le vendredi 3 février, je pars pour Paris. Si les lecteurs se souviennent bien, ce jour se trouve être un des plus froid de cet hiver, il neige, une partie de l’autoroute vers la gare d’Aix est même fermée, le trafic ferroviaire est très perturbé, avec beaucoup de retards à la clé. Pour être sûr de ne pas manquer à ma parole, je décide de partir à 7h du matin de chez moi, pour arriver à Paris au cours de l’après-midi. Or, dans la nuit de ce jour, à 2h28, Jean Robin m’envoie un courriel me disant, je cite :
« Tout compte fait, votre présence à mon mariage n’est plus souhaitable car nous ne souhaitons pas avoir de personne d’esprit négatif ».
De mon côté, en arrivant à Paris, logé chez des amis, je n’ai pas l’impolitesse de sauter sur leur ordinateur familial pour regarder ma messagerie. Je me rends donc au mariage comme prévu et suis accueilli par « ah, vous êtes quand-même venu ! ». Ne comprenant rien de cette remarque, je tiens mon rôle de témoin, comme j’avais promis.
Quarante huit heures plus tard, étant en mesure de consulter ma messagerie chez des amis je découvre le message de Jean Robin. Je lui écris aussitôt que si j’avais eu connaissance de ce message à temps, je ne me serais jamais rendu à son mariage. Sa réponse immédiate : « nous avons cru que vous aviez reçu le message mais vous teniez quand-même venir. Arrêtons de nous chamailler, moi, j’ai passé l’éponge ».
Pas un seul mot d’excuse après cette acte complètement insultant ! Il … passe l’éponge !
J’ai 75 ans  J’ai dû voyager une dizaine d’heures, en taxi et puis en train, parcourir 1600km (A/R) par ce temps extrêmement mauvais au début février… pour faire face à un comportement aussi vulgaire et un pareil manque de respect.
Vous devez, à la lecture de ces lignes, vous interroger sur ce qui a pu motiver de la part de Jean Robin l’envoi d’un mail aussi insultant.
Dans les jours précédants, discutant des problèmes de logistique liés à la participation aux différentes manifestations ou Foires du Livre, j’avais recommandé à Robin, qui disait n’avoir pas conduit depuis quelques années, de prendre quelques leçons de conduite pour valider un permis de conduire qu’il possédait déjà, et être ainsi à même de conduire une camionnette légère.
Quel rapport entre cette question de validation d’un permis et ces foires ? Le lecteur sera peut être surpris d’apprendre que lors de la préparation de notre participation au festival d’Angoulème, Jean Robin avait tout simplement proposé que ce soit moi qui me charge de la réception de centaines de livres (plus de deux tonnes !), de leur transport vers le stand et de leur vente, ce qui lui aurait, disait-il, permis de me rembourser mes frais de transport.
Je lui ai donné ce conseil de validation de son permis aux fins de lui faire comprendre qu’au cas où je serais amené à participer à un événement du même genre, je ne voudrais pas être confronté à une demande similaire.
Simple conseil de bon sens que Robin interpréta comme… un ordre, ce qu’il exprime dans son mail et qui n’est en fait qu’un prétexte grotesque. La vérité saute aux yeux, quand on se réfère à l’historique de nos contacts.
Visiblement, depuis que j’avais refusé de continuer d’être pour lui « matière à profit » (nouveaux DvD, promotion de son propre livre, aide au lancement d’un ouvrage d’un autre auteur de son « écurie »), je cessais d’être « une des deux personnes les plus importantes, dans sa vie ».
Le lecteur comprendra que continuer à être en contact avec un tel personnage m’est devenu absolument impossible.
Après cette incident, j’informe donc Jean Robin, par écrit, le 10 février, que je ne souhaite plus, en aucun cas, être personnellement en rapport avec lui.
Ayant constaté ma détermination, et (surtout) ayant vu que j’avais retiré les quelques annonces le concernant, Jean Robin supprime l’accès aux 3 vidéos sur ITER le 15 février, en m’écrivant : « je découvre que vous avez enlevé, sans m’en faire part, tous les liens vers les DVD et la Bible en BD de votre site. Fort bien, vous voulez jouer à ce jeu, on va jouer… J’ai donc mis en privé les 3 vidéos sur Iter. Je les repasserai en public quand vous serez revenu à la situation initiale« .
Visiblement, Jean Robin n’a pas vraiment compris que ce n’est pas dans mon habitude de céder aux chantages.
Ainsi les lecteurs peuvent mieux comprendre cette réponse de Jean Robin @Morel le 19 février (qu’il a effacé plus tard de la section dialogue qui fait suite à son article) : « c’est une histoire privée entre Jean-Pierre Petit et moi, il a la possibilité de faire en sorte que je remette en ligne cette vidéo ».
Dernières précisions :
Certains lecteurs se doutaient de la cause de cette « rupture », et ont demandé à Jean Robin et à moi-même quelles étaient les conditions financières (partage) des ventes des 9 DVD et la Bible en BD. Je précise les points suivants :
(1) Pour la vente des DVD, je ne touche pas un seul centime. Il est convenu que 3€ par DVD vendu doivent être versés à l’association Savoir sans Frontières, sur les 20 euros du prix de vente directe, par correspondance, les frais de port étant en sus. Mais sur ce point, je n’ai plus aucune illusion, alors que ces DVD sont toujours proposés à la vente sur la page d’accueil de son site, en bonne place. Je précise au passage que je n’ai même pas reçu un seul exemplaire du troisième coffret.
(2) Pour la Bible en BD : Le droit d’auteur est de 8% du prix public, quel que soit le mode distribution. Il n’y pas d’à-valoir (avance). Extrait du contrat me concernant : De son vivant, monsieur Petit souhaite céder ses droits d’auteur à une association humanitaire (ou/et) culturelle de son choix.
Que tout soit clair, une fois pour toute, ces deux opérations – DVD et la Bible en BD – ne sont en AUCUN cas pour moi une histoire d’argent.
Dès que possible, je ré-enregistrerai une suite de vidéos concernant mon parcours et mes souvenirs, que j’émaillerai d’illustrations et de photos. Celles-ci, mises en ligne sur un site comme Dailymotion, seront alors téléchargeables gratuitement.
Voilà comment une collaboration, qui a bien débuté, dérive vers une histoire beaucoup moins reluisante, banale, sans doute.
Cette Bible en bande dessinée m’avait demandé des années de travail et d’étude. S’appuyant sur le contrat, Robin pourra continuer d’exploiter cet ouvrage. En ce qui nous concerne, ma femme et moi sommes tellement écoeurés que nous avons mis au grenier les quelques exemplaires d’auteur qui nous restaient, le manuscrit, et les notes qui s’y réfèrent, pour ne plus avoir l’ouvrage sous les yeux.
Cette histoire me dégoute et … me fatigue.
Jean-Pierre Petit, 25 février 2012
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