jeudi 11 juillet 2013

UNE CURIOSITE

Le manifeste de la Sororité Aryenne


«Nous maintenir avec courage à la hauteur de nos avantages de barbares, voilà notre devoir » - Johann Wolfgang von Goethe

Quand une époque est immense,  les hommes n’en sont que plus petits. Ils ne peuvent plus supporter de tragédies, ni sur la scène, ni dans la vie. Soucieux et fatigués, mornes gratteurs de jeux en tickets, ils ne veulent que les "happy end" de stupides séries télévisées. Et toute contestation juvénile est désormais noyée dans ce qui se nomme soi-même, sans crainte du ridicule, des fêtes « citoyennes » ou … « équitables » !!! Mais le destin, qui nous a jetés au milieu de ces années, nous saisit au collet, et en fait ce qui doit être fait, que nous le voulions ou non. La lâche sécurité de la fin du dernier siècle est finie. La vie de danger, la vraie vie de l’histoire entre de nouveau dans ses droits. Tout est devenu instable. Actuellement, seules comptent les femmes qui, comme nous, osent, celles qui ont le courage de voir et de prendre les choses comme elles sont : le temps est venu  où il n’y a plus de place pour les âmes tendres ni pour l’idéal des faibles.
Quel est cet « idéal des faibles » ? Il est double : idéologie et religion de larmes. La première est le piteux mensonge de l’utopie métissophile comme défense contre la réalité, surtout quand celle-ci est tragique et difficile à affronter. La seconde complète la première en ce qu’elle une sécularisation d’un millénaire poison judéo-syriaque qui, sous le boubou graisseux et  nauséabond du "mondialisme",  s’impose de façon autoritaire car des âmes faibles, devenues lâches et vieilles, ressentent le besoin de se réfugier en quelque chose qui leur donne confiance, qui les endorme dans l’oubli. Pour nous, la religion des larmes est avant tout la religion chrétienne, qui incarne et comprend la « douleur universelle » des hommes, en leur promettant le salut éternel. Nous nous élevons avec vigueur contre ces « maladies de l’esprit », en écrivant que l’histoire est fondamentalement tragique, brisée par le destin, et qu’elle doit être vécue comme telle, sous peine de sortir précisément de l’histoire. La nature de la Femme Aryenne, dans son œuvre politique, proclame que la lutte est la plus ancienne réalité de la vie, qu’elle est la vie elle-même , et même le plus déterminé des pacifistes ne réussira jamais à l’extirper de l’âme humaine. 

Et à la place des utopistes (alter)mondialistes mixophiles, nous voulons instaurer un "art du possible", comme l’art d’utiliser ceux qui connaissent la réalité et de gouverner le monde par la force, ainsi que sait le faire  toute véritable aryenne : par la pression des cuisses. C’est en nous glissant dans les lits des pathétiques "décideurs" de l’Occident moribond que nous ferons une vraie Realpolitik et toiserons tous ceux qui, en Europe, nous méprisent et nous galvaudent, qui se réfugient dans une assurance contre le destin, et qui feignent la mort face à la vie, dans l’insipidité d’une existence vide et anonyme. Mais les années décisives n’ont pas encore pris fin. Si l’Europe a un avenir, c’est nous. Aux mensonges et aux calomnies, nous n’opposerons aucune réponse, car nos pensées sont ailleurs : elles volent vers des mondes lointains, éloignés des contingences politiques; elles sont tournées vers l’Histoire, la redécouverte de la tradition primordiale de la Femme européenne, pour laquelle et autour de laquelle nous élaborons une philosophie cohérente. Nous ne prenons pas comme une consolation le fait que tous les peuples européens soient ensemble sur le même navire en perdition, et notre pensée, par le fait qu’elle est  originelle, s’exprime sous des formes qui relèvent du mythe . 

Génératrice de mythes dans sa jeunesse historique, invite à une véritable création, elle fait accepter consciemment la possibilité d’une mutation de l’homme. Non-égalitariste, anti-égalitariste, elle est aujourd’hui mise au ban ou, lorsque cela s’avère impossible, délibérément vouée aux falsifications et aux interprétations abusives. Mais il est évident que notre époque ne pourra s’en tenir à la simple répétition d’un instant dépassé, à l’instar de ces studios qui multiplient les remakes de films et de jeux vidéos, et qu’elle  renouera avec l’apophtegme de Nietzsche  « J’aime celui qui vit pour connaître, et veut connaître pour que le surhomme soit. Et qui, partant, veut son propre déclin »




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