mercredi 10 juillet 2013

...SINON LE DR KARIM YOUNSI VA SE RETROUVER AU CHOMAGE ET DEVRA REPARTIR EN ALGERIE !

Les urgences de l’Hôtel-Dieu ne doivent pas être fermées !



Ne fermez pas les urgences de l'hôtel-Dieu...sinon

Encore un mauvais coup qui se prépare et qui est même programmé :
La direction générale de l'AP-HP a pris une décision très lourde de conséquences : la fermeture des urgences de l'Hôtel-Dieu

Cette fermeture décidée le 14 mai, serait effective le 4 novembre 2013.
 
Ce sont plus de 40 000 personnes qui fréquentent chaque année ces urgences se situant au centre de Paris, tout près de la place de l'hôtel de Ville.
Faut-il rappeler l'importance de ces servives pour tout un chacun ?
Quand survient un accident domestique, un accident de la route, un malaise grave, la famille parisienne vivant à proximité ou pas très loin se rendait aux urgences pour y être soignée par un personnel disponible et compétent.
 
Que vont faire les familles ?
 

Chercher un autre établissement, certes mais beaucoup d'hôpitaux ont des services d'urgence à saturation.

Les plus fortunés pourront se replier sur les cliniques, et les autres ? Les plus modestes, il leur faudra chercher désespérément un autre hôpital où il faudra attendre encore plus longtemps encore
 
La fermeture de ces urgences de l'hôtel Dieu ne constitue pas uniquement la fin d'un symbole chargé d'histoire, elle conduit à affaiblir d'une manière importante le service public de soin.
Ce projet inqualifiable de fermeture des urgences de l'Hôtel-Dieu doit être immédiatement abandonné*

Les organisations syndicales se mobilisent unitairement, à juste titre, pour défendre les postes, leur condition de travail et aussi un principe ,celui qui a guidé les fondateurs de la Sécurité Sociale à la Libération : LA SOLIDARITE ORGANISEE .
 
La Coordination nationale des comités de défense des hôpitaux et maternité de proximité (http://www.coordination-nationale.org/) et de Notre Santé en Danger (collectif.nsed@gmail.com) ! est sur le terrain pour empêcher ce mauvais coup.
 
Leur combat est le nôtre.
 
Jean-François Chalot

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