mardi 30 juillet 2013

POUR UN ETAT PALESTINIEN ...EN JORDANIE !

Les aspects bizarres du "peuple palestinien". 

 


Le pays fut dominé successivement par les Romains, par les croisés Chrétiens, par les Musulmans (qui n'ont d'ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu'ils occupaient le pays), par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain de la première Guerre Mondiale.

 Dès 1917, avec la déclaration Balfour, les Britanniques s'étaient montrés favorables à céder au moins une partie du territoire au peuple Juif afin qu'ils y établissent un État souverain. 

Il n'existe pas de langue proprement Palestinienne. Ni même de culture spécifiquement Palestinienne. Il n'y a jamais eu de Palestine dirigée par des Palestiniens.

 Ces derniers sont des Arabes, et sont indissociables des Jordaniens (la Jordanie étant elle aussi une invention récente, créée de toutes pièces en 1922 par les Britanniques).

 Mettez-vous bien en tête que le monde Arabe contrôle 99.9% des terres du Moyen-Orient. Israël ne représente que O,1% de la superficie régionale !
Mais cela est déjà trop pour les Arabes. Ils veulent tout. Et c'est précisément là que se situe le nœud du conflit qui les oppose à Israël





 Les aspects bizarres du "peuple palestinien".



Le "peuple palestinien" qui se dit enraciner dans sa  "patrie, la Palestine" donne plus d’un aspect douteux de son existence. Voici d'abord pour exemple et illustration les lieux de naissance des principaux représentants de ce "peuple" qui  luttent pour son "retour" dans sa patrie : 

 -Yasser Arafat est né le  24 August 1929 au Caire.

 -Saeb Berakat est né le 28  Avril  1955 en Jordanie. Il est citoyen jordanien

 -Faysal Abdel Qader Al-Husseini estné en1948 à Bagdad,

 -Sari Nusseibeh est né en 1949 à Damas.

 -Mahmoud Al-Zahar est né en 1945, au Caire,

 -Mahmoud Abbas est certes né en Galilée mais est le fils d’une famille Jordanienne fraîchement immigrée pour travailler dans les infrastructures britanniques. Il est d’ailleurs possesseur d’un passeport Jordanien.

 -Leila Shahid, petite fille du collaborateur nazi Al Husseini et Ambassadrice de la "Palestine" auprès de  l’Union Européenne est née à Beyrouth.



En fait, du point de vue historique ce peuple n’a jamais existé comme l’affirme tous les témoignages des archéologues, historiens et écrivains qui, le long de l’histoire, visitèrent la Palestine. 
Voici par exemple le témoignage d’Hadriani Relandi, géographe et philologue hollandais, dans son livre "Palestina" où il relate sa visite d’étude en Palestine en 1695.

Il y mentionne qu’il s’agit d’un pays quasiment dépeuplé où la population, en majorité juive avec une minorité chrétienne, habitait les villes de Jérusalem, Akko, Safed, Jaffa, Tibériade et Gaza, les Musulmans constituant une infime minorité pour la plupart des bédouins nomades.



Cette situation s’est maintenue jusqu’au 19ieme siècle quand l'immigration juive en Terre d'Israël, qui s'intensifia dès 1881, contribua à un essor économique sans précédent.
 Cet essor attira une immigration arabe massive en provenance des autres provinces de l'Empire ottoman.



Pour ce qui est de l’histoire contemporaine, la Palestine mandataire n’a jamais été un Etat. La Cisjordanie a été occupée pendant 18 ans ,de 1949 à 1967, par la Jordanie et personne ne l’a réclamée alors pour y établir un Etat palestinien, et cette dernière l’a perdue à l’issue de la guerre qu’elle a déclarée contre Israël.



Il faut d’ailleurs se souvenir que déjà en 1965,  le roi Hussein déclarait : "Les organisations qui cherchent à différencier les Palestiniens des Jordaniens sont des traîtres". Il ne cessait d’ailleurs de répéter : "La Jordanie est la Palestine et la Palestine est la Jordanie".

En Mars 1971, Le Conseil national palestinien, aussi, avait déclaré que "ce qui relie la Jordanie à la Palestine est une obligation nationale [...] formée, depuis des temps immémoriaux, par l’histoire et la culture. La création d’une entité politique en Cisjordanie et une autre en Palestine est illégal ".



Toutefois à la fin des années 1970, , les autorités arabes ont commencé à intensifier leur stratégie de délégitimation d’Israël et à différencier pour cela, les  Jordaniens des Palestiniens. Ce qui était auparavant considéré comme une trahison illégale est soudainement devenu la ligne officielle de la propagande arabe.



Voici  ce que dit à ce propos Zouheir Mohsen, leader de la Saïka, composante pro syrienne de l’OLP, dans une déclaration au journal néerlandais Trouw en mars 1977 :

" Le peuple palestinien n’existe pas. La création d’un état palestinien n’est qu’un moyen de poursuivre notre lutte contre l’état d’Israël pour notre unité arabe. En réalité, aujourd’hui, il n’y a pas de différence entre Jordaniens, Palestiniens, Syriens et Libanais. 
C’est uniquement pour des raisons tactiques et politiciennes que nous parlons d’un peuple palestinien, puisque les intérêts nationaux arabes sont mieux servis par l’existence d’un peuple palestinien distinct opposable au Sionisme. Pour des raisons tactiques, la Jordanie, qui est un état souverain avec des frontières délimitées, ne peut pas avoir des prétentions sur Haïfa et Jaffa, Beersheba, ou Jérusalem alors qu’en tant qu’arabe palestinien, j’ai indubitablement le droit de l'affirmer. Mais au moment même où nous recouvrerons nos droits sur l’ensemble de la Palestine, nous n’attendrons pas une minute pour réunir la Palestine à la Jordanie ".



On est donc en droit de se demander pourquoi ceux qui de par le Monde rejettent l'intention arabe de continuer à mener cette stratégie de délégitimation d’Israël en poursuivant sa lutte afin "de chasser Israël  de  Haïfa,  Jaffa, Beersheba, Jérusalem…etc. ", autrement dit d’effacer Israël de la carte, soutiennent-ils la cause de ce  "peuple palestinien" ?



Pour résoudre le problème des Arabes de Cisjordanie et contribuer véritablement à la paix dans notre région, ne serait-il pas plus logique et réaliste de se tourner vers une solution en coopération avec la Jordanie ?
Z.T.
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