jeudi 6 juin 2013

SALE COUP POUR LES RABBINS : UN LEZARD DE 35 MILLIONS D'ANNEES !

Un lézard géant nommé Jim Morrison


(ndlr:Selon les Rabbins le monde a été créé il y a 5773 ans...)

Le specimen, découvert par des paléontologues du Nebraska, a été baptisé du nom du chanteur des Doors.
Le specimen, découvert par des paléontologues du Nebraska, a été baptisé du nom du chanteur des Doors. Crédits photo : ANGIE FOX/AFP
«Je suis le Roi Lézard. Je peux tout», déclamait le chanteur des Doors dans son poème The Celebration of The Lizard. Il ne croyait pas si bien dire.


Des paléontologues américains ont donné le nom de Barbaturex Morrisoni - clin d'œil à Jim Morrison - au plus gros lézard connu sur Terre. L'animal, qui mesurait environ 1,80m du museau à la queue, vivait à l'ère de l'éocène moyen-supérieur, 35 millions d'années avant le premier album éponyme des Doors en 1967.
À cette époque, le thermomètre de l'atmosphère dépassait de loin les normales de saison: il n'y avait plus de glace aux pôles, un climat propice «à l'évolution des lézards de grande taille, herbivores, capables de rivaliser efficacement avec les mammifères» explique Jason Head, responsable de la recherche à l'Université du Nebraska-Lincoln.
 Le lézard californien qui chantait Light My Fire, s'acclimatait aussi de la moiteur de concerts dont les astres n'étaient pas seuls responsables. Fallait-il donner le nom d'un sex-symbol -au déhanché hypnotique et aphrodisiaque- à un reptile de sang froid?

Charmeur de serpents
En décomposant la terminologie scientifique, «Barbaturex» a été choisi pour la mâchoire du spécimen dont les crêtes font penser à une barbe fournie, et «Morrisoni», bien évidemment, rend au lézard, ce qui lui appartient. Le chercheur Jason Head écoutait les Doors pendant qu'il grattait, à la brosse à dent, les ossements du reptile préhistorique en Birmanie.

«Leur imagerie musicale inclut des reptiles et des sites archéologiques, et Jim Morrison était le Roi Lézard» explique l'Universitaire. Le chanteur des Doors s'autoproclamait souverain reptilien dans The Celebration of The Lizard, poème dont un passage a été conservé pour le troisième album du groupe, Waiting for the Sun, en 1968. Pour Morrison, «les serpents et les lézards sont identifiés dans l'inconscient, avec les forces du mal. Il y a quelque chose de profondément ancré dans la mémoire humaine qui réagit très fortement aux reptiles.»

Charmeur de serpents, Jim Morrison l'était indubitablement: avec les foules, dont il a beaucoup étudié la psychologie, il orchestrait, en gourou, des expériences de transes collectives. Grâce à cette fascination pour les reptiles, Jim Morrisson hérite donc d'un animal assez charismatique.

 Ses collègues rockeurs ne peuvent pas en dire autant. On devinera bien vite de quels musiciens célèbres l'Aegrocatellus Jaggeri et le Struszia Mccartneyi, deux espèces de trilobites (anthropodes marins), se sont inspirés.

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