jeudi 27 juin 2013

"RELIGION IS DAS OPIUM DES VOLKES"

Les élites peuvent-elles affronter l’idée que Marx était islamophobe ?

 
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Karl Marx décrivait les dangers de l’islam que ses héritiers idéologiques interdisent de mentionner.

Voici un texte de Karl Marx, publié dans le New-York Herald Tribune le 15 avril 1854. 

Chacun pourra constater que Karl Marx ne s’en prend pas à la dimension religieuse de l’islam (la religion, c’est l’opium des peuples), mais à sa dimension impérialiste, totalitaire, conquérante et raciste.
« Déclaration de guerre – Sur l’histoire de la question orientale – Londres, mardi 28 mars 1854″ :
« Le Coran et la législation musulmane réduisent la géographie et l’ethnographie des différents peuples à la distinction simpliste et bien pratique de deux nations et de deux territoires, ceux des fidèles et ceux des infidèles. L’infidèle est « harby », c’est-à-dire l’ennemi. 

L’islamisme condamne la nation des infidèles, établissant un état d’hostilité permanente entre le musulman et l’incroyant. En ce sens, les navires pirates des États Berbères étaient la flotte sainte de l’Islam. Par conséquent, comment l’existence de chrétiens sujets de la Porte [l'empire turc] peut-elle être conciliée avec le Coran ?

Si une ville, dit la législation musulmane, se rend par capitulation, et que ses habitants deviennent « rayahs », c’est à dire sujets du prince musulmans sans abandonner leur foi, ils doivent payer le « kharatch » (capitation ou taxe par tête), quand ils obtiennent une trêve des fidèles, et il est alors interdit de confisquer leurs biens et de prendre leurs maisons … Dans ce cas, leurs églises deviennent une partie de leurs patrimoine, et ils ont le droit d’y prier. Mais ils n’ont pas le droit d’en construire de nouvelles. Ils ont seulement le droit de les réparer, et de reconstruire les parties détruites. A période régulière, des commissaires du gouverneur de la province doivent inspecter les églises et les sanctuaires des Chrétiens, afin de vérifier qu’aucune nouvelle construction n’a été érigée sous prétexte de réparation.
Si une ville est conquise par la force, les habitants conservent leurs églises, mais seulement comme lieu de refuge, et ils n’ont plus le droit d’y prier »
Texte original :
« Declaration of War. – On the History of the Eastern Question, London, Tuesday, March 28, 1854″ :
«The Koran and the Musulman legislation emanating from it reduce the geography and ethnography of the various people to the simple and convenient distinction of two nations and of two countries; those of the Faithful and of the Infidels. The Infidel is “harby,” i.e. the enemy. Islamism proscribes the nation of the Infidels, constituting a state of permanent hostility between the Musulman and the unbeliever. In that sense the corsair-ships of the Berber States were the holy fleet of Islam. How, then, is the existence of Christian subjects of the Porte to be reconciled with the Koran ?
If a town is conquered by force, the inhabitants retain their churches, but only as places of abode or refuge, without permission to worship.”. »


Reproduction autorisée avec la mention suivante : 
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
/2011/03/mauvaises-et-bonne-reputations-de.html
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