LA DHIMMITUDE OCCIDENTALE
Les musulmans seront bientôt les rois du monde
Soeren Kern fait une analyse objective de la situation en Espagne, qui
est loin d’être rassurante et qui n’a rien à envier à ce qui se passe en
France, en Italie, en Allemagne, en Belgique, dans les pays scandinaves
ou en Grande Bretagne.
Les mêmes acteurs, adeptes du terrorisme et de
la violence aveugle, membres de l’internationale terroriste islamiste
défient les gouvernements occidentaux, pourtant à genoux devant leurs
revendications, faisant preuve d’une très grande mansuétude à leur
égard.
Le gouvernement et la justice espagnols rejoignent la dhimmitude occidentale
Alors que les musulmans espagnols sont
occupés à islamiser l’Espagne, en remerciement de les avoir accueillis,
les politiciens espagnols s’activent à enlever toutes les références au
christianisme du discours public … et acceptent que la charia islamique
empiète sur le système juridique espagnol.
La police espagnole a arrêté un immigré
musulman à Majorque après qu’il ait prétendu avoir été envoyé par Allah
pour «tuer tous les Espagnols». L’arrestation fait suite à une série
d’autres incidents liés à l’islam au cours des derniers mois, reflétant
l’influence croissante de l’islam radical en l’Espagne. Lors du dernier
incident, le 13 juin dernier, la police de Majorque arrêta un
ressortissant allemand d’origine tunisienne, après qu’il eut menacé à
plusieurs reprises de mener des attaques terroristes au nom d’Allah.
Selon les autorités espagnoles, l’homme avait lancé plusieurs menaces de
mort en se référant à son statut de musulman et avait averti : «Cela ne me dérange pas de mourir et si je dois mourir, je mourrai, mais beaucoup d’autres me suivront dans la mort. « L’homme avait menacé de faire exploser une école de coiffure à Palma et «de tuer tout le monde ».
Il avait aussi déclaré qu’il avait des «amis terroristes qui pourraient poser des bombes »
et prévenu que les musulmans seraient bientôt les rois du monde. Selon
la police espagnole, l’homme, qui avait déjà été arrêté le 15 Février
pour avoir menacé de tuer un policier local, s’était radicalisé après un
voyage en Tunisie en 2012.
Le 12 Juin, la police de Barcelone avait arrêté cinq jihadistes tunisiens pour «incitation au terrorisme islamiste ».
Ils avaient diffusé sur les réseaux sociaux plus de 400 vidéos,
reprenant les discours des leaders d’Al-Qaïda, Oussama ben Laden et Abou
Moussab al-Zarqaoui, des images d’exécutions, d’attentats et des
documents sur la fabrication de bombes.
Le ministère espagnol de l’Intérieur
avait déclaré que ces individus avaient subi des « processus »
d’auto-radicalisation, les conduisant à embrasser les thèses du jihad
salafiste».
Les arrestations faisaient partie de l’opération Carthage
(Operación Kartago), une année d’efforts au niveau national, afin de
«neutraliser» les soi-disant loups solitaires jihadistes, ainsi que des
islamistes ayant l’expérience du combat, de retour des zones de conflit
de Syrie, du Yémen et de Somalie.
Peu de temps après ces arrestations, (dans un sursaut de lucidité) le ministre de l’Intérieur, Jorge Fernández Díaz avait annoncé l’intention du gouvernement de modifier le code pénal, afin de criminaliser comme acte de terrorisme :
- le fait de donner ou de recevoir une « formation passive de jihadiste » via le « prosélytisme » dans les prisons à ceux qui purgent des peines pour crime de terrorisme,
- l’endoctrinement par les imams dans les mosquées ou sur internet ou le fait de se rendre dans les camps d’entraînement islamistes à l’étranger.
Díaz avait déclaré que le changement
juridique était nécessaire, car même si la loi espagnole considérait
déjà l’endoctrinement comme un crime terroriste, les procureurs avaient
constaté qu’il était difficile de prouver que ceux qui étaient impliqués
dans la formation liée au terrorisme s’étaient personnellement engagés à
mener des attaques réelles.
Les juges espagnols ont longtemps été
accusés d’utiliser un cadre juridique ambigu pour justifier le
traitement clément de terroristes « présumés ». Par exemple, quatre
des cinq personnes arrêtées à Barcelone furent libérées de prison le 14
Juin dernier, après qu’un juge eut décidé que leur maintien en détention
préventive constituait une « peine excessive ».
Le 5 Juin, la police de Barcelone a
arrêté un immigrant pakistanais qui avait attaqué un garde du corps du
politicien local avec une barre de fer. Le politicien en question était Alberto Fernández Díaz, le chef du Parti populaire de centre-droit à Barcelone, qui se trouve également être le frère de l’espagnol Jorge Fernández Diaz,
ministre de l’Intérieur. Le Pakistanais, décrit par la police comme
étant un «islamiste radical», agressa sa victime en chantant des «
chants » à la gloire d’ Allah.
Le 24 mai, la police de la ville
basque de Bilbao avait arrêté un immigré musulman d’Afrique du Nord, âgé
de 44 ans, après qu’il eut enlevé, violé et coupé l’orteil d’une
travailleuse sociale. D’après le rapport de police, l’homme avait
attaché la malheureuse à une chaise, l’avait bâillonnée avec un rideau,
après qu’elle lui eut annoncé son expulsion de l’immeuble pour ne pas
avoir respecté les règles locatives.
Le 10 mai, la police de Gibraltar
expulsa vers l’Espagne un membre turc d’Al-Qaïda qui était entré
illégalement sur le territoire britannique. Cengiz Yalcin avait
déjà été arrêté en Espagne en août 2012, avec deux Tchétchènes pour
complot : ils projetaient de déposer des explosifs, au moyen d’avions
téléguidés, sur un centre commercial de Gibraltar, pendant les J.O. de
Londres en 2012.
Lors d’un raid, dans l’appartement de
Yalcin en 2012, la police avait trouvé suffisamment d’explosifs pour
faire sauter un bus, ainsi que trois parapentes motorisés et une vidéo
montrant Yalcin aux commande d’un avion télécommandé.
Les enquêteurs espagnols soupçonnaient
la cellule terroriste de vouloir tester un avion téléguidé pour en faire
un bombardier potentiel. La vidéo montrait l’avion, d’environ trois
mètres de long, en train de manœuvrer dans une descente, au cours de
laquelle deux paquets tombaient des deux ailes.
Les trois suspects furent cependant
discrètement libérés sous caution en mars 2013, après qu’un juge de
Madrid eut décidé que les preuves étaient insuffisantes pour les
maintenir en détention.
En avril dernier, un rapport a révélé que près de 60 %des immigrés
marocains en Espagne étaient sans emploi et vivaient d’allocations
sociales. Selon les Amis de l’Association du Maroc, basée à Barcelone,
(ITRAN) de nombreux marocains en Espagne ne connaissent pas la langue,
même après avoir vécu de nombreuses années dans le pays. Ils ne sont pas
éduqués, seulement qualifiés pour travailler dans la construction,
l’agriculture et la restauration.
Les ghettos s’agrandissent et les
différentes administrations, toutes coupables de négligence, s’abritent
maintenant derrière l’ insuffisance des ressources financières pour
justifier l’abandon de ces ghettos.
Toujours en Avril, un groupe islamiste connu sous le nom de « Fantômes marocains » ([fantasmas marroquíe) avait piraté un site Web du gouvernement local à Huelva, une ville dans le sud de l’ Andalousie.
Les hackers avaient envoyé une image
apocalyptique montrant le drapeau espagnol en flammes accompagné d’un
texte: «En attaquant vos sites, nous allons détruire votre économie.
Vous avez toujours cru que notre silence concernant vos « incessantes
erreurs mortelles » envers le Royaume du Maroc et le grand peuple
marocain était dû à la peur. »
Le message continuait en lançant un
appel au terrorisme islamique, et une mise en garde à l’adresse de
l’Europe et de l’Espagne, futures cibles d’une série d’attaques, visant à
transformer leur vie en cauchemar.
Le message comprenait également de nombreuses références à Al Andalus,
nom arabe donné aux différentes régions espagnoles, portugaisse et
françaises, occupées par les conquérants arabo-musulmans, également
connus sous le nom de Maures, de 711 à1492. Beaucoup de musulmans
pensent que les territoires perdus au cours de la Reconquista chrétienne
de l’Espagne leur appartiennent toujours et qu’ils ont le droit de
revenir et d’y rétablir leur domination.
En réponse, en mai dernier, le
gouvernement socialiste à la tête des Asturies dans le nord de
l’Espagne, a adopté une nouvelle loi qui interdit aux écoles d’utiliser
des » termes religieux » se référant à Noël et à Pâques. Afin d’
«éviter d’offenser les sensibilités» des musulmans, les étudiants, les
enseignants et les élèves des écoles en Asturies seront dorénavant priés
de se référer aux « vacances d’hiver » au lieu de vacances de Noël et à
» la fête du second trimestre » pour les vacances de Pâques.
En Février, l’Espagne s’est pliée aux
conditions posées par le gouvernement islamiste du Maroc et a accepté
l’obligation imposée par le Maroc, stipulant que les enfants marocains
adoptés par des familles espagnoles devaient rester culturellement et
religieusement musulmans. L’accord oblige le gouvernement espagnol à
établir un «mécanisme de contrôle» qui permet aux autorités religieuses
marocaines de contrôler les enfants, jusqu’à l’âge de 18 ans, afin de
s’assurer qu’ils n’ont pas été convertis au christianisme.
Cette « exigence » qui sera inscrite
dans le code juridique espagnol, représente une avancée sans précédent
de la loi islamique de la charia au sein de la jurisprudence espagnole.
Cette décision s’apparente également à une attaque frontale contre la
liberté de religion ou de conviction, pourtant protégée par l’article 16
de la Constitution espagnole.
La décision du ministre de la Justice espagnol Alberto Ruiz-Gallardón
de rendre la loi espagnole conforme à la loi islamique de la charia a
suscité de nombreuses controverses. Reste à voir maintenant si des
poursuites vont être engagées pour défier ce que d’aucuns appellent déjà
« l’islamisation de la jurisprudence espagnole ».
Remarques personnelles :
Qu’une loi de l’islam, un élément de la
charia soit pleinement reconnu sur le territoire espagnol, à travers
l’adoption d’un enfant, est inquiétant, car cela permet d’introduire de
nouveaux musulmans sur une terre d’infidèle. Le respect de cette loi
implique que l’enfant né musulman doit conserver son nom de famille, sa
nationalité, et surtout sa « religion », la conversion d’un musulman au
Christianisme étant un crime.
Les musulmans ont le droit de
revendiquer leur identité, de la faire respecter. Les Occidentaux ne
bénéficient plus de ce même droit. S’ils défendent leur identité, ils
sont traités de xénophobes, de racistes, d’islamophobes. Les minorités
musulmanes, dans nos pays, certains via leurs gouvernements respectifs,
nous imposent leurs lois et exigent le respect de leurs droits. Dans les
pays musulmans, la majorité impose ses lois et nie tout droit aux
minorités.
Partout en Occident, les gouvernements
imposent peu à peu l’islam et sa loi, la charia, aux peuples, contre
leur volonté, et durcissent leurs positions envers les
islamo-réfractaires. Incapables de résoudre les problèmes créés par leur
politique folle d’immigration sauvage, à prédominance musulmane,
aggravés par la crise économique actuelle, nos gouvernements créent
volontairement le terreau favorable à un futur clash.
A croire qu’ils le souhaitent…
Reproduction autorisée avec la mention suivante :
© Rosaly pour www.Dreuz.info
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