HERVE RYSSEN N'AIME PAS BEAUCOUP JEAN ROBIN, NI GUY SORMAN, -MOI NON PLUS !
Notre milieu est contaminé
Un
petit publiciste comme ce Jean Robin, par exemple (l’auteur de
la Judéomanie), a ses entrées à radio Courtoisie, où la porte lui est
grande ouverte.
Il y a été invité de nombreuses fois dans les émissions
animées par Yves-MarieLaulan, Gérard
Marin et Paul-Marie Coûteaux.
Car ce Jean Robin est aussi éditeur, ce
qui lui permet de faire sa publicité sur la radio à intervalle régulier
pour y présenter sa production, qui se situe dans la ligne de la droite
néo-conservatrice “à la Sarkozy”.
Dans un entretien vidéo, Jean Robin le
déclare très explicitement : « Je ne suis pas contre l’immigration. Par
contre, je vois plus dans l’islam un problème. »
Voyez
encore ce qu’il écrit dans sa brochure intitulée "La nouvelle
extrême-droite" (septembre 2009) : « La diversité et le métissage ne sont
pas un problème en soi, au contraire ils sont plutôt les gages d’une
richesse et d’une intelligence supérieure. »
Jean
Robin, qui ne cache pas sa judéité, prétend délivrer les musulmans du
mal qui les étreint. Écoutez cela : « Les musulmans sont les premières
victimes de l’islam… Ils sont prisonniers à la fois d’une idéologie
rétrograde, d’extrême-droite et totalitaire, et de ses gardiens. »
On
a déjà entendu ce propos chez l’économiste libéral Guy Sorman, qui
entend lui aussi “libérer” les musulmans, comme d’autres ont “libéré”
Bagdad et aimeraient bien “libérer” Téhéran : « Le monde musulman, écrit
Sorman, est victime de la dictature des clercs : oulémas, ayatollahs et
autres imams. C’est en se débarrassant de cette cléricature que les
musulmans renoueraient avec leurs propres racines. » (Le Bonheur
français, Fayard, 1995, pp. 123)
Et Guy Sorman n’hésite
pas à donner des cours de théologie à ces pauvres gardiens de chèvres :
« Les intégristes, qui confondent le voile et l’islam, sont de piètres
musulmans ; ils ont mal lu le Coran. » (page 132).
On reconnaît ici toute
la “houtzpah » (prononcez “routzpah”, en raclant le “r”), c’est-à-dire
ce culot à toute épreuve propres aux intellectuels juifs.
Il est
certain, en tout cas, que Daniel Cohn-Bendit, Jean Robin et Guy Sorman
connaissent bien la Torah et le Talmud.
Ce qui est formidable, c’est de
retrouver Jean Robin à la journée du livre de Renaissance catholique et à
la “fête de la Courtoisie”. C’est toujours un plaisir !
Hervé Ryssen
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