BIENTOT LES FRANCAIS DE SOUCHE VONT DEVOIR RAZER LES MURS !
Un racisme anti-Blanc qui n’intéresse pas les médias
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30 juin 2010, dans un quartier habité par une forte communauté
maghrébine, une famille ostracisée par son voisinage est exfiltrée de
son domicile par les policiers sous un torrent de menaces et d'injures
racistes anti-blanc.
L'affaire a été jugée ce jeudi dans le silence
médiatique. (Cet article a été publié sur Atlantico).
Monsieur
et Madame LETERME ont fait l’acquisition d’un appartement situé à
Savigny-le-Temple, dans un quartier qu’ils savaient habité par une
importante communauté maghrébine. Rapidement et régulièrement victimes
d'injures à caractère discriminatoire et de menaces, ils ont dû être
évacués de leur domicile avec l'aide de la police et ont porté plainte.¢
Monsieur
LETERME s'est lui aussi retrouvé sur le banc des accusés poursuivi à
côté de ses agresseurs pour un coup de poing qu’il aurait donné alors
qu'il se débattait contre ces derniers. Indigné par le silence des
grands médias sur cette affaire, l'avocat de la famille accorde une
interview exclusive à Atlantico pour révéler ces faits au grand public.
Atlantico
: Vous défendez une famille obligée de quitter son quartier parce
qu'elle n'appartenait pas au groupe ethnique majoritaire. Pouvez-vous
nous donner plus de détails sur cette affaire ? Que s'est-il passé
exactement ?
Stéphane Maitre (Avocat au Barreau de Paris):
Ce jour-là, une dispute a éclaté entre M. LETERME et un voisin à propos
d’une dispute entre deux enfants. Rapidement, un attroupement des
jeunes du quartier s’est formé autour de M. LETERME, heureusement
rejoint par un ami. Ces derniers ont été roués de coups de poing, de
bâtons et de planches. Ils ont été sérieusement blessés : plaie béante
au niveau du crâne nécessitant 6 points de suture, traumatisme crânien,
main fracturée, ecchymoses et hématomes multiples (7 et 21 jours
d’ITT) ; Voyant le sang couler, les agresseurs ont pris la fuite. La
police et les pompiers sont arrivés, ce qui a provoqué un nouvel
attroupement. La famille LETERME s’est réfugiée dans le camion mais les
jeunes du quartier hurlaient des injures et des menaces, frappant même
sur le camion à coups de pied. Terrorisés, ils ont décidé de tout
quitter ; en une nuit, ils ont fait leurs valises et ont déménagé le
lendemain sous protection de la police.
Pourquoi
avoir choisi de rendre ces faits publics ? Avez-vous eu des difficultés
à faire connaître cette affaire dans les grands médias ?
Parce
que la famille LETERME va se retrouver doublement victime, et veut
témoigner d’une incroyable injustice : malgré l’agression violente dont
il a été victime, M. LETERME s'est retrouvé lui aussi sur le banc des
accusés, poursuivi à côté de ses agresseurs pour un prétendu coup de
poing qu’il aurait donné pendant la bagarre, alors qu’il n’a fait que se
débattre comme il pouvait pour se défendre contre huit personnes qui le
rouaient de coups. Sous prétexte que l’un des agresseurs s’était fait
délivrer un certificat médical de son médecin traitant et avait déposé
plainte (deux jours après les faits), le parquet n’a rien trouvé de
mieux que de convoquer M. LETERME, non seulement en tant que victime (ce
qui était la moindre des choses), mais également en tant que prévenu
auteur présumé de violences légères.
Peut-on aussi parler d’un cas avéré de racisme anti-blanc ? Avez-vous plaidé en ce sens ?
Les
mots parlent d’eux-mêmes : l’un des prévenus a clairement menacé Madame
LETERME en ces termes : « on va se retrouver, on va te faire la misère,
on va te faire la peau, sale pute, sale blanche… on va se retrouver… on
va vous trancher la gorge à toi et à ta fille ». Il ne s’en est même
pas caché, tenant ces propos devant le policier qui protégeait Madame
LETERME. Ce n’est pas la première fois. La famille LETERME avait déjà
déposé deux mains courantes pour ce type de menaces ouvertement
racistes.
S’agit-il d’un fait divers ou d’une affaire politique qui dépasse le simple cadre juridique ?
Il
ne s’agit pas d’en faire une affaire politique, mais de constater que
dans certains quartiers, il existe des cas avérés de racisme anti-blanc,
où des habitants sont de fait ostracisés voire violentés parce qu’ils
n’appartiennent pas à la communauté majoritaire. Cette affaire est assez
topique : le lendemain, il y avait eu un article dans la presse locale,
où il était expliqué en gros que c’est la famille LETERME qui n’avait
pas su s’intégrer.
Mais
cette affaire est tout aussi emblématique d’une curieuse façon de
traiter les victimes : après le traumatisme que cette famille a vécu, il
est à peine croyable que le parquet ait eu l’idée de poursuivre la
victime, qui n’a fait que se défendre. La victime, un père de famille
sans histoire, s’est retrouvée sur le banc des accusés au même titre que
ses agresseurs aux casiers judiciaires déjà très chargés (l’un d’entre
eux avait déjà 11 condamnations à son casier et les autres de 3 à 6).
Que nous révèle selon vous cette affaire de la société française ?
Une
propension inquiétante à l’inversion des rôles (victime/agresseur) et à
l’aveuglement devant certaines réalités (les blancs sont aussi victimes
de racisme). Il ne faut pas généraliser, mais ces réalités sont
pourtant vécues dans notre pays, elles arrivent devant nos tribunaux.
Elles restent pourtant largement sous estimées voire niées dans la
pensée unique officielle et dans les grands médias.
Quelle décision les juges ont-ils rendu dans ce dossier ?
Deux
peines de prison ferme (6 mois et 2 mois) sachant qu’en dessous de
deux ans ferme, la peine est systématiquement aménagée, et 8 mois de
sursis simple pour le troisième. Quant à mon client M. LETERME, à la
fois victime et poursuivi pour violence légères, le Procureur a tout de
même requis une peine de 1500 Eur d’amende contre lui ! Heureusement le
tribunal ne l’a pas condamné.
Il a été relaxé, car la poursuite le
concernant était prescrite (simple contravention de violence légère,
qu’il contestait au demeurant). Quant aux dommages et intérêts, ils
s’élèvent en tout, pour la famille LETERME, à 7.800 euros pour tous les
préjudices confondus pour les trois victimes (les parents et la petite
fille de 12 ans).
C’est sans aucune commune mesure avec le drame qu’ils
ont vécu, et qui a changé leur vie puisqu’ils ont dû tout quitter, leur
logement, leur région et même leur travail.¢
(francepresseinfos.com)
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