mercredi 26 juin 2013

ALLELUIA !

Troisième Voie s'autodissout





Serge Ayoub, leader de Troisième Voie, le 25 juin.

Le mouvement d'extrême droite, dirigé par Serge Ayoub, n'existe plus.

 Son leader a décidé, mardi soir, de l'autodissoudre.

Il était dans le viseur du gouvernement depuis le décès de Clément Méric.




Il a souhaité couper l'herbe sous le pied du gouvernement. Serge Ayoub, leader de Troisième Voie a annoncé la dissolution de son mouvement, ainsi que celle de son service d'ordre, les Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR). Dans son bar, Le Local, situé dans le XVe arrondissement de Paris, l'ancien leader des skins parisiens a annoncé mardi soir avoir pris cette décision «pour l'honneur», pour que mercredi, en Conseil des ministres, «Ayrault et sa clique n'aient plus aucune raison de nous dissoudre». La dissolution de Troisième Voie aurait été, selon Serge Ayoub, notifiée en préfecture il y a une semaine. 

Peu après le décès de Clément Méric, et l'implication dans les coups mortels de l'un de ses sympathisants, Troisième Voie, qui a pris vivement sa défense, était entrée dans le viseur du gouvernement. Ce dernier a lancé, le 11 juin, une procédure de dissolution contre elle et les JNR, sans existence légale, mais considéré comme un groupement de fait. Troisième Voie est accusée d'«incitation à la haine» contre les étrangers et les JNR d'être «un groupe de combat». Accusations qu'elles contestent.

Préserver Le Local

Ce qui peut sembler paraître comme un recul face à la volonté du pouvoir ressemble en réalité plus à un repli tactique. Car, au-delà de Troisième Voie, le gouvernement visait dans un second temps l'association gérant le bar servant de base aux nationalistes révolutionnaires:
 Le Local.

 Ce dernier est géré par une association nommée Envie de rêver, qui en a été notifiée, le 19 juin. En annonçant ces autodissolutions, Serge Ayoub souhaite ainsi supprimer tout lien entre l'organisation politique et cette association, afin de préserver son bar, situé dans le sud de Paris. 

Car ce dernier rayonne au-delà de la nébuleuse de Troisième Voie: en développant rencontres et conférences, chaque semaine, ce lieu est devenu un carrefour des radicaux.

 Si le gouvernement décide de dissoudre tout de même l'association, l'avocat de Serge Ayoub, Me Nicolas Gardères, annonce sa volonté de porter un recours devant le Conseil d'État et, au-delà, devant la Cour européenne des droits de l'homme.

 «C'est l'honneur de notre démocratie libérale que de tolérer ces voix discordantes, quand bien même celles-ci peuvent être inquiétantes, menaçantes ou considérées comme telles par le gouvernement», a-t-il fait valoir.

Autre raison qui a poussé à ce sabordage: la volonté de recréer un nouveau mouvement, différent. Et ne pas risquer de reconstituer un mouvement dissous. 

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 

mercredi, 26 juin 2013

Hollande, Ayrault et Valls n'auront pas le plaisir de dissoudre Troisième voie et les JNR... C'EST DEJA FAIT !

images.jpg

Mardi en fin d’après-midi, au cours d’une conférence de presse qui s’est déroulée au Local, le fameux bar associatif non-conformiste parisien, Serge Ayoub, porte-parole du mouvement Troisième voie, entouré de son avocat, Maître Nicolas Gardère, et de Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale et co-fondateur du Collectif pour la défense des libertés publiques, a annoncé l’autodissolution de son mouvement et du service d’ordre de celui-ci, les JNR.
Il s’agit là d’un véritable pied de nez au gouvernement de la part de Serge Ayoub. En procédant de la sorte, cela, quelques heures avant le Conseil des ministres de mercredi matin à l’issue duquel devait être prononcée la dissolution de ces organisations, il ridiculise définitivement Hollande, Ayrault et autres Valls en les privant du plaisir de bâillonner eux-mêmes les organisations de la résistance nationaliste.
Pour Serge Ayoub et ses amis, cette mascarade a en effet suffisamment duré. Depuis le 5 juin dernier, date de l’agression par un commando de gauchistes de militants nationalistes à Paris, agression à la suite de laquelle un des agresseurs, Clément Méric, est accidentellement décédé, le gouvernement, la gauche, l’oligarchie mondialiste et leurs petits domestiques patentés d'extrême gauche ne cessent de vouloir inverser les rôles et de faire porter le chapeau de cette affaire à Troisième voie et aux JNR. Il est plus que temps d’arrêter de confondre les agresseurs et les agressés.
Au moment où les preuves de la culpabilité de Méric et sa bande s’accumulent, il faut que la peur change de camp. Ayrault, Valls  et consort ont perdu la main. Homme d’honneur, Serge Ayoub ne pouvait pas un moment imaginer que cette bande de minables puisse assassiner son organisation sans réagir. En les devançant, il prouve avec panache le mépris qu’inspire aux nationalistes de tels personnages.
Pour se consoler, les apprentis sorciers qui dirigent la France pourront toujours, si cela les amuse, dissoudre des mouvements qui n’existent plus… Cela aurait au moins le mérite de provoquer un éclat de rire général.
Troisième voie et les JNR se sont auto-dissous… mais le combat continue. Qu’on se le dise !

Aucun commentaire: