jeudi 23 mai 2013

LA DERNIERE REUNION DU CAFE PHILO DE DROITE

Jeudi 26 juin 2008
        Hier soir à 19 heures, ma compagne et moi nous sommes rendus au restaurant « les Fontaines St-Honoré » pour y suivre les débats du café philo de droite et là surprise, le gérant ( ?) embarrassé nous annonce que c’est annulé parce qu’il est « surbooké », qu’il a envoyé un mail le 18 juin (il n’a pas été reçu en tout cas), ainsi qu'un autre ce jour.
 Quand une salle est réservée deux mois à l'avance, on doit éviter le surbooking de la salle du 1er étage (occupée aux 2/3 par un groupe de japonais) alors même que la salle du rez-de-chaussée (plus grande que celle du 1er étage) est presque vide. 

C’est donc très injuste vis-à-vis des nombreuses personnes qui ont fait le déplacement et c’est une atteinte à la liberté de réunion…

 
        Voici le tract distribué aux victimes de cette incivilité :

(cafephilodedroite.blogspot.com)
Le Président
Paris, le 25/6/2008

 C O M M U N I Q U É
 
AYANT APPRIS QUE JEAN-GILLES MALLIARAKIS DEVAIT INTERVENIR AU COURS DU CAFÉ PHILO DE CE SOIR AU RESTAURANT "LES FONTAINES ST-HONORE (200, rue St-Honoré Paris 1er), HENRI DE LESQUIN, PRÉSIDENT DE RADIO COURTOISIE 
A MENACÉ EMMANUEL RATIER DE LE RENVOYER DE LADITE RADIO, S'IL Y PARTICIPAIT AUX CÔTÉS DE MALLIARAKIS…
 
PAR AILLEURS, "ON" SERAIT INTERVENU AUPRÈS DE LA DIRECTION DES "FONTAINES ST-HONORE" POUR NOUS Y INTERDIRE L'ACCÈS CE SOIR.
LA RÉUNI0N EST D0NC ANNULÉE
 
Jean-Pierre PAGèS-SCHWEITZER
Toutes correspondances à : JPPS
BP 6451
75064 Paris Cedex 02
jpps1938@gmail.com
Un des participants nous apprend en même temps que Radio Courtoisie serait dirigée par une personne autoritaire qui doit son pouvoir à la faiblesse de son entourage qui le surnommerait en coulisse "Henri le Mesquin".

Bien sûr tout ceci n'est que suppositions mais j'en parle car les nombreuses divisions qu'a connu le Front National sont dues à des comportements analogues, des querelles de personnes et des volontés de pouvoir.


 C'est ainsi dans beaucoup de partis politiques comme chez les Verts, comme au Parti Socialiste où le seul programme connu c'est "qui sera le prochain candidat pour les présidentielles?". 

Le pire je l'ai connu à l'époque où j'étais anarchiste : dès qu'ils sont plus de quatre il y a risque de scission... et pourtant personne n'a le pouvoir (en théorie bien sûr) ! Pour finir nous nous sommes retrouvés en petit comité dans un bistrot du coin où nous avons eu des échanges intéressants les uns avec les autres.

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