FAUT-IL ENCORE QU'ILS SOIENT CONDAMNES ...ET QU'ILS SOIENT SOLVABLES
PARIS (NOVOpress)
– La police des transports a interpellé mardi dans le Val-d’Oise trois hommes soupçonnés d’avoir dégradé du matériel de la RATP et de la SNCF avec des tags. A cause d’une nouvelle encre indélébile, le coût de ce vandalisme s’élèverait à plus de 5O0 000 € ! Les forces de l’ordre ont récupéré au domicile des individus des bombes de peinture, croquis de tags, ainsi qu’un fusil et un pistolet. Ces tags font référence à «ZNAK SUITE FERAY» et à «PVC95» tracés sur des trains stationnés dans des gares parisiennes.
Issus de la sous-culture américaine, les tags sont devenus un cancer urbain très onéreux.
Parfois encouragés par le laxisme des autorités qui laissent faire, voire des municipalités irresponsables qui initient certains jeunes à « l’art du graph » et encouragent cette culture racaille comme à Aubergenville (Yvelines) par le passé ou Rennes (Ille-et-Vilaine).
Tant pis pour les contribuables et les usagers des transports en commun qui paient cash ces dégradations.
Crédit photo : Michael Tubbs, via Flickr (cc).
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