TUNISIE : AU CUL, LA VIEILLE, C'EST LE PRINTEMPS ...ARABE
Vague de viols sans précédents, couverts par la Charia.
Par Souhail Ftouh
Alors
que les députés islamistes tunisiens se débattent dans leurs honteuses
idées sur la ré-institution de la
polygamie, du port du niqab et pire, de l’excision,
les violences
sexuelles, les viols et les enlèvements, ont progressé dangereusement et
d’une manière inquiétante.
On assiste à une vague d’agressions sexuelles attribuées à la mouvance salafiste contre des jeunes filles et des
femmes, victimes d’un islam d’un autre âge.
Les crimes recensés, qui concernent aussi des enfants, font froid dans le dos.
Une
augmentation que rien ne semble pouvoir arrêter car ce fléau, qui ne
cesse de se développer, est occulté par les
autorités qui laissent les jardins d’enfants hors la loi et entre les
mains d’individus suspects, ce qui encourage les psychopathes qui se
sentent protégés par l’impunité.
Le
23 mars 2013, la Tunisie a été secouée par l’impact d’une nouvelle qui
s’est répandue, en premier lieu, sur les
réseaux sociaux, à savoir le viol d’une fillette de trois ans par un
salafiste recruté pour travailler dans un jardin d’enfant (banlieue nord
de Tunis). L’enfant se plaignait de douleurs au niveau
de son appareil génital. Sa mère, qui a découvert des traces de sang,
l’a emmenée d’urgence dans une clinique où il s’est avéré que sa fille a
été victime de viol (1).
Le gouvernement islamiste a tenté de brouiller les pistes en prétendant que le viol a eu lieu en dehors du jardin
d’enfants, « dans le cadre familial élargi ». Le crime a provoqué une vague d’émotions dans tout le pays.
Un autre cas de viol d’une fillette dans un jardin d’enfant, à Nabeul (nord-est de la Tunis) a été aussi révélé,
malgré les efforts déployés pour le cacher depuis septembre 2012.
A
part les viols, les risques d’enlèvement et de violence menacent
quotidiennement des mineures, et mêmes des femmes
adultes, comme cette affaire de Sousse (ville touristique de l’est de
la Tunisie) où une jeune femme qui travaille comme danseuse dans un
restaurant, rentrant tard chez elle, a été violée par deux
barbus accompagnés d’un agent de police (2).
Ailleurs, un chef salafiste a été accusé le 22 janvier 2013 d’avoir violé un mineur à El-Alia, près de Bizerte (ville
du nord). Il a été arrêté à Tunis.
A Gabés (sud) une tentative de viol contre une jeune fille de 19 ans a été enregistré le 25 mars 2013.
Deux autres adolescentes de 14 ans ont été violées, le 26 mars 2013, au Kef (nord-ouest tunisien) par deux jeunes du
mouvement salafiste alors qu’elles venaient de quitter le domicile de leur professeur.
Dans
la même ville, la police judiciaire aurait procédé à l’arrestation, le
19 décembre dernier, d’un individu connu
pour son appartenance à la mouvance salafiste. Il s’était installé
dans la ville comme « guérisseur ». Il a été reconnu coupable de viol
sur une de ses jeunes « patientes »
après que cette dernière ait présenté un certificat médical attestant
qu’elle a subi des violences sexuelles.
Un
autre salafiste du parti Ettahrir (parti Salafiste), connu sous le nom
du Cheik Farouk et âgé de 24 ans, a violé
une jeune fille qui s’est présentée à lui pour faire « la Roquia », le
remède qui relève du Coran et de la Sunna. Farouk gère une école
coranique à Regueb (préfecture de Sidi Bouzid). Le
procureur de la République vient d’ouvrir une enquête.
Les
violeurs et pédophiles islamistes sont à l’œuvre, et Ettahrir, le
principal parti des salafistes
tunisiens, vient de publier un communiqué, mercredi 27 mars 2013, dans
lequel il prend la défense de ses membres, et traite les laïcs
tunisiens de sauvages, en affirmant qu’ils sont derrière les
viols qui se produisent dans le pays.
Le communiqué, signé par le fanatique Ridha Belhadj, qui se considère comme un homme moralement juste, un défenseur de
l’islam pur, indique « que la vie des musulmans aurait été
parfaite si elle était régie par la Sharia et par les propos divins,
mais cette vie pacifique et paisible se trouve aujourd’hui
menacée par ces hordes inféodés qui suivent et singent les
Occidentaux.»
D’après
lui, ces dramatiques évènements témoignent que les laïcs sont les
ennemis de la Oumma (la Communauté des
musulmans) en cherchant à imposer les lois ennemies, mais malgré cela,
ils continuent à bitumer la route de la violence, de l’atteinte à la
pudeur et autres bassesses.
« Le monde entier sait que l’Islam est un système parfait » dit Belhadj, « mais
les laïcs de
notre pays insistent à être au dessus de tout et affichent leur audace
et leur culot contre le peuple et sa religion pour exclure l’islam des
lois tunisiennes ».
Ce salafiste radical (soupçonné d’envoyer des jihadistes tunisiens en Syrie) n’a toutefois pas précisé sa position sur
la prostitution de la chair fraîche tunisienne en Syrie, qu’ils appellent « Djihad » et non viol collectif organisé. (3)
Par
contre, il a pris la défense de l’infâme salafiste qui a violé la
fillette du jardin d’enfant. Peut être que
la petite fillette, âgée de trois ans, l’a aguiché et l’a excité par
des poses lascives et le pauvre musulman a été victime des mœurs
occidentales qui polluent les jeunes filles ?
Cette rhétorique de l’application de la Sharia n’est citée que pour blanchir les violeurs et les pédophiles musulmans
les plus sanguinaires. Celui qui connaît de près les lois islamiques en sait quelque chose.
Par
exemple, le violeur, en islam, peut se marier avec celle qu’il a
violée, et le mariage le lave de toute faute. Les
mâles ayant pratiqué le viol sont donc impunis, et le mariage est
légal dans le cas d’un viol. Et la jeune fille violée est obligée de se
marier avec son tortionnaire afin d’éviter la honte.
Il y a tout juste un an, en mars 2012, une jeune Marocaine âgée de 16 ans, Amina Al Filali, a été obligée d’épouser
son violeur. Elle s’est donnée la mort, entraînant un débat sur la loi qui permet ce genre d’union contre-nature.
L’Europe
aussi prépare un avenir terrible à ces filles. Un rapport publié
récemment en Norvège a révélé que dans la
capitale, 100 % des viols ont été commis par des immigrés « non
occidentaux », et que 9 victimes sur 10 étaient des Norvégiennes de
souche.
Les viols sont considérés par les mâles musulmans comme un acte de conquête. Contrairement aux femmes musulmanes
violées, les non musulmanes sont d’emblée considérées comme des proies légitimes par l’islam conquérant.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Souhail Ftouh pour www.Dreuz.info
- Voir article : Tunis: un salafiste portant Keffieh palestinien viole une fillette de 3 ans dans un jardin d’enfants
- En septembre dernier, trois policiers du mouvement islamiste Ennahda ont violé une jeune femme qui était avec son fiancé : l’affaire de la jeune fille violée a terni l’image de la Tunisie. Les policiers avaient menotté le compagnon de la victime et ont emmené la victime dans leur véhicule et lui avaient demandé ce qu’elle était en mesure de leur offrir.
- Voir article : Une fatwa saoudienne – à effet immédiat – autorise les rebelles syriens à « se servir » sexuellement de fillettes de 14 ans
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