LES PALESTINIENS : LE "TARTE A LA CREME" DES ARABES
Les Juifs sont à l’origine de tous les troubles
Ces enfants sont « à l’origine de tous les troubles du Moyen-Orient »…
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Décidément, une partie du Clergé des Chrétiens d’Orient en général et
une partie du Clergé des Chrétiens d’Israël, de Judée (terme biblique),
de Samarie (terme biblique) et de Gaza (terme égyptien) en particulier,
étaient, demeurent et resteront des dhimmis, des valets du Fatah, de
l’OLP, du Hamas, de la Ligue arabe et de l’Organisation de la
Coopération Islamique (OCI).
En effet, Le patriarche catholique latin
de Jérusalem, Fouad Twal, a abusé des Fêtes de Pâques pour raconter,
une fois de plus, les mêmes sottises que d’habitude : « J’invite encore
et encore la communauté internationale, au-delà des discours et des
visites, à prendre concrètement les décisions efficaces pour trouver une
solution équilibrée et juste pour la cause palestinienne qui est à
l’origine de tous les troubles du Moyen-Orient ».
Le Patriarche n’est donc pas uniquement
le patriarche catholique latin de Jérusalem. Il est aussi – en fait
surtout – le patriarche du Fatah, de l’OLP et du Hamas.
Il accuse le
peuple juif israélien d’être « à l’origine de tous les troubles du
Moyen-Orient ». Et je suppose que selon ce patriarche dhimmi, les Juifs
en général sont à l’origine de tous les troubles de la planète.
En revanche, le Père David Neuhaus, du
Vicariat de Saint Jacques à Jérusalem, qui rassemble les communautés
catholiques hébréophones en Israël, a écrit au pape pour Pâques : « La
communauté catholique hébréophone d’Israël vous envoie ses salutations
les plus chaleureuses, en vous assurant de ses prières ferventes pour
vous au moment où vous assumez les lourdes responsabilités afférentes à
votre mission ».
Père Neuhaus : « Nous avons tous été
profondément émus par vos paroles et vos actes en ces premiers jours de
votre Pontificat. Votre insistance à souligner que l’Eglise doit être
pauvre avec les pauvres nous rappelle que nous sommes tous appelés à
nous faire de façon radicale disciples de Celui qui n’avait pas de lieu
pour reposer sa tête ».
Père Neuhaus : « Nous avons tous été
profondément remués par votre lettre au Rabbin Di Segni, où vous avez
affirmé souhaiter continuer la longue route de réconciliation et de
dialogue avec e peuple juif, au milieu duquel nous vivons ici en Israël.
Nous sommes sûrs que vous contribuerez de manière importante aux
efforts pour apporter la paix à notre pays troublé, à cette région et au
monde entier. Saint Père, nous vous assurons de notre amour, de notre
estime et de notre constante prière pour vous et pour l’Eglise »,
conclut le Père Neuhaus.
De son côté, le Grand Rabbin de Rome, le
Grand Rabbin Di Segni, écrit au pape : « Je vous remercie beaucoup des
vœux que vous avez adressés à ma communauté et à moi à la veille de
Pessah, confirmant la belle et récente habitude d’échange de messages
entre les deux rives du Tibre à l’occasion des grandes fêtes. En vous
adressant à mon tour mes vœux, j’observe que l’occasion de la Pâque est
particulièrement significative parce que cette grande fête, souvent
contemporaine dans le calendrier, comme cette année, représente à la
fois le lien et la distance entre nos religions ».
Grand Rabbin Di Segni : « Une distance
qui, au long de l’histoire, a débouché, justement en ces jours, sur des
manifestations d’hostilité et d’intolérance anti-juive. Si aujourd’hui, à
la différence du passé, ces jours sont vécus par les deux fois dans la
joie et dans l’harmonie, nous le devons à tous les hommes qui se sont
engagés dans cette œuvre d’assainissement, et nous devons en être
reconnaissants au Seigneur ».
Grand Rabbin Di Segni : « Notre prière
pour vous est dans un esprit de respect et d’amitié fraternelle,
conscients de la difficulté de souhaiter non seulement ce que nous
considérons comme votre bien, mais aussi et surtout de ce que vous
considérez comme bien pour vous-mêmes, ce qui est différent et qu’on ne
peut comprendre.
Justement en ces jours où les prières rituelles portent
le poids d’une histoire d’incompréhension, notre souhait est que le
Saint, Béni-soit-Il, nous rende capables de comprendre réciproquement le
sens de la différence et la valeur de la fraternité », conclut le Grand
Rabbin Di Segni.
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