IL FAUT VIRER LES MAGISTRATS ISLAMO-COLLABOS !
Cours camarade, le vieux monde est derrière toi !
Robert Ménard
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On
nous ment. Ils nous mentent. Qui ? Les politiciens, les journalistes,
les juges. Les syndicats, les partis, les associations de ceci et de
cela. Pas tous ? Presque tous !
Sur l’insécurité, sur l’immigration, sur
l’islam, sur l’école, sur l’Europe, sur l’état de la France.
Ils nous
racontent des craques. Ils nous cachent la vérité. Pour s’assurer de
leurs privilèges. Pour défendre leur pré carré. Pour sauver leur peau.
Ils se foutent de nous. Ils ne pensent qu’à eux.
Et
le pire, c’est que nous le savons ! D’ailleurs, combien d’entre nous ne
vont même plus voter. Et quand nous le faisons, c’est pour virer le
sortant, même si nous avons bien compris que le suivant ne fera pas
mieux. On les a essayés presque tous et nous savons ce qu’ils valent.
Rien. Ils s’engagent tout en sachant que c’est du vent, du bluff. Ils
nous la jouent à l’esbroufe. Ils ont toujours des excuses : le marché,
la crise, les puissants, Bruxelles… Ah ça oui, pour parler, des
champions ! Surtout quand, à tour de rôle, ils sont dans l’opposition.
Alors
pourquoi les supportons-nous ? Pourquoi ne pas les virer ? Un nettoyage
par le vide. Place nette. Tout de suite. Sans attendre. La situation
est trop grave. Désespérée pour certains. Impossible pour le plus grand
nombre.
On
vous l’accorde : il n’y aurait pas que le président, les ministres, les
députés, les sénateurs et tous les petits barons de France et de
Navarre dont il faudrait se débarrasser.
Mais aussi ces journalistes qui
leur servent la soupe, qui dînent aux mêmes tables, qui viennent des
mêmes écoles, qui finissent dans les mêmes lits.
Et ces magistrats qui
trouvent toujours des excuses aux voyous, à la racaille ! Dehors, comme
les autres. Tiens, et si on les élisait, nos juges ? Ils seraient bien
obligés de nous écouter !
On
veut essayer autre chose. D’autres têtes. D’autres façons de penser.
D’autres façons de poser les problèmes. On ne veut plus qu’on nous
prenne pour des imbéciles. On veut qu’on appelle un chat un chat. On
veut qu’on pense d’abord à la France et aux Français. Qu’on se soucie de
nous, qu’on s’inquiète de nous. Qu’on nous écoute. Qu’on arrête de nous
étiqueter « réacs », « fachos », « racistes » dès que nous osons dire ce que nous voyons, ce que nous vivons.
La
situation est mûre. Il faut courir, camarade, leur vieux monde est
derrière nous.
Et le nôtre, peut-être, à portée de main. Rendez-vous ce
dimanche place Denfert-Rochereau !
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