DICTIONNAIRE "DES" RACISMES...
Jean Raspail
mercredi 14 avril 2010
Belgique, une mère et sa fille agressées parce qu'elles sont blanches
Une dépêche assez surprenante (qui pose parler de race et de racisme anti-Blanc) de l’agence de presse Belga :
Un homme de race noire, âgé de 44 ans, a été appréhendé, mardi en début de soirée, à la Médiacité à Liège, à la suite d’une agression raciste.
Un homme de race noire, âgé de 44 ans, a été appréhendé, mardi en début de soirée, à la Médiacité à Liège, à la suite d’une agression raciste.
L’homme s’en serait pris à deux dames, une mère et sa fille, qui circulaient dans un couloir de la Médiacité. Elles se sont écartées pour lui laisser le passage. Celui-ci a crié qu’il
ne passait pas entre deux Blanches, les a insultées et a également
craché au visage d’une des deux dames, lui portant des coups de pied au
ventre.
Cette dernière venait de subir une intervention chirurgicale. Appréhendé par la police, l’agresseur a déclaré qu’il voulait se défendre.
L’homme
est connu de la justice car il a déjà été condamné pour coups et
blessures, outrages et menaces. Il a été mis à la disposition du parquet
de Liège.Source
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" Vivre ensemble ",
Victimes du multiculturalisme
mardi 13 avril 2010
Défilé antifaciste et "pacifique" contre "l’extrême-droite et la haine” à Lyon
Penchons nous un peu sur le cas troublant des antifascistes:
Lors des manifestations étudiantes de 2005 et anti-CPE de 2006, alors qu’ils étaient bien plus nombreux, ils ont servi de punching-ball aux groupes de racailles sans moufter…. Des antifas ont été évacués par le SAMU avec trauma crânien, etc… Et pourtant, aucun sentiment de colère de leur part vis à vis des “jeunes”… Rien !
Idem à Rosengrad, en Suède, des antifas
venus protester contre la "présence policière" dans un quartier
immigré, se sont fait massacrer et humilier, sans broncher, par ces
mêmes immigrés et sont repartis sous la protection de…la police !
Comment peut-on en arriver à un tel stade ?
C’est à croire que l’antifa a définitivement accepté dans son esprit, qui a le droit ou non de le soumettre, de l’agresser, de l’injurier, etc…
L'antifa
le plus extrémiste sera prêt à mourir contre ses propres frères de sang
pour “combattre le fascisme”… mais il sera bien plus docile si il se
faisait agresser, humilier, injurier par ce qu’il a définitivement assimilé dans son esprit comme une victime.
Il ne bronchera pas car sa "haine de soi” prendra le dessus sur son
instinct de survie… Il est coupable (car Blanc, Occidental et donc
"riche" et oppresseur par nature…), alors qu'eux sont victimes (car
immigrés, vivant en cités, en “perte de repères”…) Dans sa logique, il
est normal, voire salutaire, qu’il
en prenne plein la tronche…. Il doit payer… C’est l’aboutissement de
son combat… L'éradication des "nantis" par les “opprimés”.
Pourtant la quasi totalité des antifas ne vivent pas en cité, au contact de la “Diversité”… mais bien à l’abri dans des quartiers à majorité blanche… Les antifas sont quelque part des Identitaires qui s’ignorent car regroupés en communauté à 90% blanche. C’est terriblement paradoxal !
L'antifa
fuit (sans l’admettre) la diversité des cités, car il sait que dans le
cas contraire, il n’aurait d’autres choix (pour survivre) que de jeter
aux orties ces principes dépassés de “lutte des classes” et d’athéisme
(concepts typiquement occidentaux) pour embrasser une cause identitaire qui n’est pas la sienne (conversion à l’islam, rejet de l’occident, fascination pour le Maghreb, l’Afrique…).
Essayer de comprendre le raisonnement d’un antifa fiche rapidement la migraine !Au fond, la seule chose qui les motivent est leur haine d'eux même. Abreuvés dès l'enfance de discours anti-raciste, ils croient combattre un gouvernement raciste, celui là même qui laissent rentrer des centaines de milliers d'étrangers tout les ans sur notre sol.
Dans le même temps, ils se disent anticapitalistes en soutenant l'immigration, fer de lance du capitalisme apatride dans la baisse des salaires des Européens et dans le gel des véritables avancées sociales ! Ils osent dire et croirent que nous Blancs fiers de notre race et de notre culture, amoureux de notre terre et de notre peuple sommes consciemment les alliés des multinationales dans l'exploitation du monde. Ils nient la légitimité de notre combat tout en soutenant sans réserve les luttes identitaires ayant lieu à l'autre bout de la planète, sans même s'apercevoir de l'incohérence totale de leur positionnement.
Le réveil sera pourtant bien dur lorsqu'ils verront le résultat de leur soutien à l'invasion de l'Europe et à la substitution de population qui s'opère...
Ci-dessous quelques images d'une contre manifestation antifa en soutien aux islamistes contre des patriotes anglais:
Source (merci à "Gaulois en colère" pour l'analyse)
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Ethnomasochisme
lundi 12 avril 2010
Grenoble, lynché "gratuitement" par une quizaine de "jeunes"
Par
quelle effroyable pulsion meurtrière cette bande de malfrats a-t-elle
été gagnée lorsqu'elle a décidé de s'attaquer (à 15 ou 20 contre quatre
!) à de paisibles jeunes gens qui n'avaient rien demandé à personne ?
L'ensemble
des éléments de l'enquête semblent montrer que cette affaire n'a rien
de commun avec les classiques rixes de fin de soirées chargées en
alcool, mais à une attaque délibérée sur un petit groupe de personnes
qui avaient pourtant tenté d'éviter la confrontation.
Vers
23 h 30, la bande d'agresseurs, montée à bord du tramway au niveau des
quartiers sud de l'agglo, venait de se faire expulser de la rame par des
agents de la Semitag à l'arrêt Hubert-Dubedout, station la plus proche
de la place Grenette. Le hasard a voulu que les quatre jeunes gens
descendent également de la rame à cet endroit.
L'un
des agresseurs a demandé une cigarette à la jeune femme, qui a répondu
simplement qu'elle n'en avait plus. Martin, son ami, s'est alors fait
insulter sans aucune raison. Cherchant à fuir, les quatre victimes ont
commencé à presser le pas en direction de la place Grenette mais, à cet
endroit, Martin a subitement été frappé et mis au sol. Ses amis ont
tenté de lui venir en aide, mais selon leurs témoignages, les agresseurs
étaient une quinzaine à cet instant.
Dans
un invraisemblable déchaînement de violence, les racailles lui ont
décoché de grands coups de pied en pleine tête alors qu'il était à
terre. L'un d'entre eux a même pris son élan pour, lancé à pleine
vitesse, venir s'écraser contre sa colonne vertébrale. Et puis, en plein
lynchage, les agresseurs se sont soudainement écartés de leur victime
et ont pris la fuite en direction du jardin de ville. Lorsque les
témoins et les amis de Martin se sont approchés de lui, ils ont compris
qu'il était gravement blessé : il venait d'être atteint de deux coups de
couteau au dos et à un bras et il saignait abondamment...
L'un
de ces coups a perforé un poumon, plongeant rapidement Martin, un
cartographe de 24 ans, dans l'inconscience. Selon nos informations, le
jeune homme est resté toute la nuit entre la vie et la mort : une
importante hémorragie s'est produite au niveau pulmonaire et il a dû
être opéré de toute urgence. Les informations qui ont filtré hier
faisaient état, dans l'après-midi, d'une amélioration de son état de
santé, qui demeurait toutefois très préoccupant.
«Onze
personnes ont été identifiées» grâce à des caméras de
vidéosurveillance, a dit M. Hortefeux qui a annoncé que «certaines»
d'entre elles avaient été interpellées. Le ministre de l'Intérieur, qui
n'a donné aucune autre précision, a annoncé qu'il se rendrait à Grenoble
ce lundi. Le parquet de Grenoble assure de son côté que personne n'a
été interpellé, précisant que les agresseurs sont «en cours
d'identification par les enquêteurs qui exploitent des vidéos présentées
aux amis de la victime», entendus comme témoins «dans le courant du
week-end».
SourcePour ce qui est de la violence, toujours gratuite selon les médias lorsqu'elles concernent des Blancs, voir le livre de Bruno Gheerbrant ici.
Et toi qui lis ces lignes, n'oublie pas que demain tu risques d'être le
prochain, n'oublie pas que personne en dehors des tiens ne t'aidera,
agis donc en conséquence, prépare toi au pire et rejoins le combat...
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Victimes du multiculturalisme
Bandes ethniques : la barbarie frappe aussi à Toulouse
Après le martyr de Martin à Grenoble,
vendredi, une autre tragique illustration de la nouvelle barbarie qui
règne désormais dans nos villes a marqué cette fin de semaine en France.
C’est à Toulouse cette fois qu’un
couple a connu l’enfer dimanche, après avoir eu le malheur de croiser
une de ces bandes de racailles qui font la loi dans nos rues. Toujours
le même scénario : une demande de cigarette qui tourne à l’agression
sauvage.
En plein centre-ville, le couple âgé d’une vingtaine d’années a ainsi été violemment pris à partie par un groupe de voyous alors qu’ils
regagnait tranquillement son domicile. Quatre des agresseurs ont alors
fait subir des violences sexuelles à la jeune victime pendant qu’ils frappaient son compagnon. La jeune femme a été hospitalisée.
Aucun
des agresseurs n’a été interpellé, ce qui ne manquera pas de renforcer
encore un peu plus le sentiment de totale impunité de ces bandes...
Voir l'article de La Dépêche ici.
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Victimes du multiculturalisme
mercredi 7 avril 2010
De la culpabilisation
Esther Benbassa, sa vie, son œuvre (souvent co-écrite avec son compagnon J-C Attias) :
- Un grand rabbin sépharade en politique
- Une vie judéo-espagnole à l'Est : Gabriel Arié
- Une diaspora sépharade en transition
- Histoire des Juifs sépharades. De Tolède à Salonique
- Dictionnaire de civilisation juive
- Israël, la terre et le sacré
- Histoire des Juifs de France
- Les Juifs ont-ils un avenir ?
- Le Juif et l'Autre
- La République face à ses minorités. Les Juifs hier, les musulmans aujourd'hui
- Juifs et musulmans : Une histoire partagée, un dialogue à construire
- La Souffrance comme identité
- Petite histoire du judaïsme
- Être juif après Gaza
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Informations,
Repentance
Tout le monde vous aime qu'on vous dit !
«Un
Blanc gentil, on n’y croit plus ! Oui on en est là. Parce qu’on a tout
fait … On a tout exploré. On est parties de chez nous. On vous a aimés
(sic !).
On a voulu faire comme vous : les filles en mini-jupe, les mecs en costard-cravate, les cheveux décolorés … on a parlé le français mieux que vous (re sic !), on a mangé du porc, on est sortis avec des français, des françaises, on a insulté nos parents, on a rampé… On a été violents, on s’est battus… Et on s’est trouvés devant un mur d’arrogance…
Donc après ça, on se dit qu’il n’y a rien à faire. Alors l’appel des Indigènes dit : « Merde. » Il propose de partir sur des bases saines. C’est là que c’est un cadeau qu’on vous fait. Prenez-le : le discours ne vous plait pas…mais prenez-le quand même ! Ce n’est pas grave, il faut que vous le preniez tel quel !
Ne discutez pas !
Là, on ne cherche plus à vous plaire ; vous le prenez tel quel et on se bat ensemble, sur nos bases à nous ; et si vous ne le prenez pas, demain, la société toute entière devra assumer pleinement le racisme anti-Blanc.
Et ce sera toi, ce seront tes enfants qui subiront çà. Celui qui n’aura rien à se reprocher devra quand même assumer toute son histoire depuis 1830. N’importe quel Blanc, le plus antiraciste des antiracistes, le moins paternaliste des paternalistes, le plus sympa des sympas, devra subir comme les autres. Parce que, lorsqu’il n’y a plus de politique, il n’y a plus de détail, il n’y a plus que la haine.
Et qui paiera pour tous ?
Ce sera n’importe lequel, n’importe laquelle d’entre vous.
C’est pour cela que c’est grave et que c’est dangereux ; si vous voulez sauver vos peaux, c’est maintenant. Bientôt il sera trop tard : les Blancs ne pourront plus entrer dans un quartier comme c’est déjà le cas des organisations de gauche. Ils devront faire leurs preuves et seront toujours suspects de paternalisme.
Aujourd’hui, il y a encore des gens comme nous qui vous parlons encore. Mais demain, il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des Blancs. »Houria Bouteldja, porte-parole du mouvement des "Indigènes" de la République
Source
On a voulu faire comme vous : les filles en mini-jupe, les mecs en costard-cravate, les cheveux décolorés … on a parlé le français mieux que vous (re sic !), on a mangé du porc, on est sortis avec des français, des françaises, on a insulté nos parents, on a rampé… On a été violents, on s’est battus… Et on s’est trouvés devant un mur d’arrogance…
Donc après ça, on se dit qu’il n’y a rien à faire. Alors l’appel des Indigènes dit : « Merde. » Il propose de partir sur des bases saines. C’est là que c’est un cadeau qu’on vous fait. Prenez-le : le discours ne vous plait pas…mais prenez-le quand même ! Ce n’est pas grave, il faut que vous le preniez tel quel !
Ne discutez pas !
Là, on ne cherche plus à vous plaire ; vous le prenez tel quel et on se bat ensemble, sur nos bases à nous ; et si vous ne le prenez pas, demain, la société toute entière devra assumer pleinement le racisme anti-Blanc.
Et ce sera toi, ce seront tes enfants qui subiront çà. Celui qui n’aura rien à se reprocher devra quand même assumer toute son histoire depuis 1830. N’importe quel Blanc, le plus antiraciste des antiracistes, le moins paternaliste des paternalistes, le plus sympa des sympas, devra subir comme les autres. Parce que, lorsqu’il n’y a plus de politique, il n’y a plus de détail, il n’y a plus que la haine.
Et qui paiera pour tous ?
Ce sera n’importe lequel, n’importe laquelle d’entre vous.
C’est pour cela que c’est grave et que c’est dangereux ; si vous voulez sauver vos peaux, c’est maintenant. Bientôt il sera trop tard : les Blancs ne pourront plus entrer dans un quartier comme c’est déjà le cas des organisations de gauche. Ils devront faire leurs preuves et seront toujours suspects de paternalisme.
Aujourd’hui, il y a encore des gens comme nous qui vous parlons encore. Mais demain, il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des Blancs. »Houria Bouteldja, porte-parole du mouvement des "Indigènes" de la République
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mardi 6 avril 2010
Blancs, continuez à dormir, tout le monde vous aime...
Ca se passe à Seattle, forteresse des bobos américains qui, pour beaucoup, ont voté pour un Noir comme maire après avoir fui la politique pro-noir du maire de Los Angeles...
Pour une fois ce noir sera inculpé de “crime de haine” — mais remis dans un asile psychiatrique pour se "guérir", tout comme les violeurs noirs de femmes blanches en Finlande ou ailleurs...
Source
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Ethnomasochisme,
Victimes du multiculturalisme
lundi 5 avril 2010
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