vendredi 22 mars 2013

SOUS TOUTES RESERVES

 

 

Génération Philippot

Alors que les nationalistes, les patriotes et autres cadres et membres du Fn commémorent l’assassinat du Colonel Jean-Marie Bastien-Thiry et protestent contre l’inique journée du souvenir pour le 19 mars 1962, Philippot exhibe le symbole de la Grande Zohra et -sa tête va exploser- se prétendant d’une  »génération Philippot »!!!


Jeudi 28 mars 2013 : Journée de mobilisation pour la défense des libertés publiques

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Journée de mobilisation pour la défense des libertés publiques à l’appel du CLAN

13h30 

Procès d’Yvan BENEDETTI devant la 10ème chambre suite à la manifestation interdite des Jeunesses Nationalistes à Paris le 29 septembre 2012 

Rdv TGI de Paris 4 bvd du Palais Paris 1er 

Comité de liaison et d'aide nationaliste (CLAN)

20h30 

Réunion publique avec

Yvan BENEDETTI président de l’OEuvre française

Pierre-Marie BONNEAU Avocat

Jérome BOURBON directeur de Rivarol

Alexandre GABRIAC président des Jeunesses Nationalistes

Laura LUSSAUD présidente du CLAN

Pierre SIDOS, fondateur de l’œuvre française


Espace Dubail 18 passage Dubail Paris 10ème

Métro: Gare de l’Est


Comité de Liaison et d’Aide Nationaliste

Contact: 07 81 23 11 23


main prison

21 mars 1899 : naissance de Jean Fontenoy


Jean Fontenoy est né à Fontainebleau le 21 mars 1899.


Il s’engage pour quatre ans le 21 mars 1918, le jour de ses 18 ans, en tant que lieutenant de cavalerie d’artillerie à cheval, suivant ainsi son ami, le philosophe Brice Parain, communiste. Démobilisé, il apprend le russe et traduit Tolstoï.


En 1924, il est le correspondant de l’agence Havas à Moscou, qu’il fonde avant d’être envoyé en Chine en 1927, où il fonde le Journal de Shanghaï (on vera dans un album de tintin). Il suit notamment le général Tchang Kaï-Chek dans ses campagnes.

Il devient antistalinien, on l’accuse d’être venu à Moscou comme espion. Il est alors renvoyé d’Havas.


Revenu en France en 1934, il devient écrivain et journaliste. Il entre à La Nouvelle Revue française.


Parallèlement, il s’inscrit au Parti populaire français de Jacques Doriot. Puis il se rapproche des réseaux de Pierre Drieu la Rochelle, dont le comité « Allemagne-France » présidé par Otto Abetz, et écrit dans des journaux allemands.


En janvier 1940, pendant la guerre russo-finlandaise, il s’engage dans l’armée finlandaise. Blessé au front, il rentre à Paris.


Collaborationniste convaincu, il joue les intermédiaires entre le chef du gouvernement Pierre Laval et l’Allemand Otto Abetz, ambassadeur en France, qu’il connaît bien. Dans l’orbite d’Eugène Deloncle, le fondateur de La Cagoule, il participe à la fin de l’année 1940, à la création du « Mouvement Social Révolutionnaire » qui fusionnera avec le « Rassemblement national populaire » en février 1941. Il est alors un des cinq membres du Comité directeur du nouveau parti.


Lieutenant de la Légion des volontaires français, la LVF, il est envoyé sur le Front à l’Est en octobre 1941, avant de revenir à Paris où il redevient journaliste pour Je suis partout et pour  l’hebdomadaire Révolution nationale qu’il dirigea un temps.


En 1942, il est nommé chargé de mission par Laval en Allemagne, puis en décembre 1943, directeur général adjoint de l’ »Office français d’information ».


Devant la défaite du national-socialisme, il se suicide à Berlin le 28 avril 1945 en avalant une dose de cyanure.

En février 1941 Libération,  « Organe des Français libres », consacre sa chronique « Nos Têtes de traîtres » à Jean Fontenoy .


En France il y aurait… 5 500 généraux!

Verbatim:
On se doutait que les capacités opérationnelles de l’armée française, n’étaient pas à la hauteur du courage et des compétences des soldats français. Mais une lettre ouverte d’une dizaine de jeunes officiers éclaire sous un jour nouveau, et pour le moins déroutant, certains handicaps…
Imaginez… Il y aurait en France plus de 5 500 généraux, payés à ne rien faire… Autant que de légionnaires, tous régiments confondus. De quoi armer deux équipages d’un porte-avion comme le Charles de Gaulle… Et ce ne sont là que des comparaisons d’effectifs… et non de solde. Car évidemment, un général planqué touche beaucoup plus qu’un caporal ou un marsouin engagé sous le feu, au Mali ou ailleurs.
Il y a en France, selon des chiffres arrêtés au 31 décembre 2012, 498 officiers généraux en activité dont 173 pour l’armée de terre, 74 pour l’armée de l’air et 52 pour la marine. Et 5 500 en section II, c’est-à-dire en pré-retraite, sans affectation… Quand on sait qu’un général est un officier censé commander au moins une brigade, une division ou un corps d’armée, l’armée française devrait compter, avec 5 500 généraux, plus de… 2 millions 600 milles combattants, sans compter les personnels civils administratifs. Un tout petit plus que l’armée chinoise, autant que l’armée américaine et l’armée russe réunie… La France aurait ainsi la première armée du monde.
Tout çà pourrait prêter à sourire, si cela ne nuisait pas gravement aux capacités opérationnelles des régiments qui eux, doivent diminuer leur effectifs, militaires du rang et sous-officiers. Et il faut bien reconnaître que dans les conflits récents, aucun colonel ou général n’est tombé au champ d’honneur. Il n’y a plus, en France, de Colonel Le Drian pour mourir à la tête de ses hommes pour la défense de Verdun… Et pour ce qu’on a pu en voir, lors de l’affaire Mahé, l’honneur est d’autant plus vivace chez le soldat français, qu’il a un grade inférieur à celui de colonel !
Dénonçant également la baisse systématique du budget de la défense, variable d’ajustement au grès des humeurs syndicales du moment et des impératifs de Bruxelles, la lettre ouverte des jeunes officiers demande un « réarmement » de la France. Un réarmement qui doit prioritairement concerner l’équipement individuel des soldats. S’ils dénoncent le programme Félin, qui alourdit de dizaines de kilos les combattants mais remplit les poches des sociétés d’armement sans apporter de réels avantages sur le terrain, ils réclament, je cite « des gilets pare-balles, des chaussures, des robots, des drones, des munitions, des fusils d’assaut, des treillis de qualité ». Fin de citation. Ils veulent que ces choix stratégiques soient imposés par le Parlement aux groupes du complexe militaro-industriel car, je cite encore, «  La France a besoin de capacité opérationnelle. Pour retrouver une réelle capacité de projection, l’armée a besoin de transporteurs blindés, d’un deuxième voire d’un troisième porte-avions, d’hélicoptères et d’un deuxième groupe aéronaval. Elle a besoin de blindés sur roues, de matériel chirurgical ». On dit souvent que l’armée française est la meilleure infanterie au monde, maintenant on sait pourquoi, elle ne peut compter que sur la valeur de ses hommes, puisqu’elle n’a pas de matériel !
Cerise sur le gâteau, pendant ce temps, les militaires du rang ne sont pas payés… Les dysfonctionnements du système informatisé Louvois, qui gère, enfin qui devrait gérer les paies, étaient pourtant connus avant même sa mise en service, mais rien n’a été fait pour corriger les 10 à 15 bugs majeurs qui plombent complètement un logiciel déjà obsolète. La situation est telle que des militaires en opération se font saisir leur maison, faute de pouvoir payer les mensualités de leurs crédits ! L’armée de Terre, mais aussi la Marine sont touchées.
Pourtant, il paraitrait que le problème pourrait être résolu si la DRH du ministère de la défense accordait à l’armée de terre la création de cinq postes d’informaticiens… La France peut payer 5500 généraux à ne rien faire, embaucher 40000 fonctionnaires de plus à l’Éducation Nationale qui en compte déjà un million, mais rechigne à embaucher 5 informaticiens pour que ses soldats puissent monter au feu, sans avoir le soucis de savoir si le frigo de leurs enfants est plein, si leur épouse pourront encore avoir un toit le mois prochain et si l’armoire à pharmacie de leurs parents leur permette de se soigner. Dans d’autres pays, il y a eu des coups d’état pour moins que cela…

Bratislava : les nationalistes célèbrent la création de l’Etat Slovaque

Samedi dernier (16 mars 2013)  a eu lieu une manifestation à Bratislava qui a marqué la mise en place il y a 74 ans de la première indépendance de l’Etat slovaque (protectorat allemand).

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Cette formation de l’Etat a duré seulement entre 1939 et 1945. La Tchécoslovaquie a été reconstituée après le dénouement de la seconde guerre mondiale, la Slovaquie ne réapparaissant sur les cartes de l’Europe en tant qu’Etat indépendant qu’à partir de 1993 Plus de 300 participants à l’action organisée par l’association Communauté slovaque ont dénoncé l’Union européenne et le catalogue droit de l’euro « une monnaie d’occupation ».


A la marche a participé une délégation de nationalistes tchèques de l’organisation des jeunes du Parti des travailleurs pour la justice sociale (Partidului Muncitoresc pentru Dreptate Socială).  Étaient également présents quelques nationalistes autonomes de Pologne.


Après la manifestation, les nationalistes ont marché jusqu’au cimetière où est enterré Mgr Jozef Tiso (1er président de la république Slovaque du 26 octobre 1939 au 3 avril 1945), pour un dépôt de gerbes de fleurs. Ont été prononcées des prières et un moment de silence a été respecté.


Source : FrontPress.ro [Traduit du roumain en français]



Gilbert Collard remet Florian Philippot à sa place

En cause, la motion de censure déposée par l’UMP contre le gouvernement et initiée par Jean-François Copé. Motion pour laquelle voteront les deux députés Rassemblement bleu marine au nom du principe de « cohérence« , comme l’a annoncé Marion Maréchal-Le Pen le 17 mars dans Le Journal du dimanche.

Problème, le journaliste lui fait remarquer que, quatre jours plus tôt, Florian Philippot s’est montré bien plus frileux sur cette motion de censure. Invité du Talk Orange Le Figaro le numéro 2 frontiste s’était lancé dans un « ni oui ni non » plutôt défavorable :

On n’est pas en accord avec le gouvernement mais on n’est pas non plus en accord avec l’UMP.

Alors, abstention ? « On verra« , avait simplement répondu Florian Philippot.

Une hésitation qui suffit pourtant à Gilbert Collard pour le remettre à sa place sur l’air du « ce n’est qu’un vice-président parmi d’autres »:

Je m’excuse mais ce n’est pas à lui de donner des consignes, c’est à Marine.  (…) De toutes manières j’ai ma liberté et je voterai cette motion de censure.

Ce n’est pas au vice-président – qui sont très nombreux du reste au Front– d’avoir à se prononcer sur cette question.

Le député-avocat poursuit en soulignant qu’il s’agit d’une « affaire d’intelligence » :

C’est une affaire de cohérence, d’intelligence des choses. (…) Une affaire d’honnêteté politique. La cohérence est de voter la motion de censure car on est contre la politique de ce gouvernement.

La veille, Marion Maréchal-Le Pen avait argumenté dans le même sens sur BFMTV :

Ce ne serait pas lisible pour nos électeurs de ne pas la voter.(SIC)


19 mars 1946 : assassinat du nationaliste Marcel Bucard



    Marcel Bucard, avait été arrêté par les gaullistes en mai 1945. Après une parodie de procès, ce héros des deux Guerres mondiales, qui n’avait souhaité que la réconciliation nationale et la grandeur de la France est condamné à mort le 21 février 1946.
   Le  19 mars 1946, Marcel Bucard est conduit devant le peloton d’exécution, au fort de Châtillon, près de Paris.
Face au poteau, il retire tranquillement sont pardessus et son veston. Il se présente avec sa chemise bleue sans ses décorations. Il se déchausse et va vers la mort pieds nus, comme les martyrs, puis il récite son chapelet avec l’aumônier ; refuse le bandeau et une fois attaché, il s’écrie « Qui vive ? France ! ». Au crépitement de la salve on l’entend prononcer les dernières paroles du Christ: «In manus tuas, Domine, commendo spiritum meum».
A 10h35, deux coups de grâce retentissent. Ainsi tombe héroïquement Marcel Bucard chef du Francisme, sous les balles Française après avoir survécu valeureusement lors de la grande guerre et de la campagne de 1940 aux attaques et blessures allemandes.
   Comme on refusa à sa famille que son corps soit déposé dans le caveau familial, Marcel Bucard repose maintenant au cimetière Parisien de Thiais, dans le département du Val-de-Marne.
   Aujourd’hui le Francisme et sa doctrine persistent au travers du mouvement de l’Œuvre française, dirigé par M. Yvan Benedetti et créé par M. Pierre Sidos, lui-même fils d’un cadre Franciste et ancien des Jeunesses du Francisme.

19 mars 1908 : naissance de Saint Loup

« Nous avons fait notre devoir de nationalistes, d’Européens et de révolutionnaires. »

                                                                                                        Saint Loup


 

Marc Augier né le 19 mars 1908 à Bordeaux.

Après son bac, il suit des études de droit à l’université de Bordeaux. Parallèlement, il apprendre à piloter. Il effectuera ainsi une vingtaine de vols avant un atterrissage en catastrophe suite à une panne de carburant. Il se passionne également pour la moto, créant en 1928 le moto-club de Bordeaux. Il abandonne alors ses études pour se consacrer à sa passion : Dunkerque-Perpignan en moins de 24 heures, rallye de Monte-Carlo, raid Paris-Athènes, traversée de l’Atlas marocain, etc. Il découvre en parallèle l’alpinisme et la montagne.


Grand sportif, skieur et alpiniste, il s’illustre dans les années 1930 par des expéditions en montagne et en Laponie.  


Il est l’un des co-fondateurs et responsables des Auberges de la jeunesse en France. Il entre en 1936 dans le cabinet de Léo Lagrange, sous-secrétaire d’État aux Sports dans le gouvernement du Front populaire.


C’est lors d’un voyage à New York, pour le Congrès mondial de la jeunesse de 1938, que s’amorce la transformation politique de Marc Augier. Il est Stupéfié par l’hostilité déclarée à l’égard de l’Allemagne et des accusations mensongères portées contre elle et ses alliés. A contrario, il est charmé par l’Allemagne lors d’un voyage effectué en 1939, ce sympathisant socialiste, journaliste à La Dépêche du Midi et à Sciences et voyages, passe au national-socialisme après la lecture du livre La Gerbe des forces, d’Alphonse de Châteaubriant, juste avant la guerre.


Le national-socialisme apparaît à Augier comme le retour des peuples européens et l’unité raciale.  


Voyageant en Grèce lorsque la guerre éclate, ce pacifiste pourrait se tenir à l’écart du conflit. Il choisit pourtant de rentrer en France.


 

Durant l’Occupation, Marc Augier dirige le mouvement Jeunes pour l’Europe nouvelle, l’organe de jeunesse du Groupe Collaboration, et devient rédacteur en chef de l’hebdomadaire collaborateur La Gerbe, dont le directeur de publication est Alphonse de Châteaubriant.


A nouveau déçu par la politique et ses intrigues, il quitte Paris pour répondre à l’appel de la montagne, et rencontre les membres des Chantiers de jeunesse, dont il s’inspirera pour Face Nord: « Une minute de paix, c’est toujours bon à prendre… »


Intégrant le Bureau politique du Parti populaire français (PPF) de Jacques Doriot, il suit ensuite la LVF, en juillet 1942.

Dans son ouvrage Les Partisans, le sergent Augier raconte en effet ses propres faits d’armes. Correspondant de guerre pour La Gerbe, il combat le bolchevisme en participant à des « commandos de chasse » contre les partisans russes. Après plusieurs opérations, c’est la blessure et le rapatriement ; pour lui, la guerre sur le front russe est terminée. Qu’à cela ne tienne, il servira autrement!

Rapidement, il prend en charge la conception du Combattant européen, organe de la LVF.


Il retourne en Allemagne en 1944 auprès de la Waffen-SS française sur le front de l’est, en tant que correspondant de presse attitré. À la fin de la guerre, il transite par le centre de formation de l’Allgemeine-SS allemande à Hildesheim ; il est également responsable de la publication Devenir, organe officiel de la Waffen SS française. Il est en avril 1945 en Italie.


Il est condamné à mort par contumace le 15 novembre 1948.


Clandestin après 1945, sans argent, sans papiers, sans logement, et sans épouse puisqu’il a divorcé, il est caché par des moines rue de la Source. Il publie un roman, Edité chez Arthaud, Face Nord sous le pseudonyme de M-A de Saint-Loup, afin de payer son voyage pour l’Argentine, via le Brésil.

Là-bas, il est professeur de ski pour Eva Perón et instructeur dans l’armée argentine, avec le grade de Colonel.


L’exilé rentre en en Italie en 1950, au Val d’Aoste  et profitant de l’amnistie de 1951, il revient en France le 15 mai 1953. Il publie un roman, La Nuit commence au Cap Horn, qui manque de lui valoir le prix Goncourt avant que l’identité de l’auteur ne soit révélée par Le Figaro Littéraire ; parmi les jurés, seule Colette ne rétractera pas son vote suite à la polémique.


Saint-Loup poursuit ensuite une carrière d’écrivain et de journaliste, publiant plusieurs livres consacrés à la LVF (Les Volontaires, 1963) et à la Waffen SS française (Les Hérétiques, Les Nostalgiques) ou belge (Les SS de la Toison d’or). Son œuvre est marquée par la recherche de l’aventure et du dépassement de soi ainsi que par l’hostilité à la philosophie ‘’judéo-chrétienne’’. Il se fait aussi le chantre des « patries charnelles » en publiant divers romans consacrés aux mouvements régionalistes et à la survie de l’homme en milieu sauvage.

La tentative de censure des Volontaires échoue, malgré près de 60 plaintes contre le livre. Le PC, la Lica (ancêtre de la Licra) etc…, ces différentes officines accuseront le livre d’apologie de la trahison et de crimes de guerre !


Grand amateur de moto, il s’intéresse également aux véhicules motorisés en publiant notamment des biographies des constructeurs automobiles Louis Renault et Marius Berliet et sur les Dix millions de Coccinelles.


Son dernier roman, La République du Mont-Blanc,  qui est une sorte de remise a jour  de son roman : La peau de l’aurochs (Plon, 1954), synthétise ses thèmes de prédilection en dépeignant la survie, en pleine montagne, d’une communauté de Savoyards fuyant le «métissage» et la «décadence».


Saint-Loup passa les dernières années de son existence dans le village dauphinois de Vif. Sur les hauteurs du village ont été exhumés au tout début du siècle des vestiges, parmi lesquels la tombe connue sous le nom de Saint-Loup !!!


Très affecté par la mort de sa fille quelque mois auparavant, il s’éteint le 16 décembre 1990 à Paris.


Honneur et Fidélité, Dépassement de soi et goût de l’aventure, enracinement et identité constituent les grands enseignements de Saint-Loup.


Le 20 avril 1991 à la Maison des Mines à Paris, des milices juives  agressent les participants d’une conférence sur l’écrivain organisée par l’association Les Amis de Saint-Loup, agression dont Libération du 22 avril 1991 sous la signature d’Alain Léauthier se félicita.

Une femme de 71 ans succombera à ses blessures après un coma et un court réveil.




Superbe étude en français consacré à Saint Loup par un auteur Sud-africain

- Nos actes nous suivent par Myron Kok, auto-édition, 2010, 207 pages.

Sous-titrée : l’idée de l’ethnie et la philosophie nietzschéenne dans le Roman historique de Saint Loup.


Disponible pour 24 euros port compris, auprès du

Cercle   -    BP 92733  -  21027 Dijon Cedex




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