SOUS TOUTES RESERVES
Génération Philippot
Jeudi 28 mars 2013 : Journée de mobilisation pour la défense des libertés publiques
Journée de mobilisation pour la défense des libertés publiques à l’appel du CLAN
13h30
Procès d’Yvan BENEDETTI devant la 10ème chambre suite à la manifestation interdite des Jeunesses Nationalistes à Paris le 29 septembre 2012
Rdv TGI de Paris 4 bvd du Palais Paris 1er
20h30
Réunion publique avec
Yvan BENEDETTI président de l’OEuvre française
Pierre-Marie BONNEAU Avocat
Jérome BOURBON directeur de Rivarol
Alexandre GABRIAC président des Jeunesses Nationalistes
Laura LUSSAUD présidente du CLAN
Pierre SIDOS, fondateur de l’œuvre française
Espace Dubail 18 passage Dubail Paris 10ème
Métro: Gare de l’Est
Comité de Liaison et d’Aide Nationaliste
Contact: 07 81 23 11 23
21 mars 1899 : naissance de Jean Fontenoy
Jean Fontenoy est né à Fontainebleau le 21 mars 1899.
Il
s’engage pour quatre ans le 21 mars 1918, le jour de ses 18 ans, en tant
que lieutenant de cavalerie d’artillerie à cheval, suivant ainsi son
ami, le philosophe Brice Parain, communiste. Démobilisé, il apprend le russe et traduit Tolstoï.
En 1924, il est le correspondant de l’agence Havas à Moscou, qu’il fonde avant d’être envoyé en Chine en 1927, où il fonde le Journal de Shanghaï (on vera dans un album de tintin). Il suit notamment le général Tchang Kaï-Chek dans ses campagnes.
Il devient antistalinien, on l’accuse d’être venu à Moscou comme espion. Il est alors renvoyé d’Havas.
Revenu en France en 1934, il devient écrivain et journaliste. Il entre à La Nouvelle Revue française.
Parallèlement, il s’inscrit au Parti populaire français de Jacques Doriot. Puis il se rapproche des réseaux de Pierre Drieu la Rochelle, dont le comité « Allemagne-France » présidé par Otto Abetz, et écrit dans des journaux allemands.
En janvier 1940, pendant la guerre russo-finlandaise, il s’engage dans l’armée finlandaise. Blessé au front, il rentre à Paris.
Collaborationniste convaincu, il joue les intermédiaires entre le chef du gouvernement Pierre Laval et l’Allemand Otto Abetz, ambassadeur en France, qu’il connaît bien. Dans l’orbite d’Eugène Deloncle, le fondateur de La Cagoule, il participe à la fin de l’année 1940, à la création du « Mouvement Social Révolutionnaire » qui fusionnera avec le « Rassemblement national populaire » en février 1941. Il est alors un des cinq membres du Comité directeur du nouveau parti.
Lieutenant de la Légion des volontaires français, la LVF,
il est envoyé sur le Front à l’Est en octobre 1941, avant de revenir à
Paris où il redevient journaliste pour Je suis partout et pour
l’hebdomadaire Révolution nationale qu’il dirigea un temps.
En 1942,
il est nommé chargé de mission par Laval en Allemagne, puis en décembre
1943, directeur général adjoint de l’ »Office français d’information ».
Devant la défaite du national-socialisme, il se suicide à Berlin le 28 avril 1945 en avalant une dose de cyanure.
En février 1941 Libération, « Organe des Français libres », consacre sa chronique « Nos Têtes de traîtres » à Jean Fontenoy .
En France il y aurait… 5 500 généraux!
Bratislava : les nationalistes célèbrent la création de l’Etat Slovaque
Samedi dernier (16 mars 2013) a eu
lieu une manifestation à Bratislava qui a marqué la mise en place il y a
74 ans de la première indépendance de l’Etat slovaque (protectorat
allemand).
Cette formation de l’Etat a duré
seulement entre 1939 et 1945. La Tchécoslovaquie a été reconstituée
après le dénouement de la seconde guerre mondiale, la Slovaquie ne
réapparaissant sur les cartes de l’Europe en tant qu’Etat indépendant
qu’à partir de 1993 Plus de 300 participants à l’action organisée par
l’association Communauté slovaque ont dénoncé l’Union européenne et le catalogue droit de l’euro « une monnaie d’occupation ».
A la marche a participé une délégation de nationalistes tchèques de l’organisation des jeunes du Parti des travailleurs pour la justice sociale (Partidului Muncitoresc pentru Dreptate Socială). Étaient également présents quelques nationalistes autonomes de Pologne.
Après la manifestation, les nationalistes ont marché jusqu’au cimetière où est enterré Mgr Jozef Tiso (1er président de la république Slovaque du 26 octobre 1939 au 3 avril 1945), pour un dépôt de gerbes de fleurs. Ont été prononcées des prières et un moment de silence a été respecté.
Source : FrontPress.ro [Traduit du roumain en français]
L’industrie pornographique, une instigation juive ?
Le site Propagandes.info est de retour
Gilbert Collard remet Florian Philippot à sa place
En
cause, la motion de censure déposée par l’UMP contre le gouvernement et
initiée par Jean-François Copé. Motion pour laquelle voteront les deux
députés Rassemblement bleu marine au nom du principe de « cohérence« , comme l’a annoncé Marion Maréchal-Le Pen le 17 mars dans Le Journal du dimanche.
Problème,
le journaliste lui fait remarquer que, quatre jours plus tôt, Florian
Philippot s’est montré bien plus frileux sur cette motion de censure.
Invité du Talk Orange Le Figaro le numéro 2 frontiste s’était lancé dans un « ni oui ni non » plutôt défavorable :
On n’est pas en accord avec le gouvernement mais on n’est pas non plus en accord avec l’UMP.
Alors, abstention ? « On verra« , avait simplement répondu Florian Philippot.
Une
hésitation qui suffit pourtant à Gilbert Collard pour le remettre à sa
place sur l’air du « ce n’est qu’un vice-président parmi d’autres »:
Je m’excuse mais ce n’est pas à lui de donner des consignes, c’est à Marine. (…) De toutes manières j’ai ma liberté et je voterai cette motion de censure.
Ce n’est pas au vice-président – qui sont très nombreux du reste au Front– d’avoir à se prononcer sur cette question.
Le député-avocat poursuit en soulignant qu’il s’agit d’une « affaire d’intelligence » :
C’est une affaire de cohérence, d’intelligence des choses. (…) Une affaire d’honnêteté politique. La cohérence est de voter la motion de censure car on est contre la politique de ce gouvernement.
La veille, Marion Maréchal-Le Pen avait argumenté dans le même sens sur BFMTV :
Ce ne serait pas lisible pour nos électeurs de ne pas la voter.(SIC)
19 mars 1946 : assassinat du nationaliste Marcel Bucard
19 mars 1908 : naissance de Saint Loup
« Nous avons fait notre devoir de nationalistes, d’Européens et de révolutionnaires. »
Saint Loup
Marc Augier né le 19 mars 1908 à Bordeaux.
Après son
bac, il suit des études de droit à l’université de Bordeaux.
Parallèlement, il apprendre à piloter. Il effectuera ainsi une vingtaine
de vols avant un atterrissage en catastrophe suite à une panne de
carburant. Il se passionne également pour la moto, créant en 1928 le
moto-club de Bordeaux. Il abandonne alors ses études pour se consacrer à
sa passion : Dunkerque-Perpignan en moins de 24 heures, rallye de
Monte-Carlo, raid Paris-Athènes, traversée de l’Atlas marocain, etc. Il
découvre en parallèle l’alpinisme et la montagne.
Grand sportif, skieur et alpiniste, il s’illustre dans les années 1930 par des expéditions en montagne et en Laponie.
Il est l’un des co-fondateurs et responsables des Auberges de la jeunesse en France. Il entre en 1936 dans le cabinet de Léo Lagrange, sous-secrétaire d’État aux Sports dans le gouvernement du Front populaire.
C’est
lors d’un voyage à New York, pour le Congrès mondial de la jeunesse de
1938, que s’amorce la transformation politique de Marc Augier. Il
est Stupéfié par l’hostilité déclarée à l’égard de l’Allemagne et des
accusations mensongères portées contre elle et ses alliés. A contrario, il est charmé par l’Allemagne lors d’un voyage effectué en 1939, ce sympathisant socialiste, journaliste à La Dépêche du Midi et à Sciences et voyages, passe au national-socialisme après la lecture du livre La Gerbe des forces, d’Alphonse de Châteaubriant, juste avant la guerre.
Le national-socialisme apparaît à Augier comme le retour des peuples européens et l’unité raciale.
Voyageant en Grèce lorsque la guerre éclate, ce pacifiste pourrait se tenir à l’écart du conflit. Il choisit pourtant de rentrer en France.
Durant l’Occupation, Marc Augier dirige le mouvement Jeunes pour l’Europe nouvelle, l’organe de jeunesse du Groupe Collaboration, et devient rédacteur en chef de l’hebdomadaire collaborateur La Gerbe, dont le directeur de publication est Alphonse de Châteaubriant.
A nouveau
déçu par la politique et ses intrigues, il quitte Paris pour répondre à
l’appel de la montagne, et rencontre les membres des Chantiers de
jeunesse, dont il s’inspirera pour Face Nord: « Une minute de paix,
c’est toujours bon à prendre… »
Intégrant le Bureau politique du Parti populaire français (PPF) de Jacques Doriot, il suit ensuite la LVF, en juillet 1942.
Dans
son ouvrage Les Partisans, le sergent Augier raconte en effet ses
propres faits d’armes. Correspondant de guerre pour La Gerbe, il combat
le bolchevisme en participant à des « commandos de chasse » contre les
partisans russes. Après plusieurs opérations, c’est la blessure et le
rapatriement ; pour lui, la guerre sur le front russe est terminée. Qu’à
cela ne tienne, il servira autrement!
Rapidement, il prend en charge la conception du Combattant européen, organe de la LVF.
Il retourne en Allemagne en 1944 auprès de la Waffen-SS
française sur le front de l’est, en tant que correspondant de presse
attitré. À la fin de la guerre, il transite par le centre de formation
de l’Allgemeine-SS allemande à Hildesheim ; il est également responsable de la publication Devenir, organe officiel de la Waffen SS française. Il est en avril 1945 en Italie.
Il est condamné à mort par contumace le 15 novembre 1948.
Clandestin
après 1945, sans argent, sans papiers, sans logement, et sans épouse
puisqu’il a divorcé, il est caché par des moines rue de la Source. Il
publie un roman, Edité chez Arthaud, Face Nord sous le pseudonyme de M-A de Saint-Loup, afin de payer son voyage pour l’Argentine, via le Brésil.
Là-bas, il est professeur de ski pour Eva Perón et instructeur dans l’armée argentine, avec le grade de Colonel.
L’exilé
rentre en en Italie en 1950, au Val d’Aoste et profitant de l’amnistie
de 1951, il revient en France le 15 mai 1953. Il publie un roman, La Nuit commence au Cap Horn, qui manque de lui valoir le prix Goncourt avant que l’identité de l’auteur ne soit révélée par Le Figaro Littéraire ; parmi les jurés, seule Colette ne rétractera pas son vote suite à la polémique.
Saint-Loup poursuit ensuite une carrière d’écrivain et de journaliste, publiant plusieurs livres consacrés à la LVF (Les Volontaires, 1963) et à la Waffen SS française (Les Hérétiques, Les Nostalgiques) ou belge (Les SS de la Toison d’or).
Son œuvre est marquée par la recherche de l’aventure et du dépassement
de soi ainsi que par l’hostilité à la philosophie ‘’judéo-chrétienne’’.
Il se fait aussi le chantre des « patries charnelles » en publiant
divers romans consacrés aux mouvements régionalistes et à la survie de
l’homme en milieu sauvage.
La tentative de censure des Volontaires
échoue, malgré près de 60 plaintes contre le livre. Le PC, la Lica
(ancêtre de la Licra) etc…, ces différentes officines accuseront le
livre d’apologie de la trahison et de crimes de guerre !
Grand amateur de moto, il s’intéresse également aux véhicules motorisés en publiant notamment des biographies des constructeurs automobiles Louis Renault et Marius Berliet et sur les Dix millions de Coccinelles.
Son dernier roman, La République du Mont-Blanc, qui est une sorte de remise a jour de son roman : La peau de l’aurochs
(Plon, 1954), synthétise ses thèmes de prédilection en dépeignant la
survie, en pleine montagne, d’une communauté de Savoyards fuyant le
«métissage» et la «décadence».
Saint-Loup
passa les dernières années de son existence dans le village dauphinois
de Vif. Sur les hauteurs du village ont été exhumés au tout début du
siècle des vestiges, parmi lesquels la tombe connue sous le nom de
Saint-Loup !!!
Très affecté par la mort de sa fille quelque mois auparavant, il s’éteint le 16 décembre 1990 à Paris.
Honneur
et Fidélité, Dépassement de soi et goût de l’aventure, enracinement et
identité constituent les grands enseignements de Saint-Loup.
Le 20 avril 1991 à la Maison des Mines à Paris, des milices juives agressent les participants d’une conférence sur l’écrivain organisée par l’association Les Amis de Saint-Loup, agression dont Libération du 22 avril 1991 sous la signature d’Alain Léauthier se félicita.
Une femme de 71 ans succombera à ses blessures après un coma et un court réveil.
Superbe étude en français consacré à Saint Loup par un auteur Sud-africain
- Nos actes nous suivent par Myron Kok, auto-édition, 2010, 207 pages.
Sous-titrée : l’idée de l’ethnie et la philosophie nietzschéenne dans le Roman historique de Saint Loup.
Disponible pour 24 euros port compris, auprès du
Cercle - BP 92733 - 21027 Dijon Cedex