SI LES INDIENS (DE L'INDE) ...ET LES PAKISTANAIS, SONT DES "ARYENS", ALORS J'ESPERE APPARTENIR A N'IMPORTE QUELLE AUTRE "ETHNIE", -MAIS NE PAS ETRE "ARYEN" !
Alexandre le Grand et le mélange des races
Publié le 08/03/2013
par konigsberg
Note de l'éditeur: (via Flawlesslogic)
Dans
le film navet -- «Alexander», du réalisateur Oliver Stone, Alexandre le
Grand est trompeusement décrit comme un partisan du métissage...
La
première femme d'Alexandre, Roxane, la fille d'Oxyartes, un noble de
Sogdiane -- dans ce qui est maintenant le nord de l'Afghanistan --, est
jouée par Rosario Dawson, une mulâtre, alors qu'en fait elle était une
aryenne comme Alexandre lui-même. Savitri Devi avait une vision
spectaculairement différente d'Alexandre. Elle contestait l'affirmation
selon laquelle Alexandre aurait été un partisan du métissage et le
considérait au contraire comme un précurseur du nationalisme racial
blanc.
--R.G. Fowler
Aux
yeux de quiconque étudie l'histoire à la lumière de la Vérité cosmique,
le Quatrième Siècle avant le Christ -- le début de la période
hellénistique dans les annales du Proche Orient, qui sont inséparables
de celles de la Rome impériale et de l'Occident chrétien -- devrait être
considéré comme le début de la dernière partie de l'actuel Age Obscur,
de la fin duquel nous approchons maintenant.
.
.
Le
déclin accéléré s'était, sans aucun doute, déjà installé parmi le monde
grec (comme ailleurs) avant la fondation d'Alexandrie. Il s'était
installé, et était en train de se répandre -- un sinistre signe des
temps.
Mais la confusion qui commença en 323 av. JC -- après la mort soudaine d'Alexandre -- lui donna un nouvel élan (largement contre l'esprit et les intentions du Conquérant).
Mais la confusion qui commença en 323 av. JC -- après la mort soudaine d'Alexandre -- lui donna un nouvel élan (largement contre l'esprit et les intentions du Conquérant).
Ce
dernier avait compris, mieux que tout autre de ses contemporains les
plus larges d'esprit, la nécessité de transcender ce patriotisme
strictement hellénique -- fût-il pan-hellénique -- cette distinction radicale entre Grec et non-Grec exprimée par les mots: Pas men Hellen Barbaros
[«Quiconque n'est pas un Grec est un Barbare»].
Cependant, loin de
donner l'exemple d'un tel internationalisme, que beaucoup d'idéologues
modernes aimeraient sans doute lui attribuer, il traça une ligne très
nette entre une catégorie de non-Grecs et les autres.
Il encouragea ses Macédoniens de sang pur à épouser des femmes perses
-- des Aryennes comme eux, parlant simplement une langue différente et
ayant des coutumes différentes -- mais, très significativement, pas des femmes d'autres races. Et ses deux propres femmes étrangères furent de sang aryen.
En
d'autres mots, qu'il ait agi de cette manière en pleine et claire
conscience, ou par une vague intuition -- une intuition de génie, si
vague qu'elle ait pu être --, il semble avoir été, dans notre Age Obscur
bien avancé, l'un des premiers grands précurseurs du véritable
racialisme, en opposition avec l'étroit patriotisme d'Etat, un champion
pratique de l'idée que la similitude raciale devrait aider à briser les
barrières artificielles entre les peuples, étant de plus, telle qu'elle
est, la seule réalité au nom de laquelle la suppression de barrières si longtemps acceptées est justifiée.
On
ne devrait pas le rendre responsable des choquants mélanges de sang qui
eurent lieu dans tout le Proche Orient à un niveau encore inégalé, après lui.
C'était fatal -- comme je l'ai dit: un signe des temps.
Et la
conséquence d'une attitude anthropocentrée devant la vie, attitude en
expansion rapide, pour la généralisation de laquelle les Juifs de langue
grecque de tous les centres de commerce et de culture importants du
monde hellénique, particulièrement d'Alexandrie, portent la plus lourde
responsabilité.(ndlr: Ceux-là même qui rédigèrent les "midrashim" appelés "Evangiles", apochryphes ...et canoniques JPPS)
(Distinct from this general kind of Midrashim are those called homiletical, or Hagadic, which embrace the interpretation, illustration, or expansion, in a moralizing or edifying manner, of the non-legal portions of the Hebrew Bible.)
Alexandre ... le roi de sang nordique, devait venir et vaincre Darius pour reprendre son titre de «roi des rois de la race aryenne». Chaque combat était pour lui un devoir, et chaque énigme un combat. Pour remporter un combat, on a besoin d'une arme. | Alexandre prit son épée ... et trancha résolument le lien. Alors il démêla la masse confuse du monde de Midas et devint le maître du monde. Le sang qui coulait dans ses veines lui avait indiqué la voie juste. (Otto Rahn) |
Alexandre
est venu, qui a renoué le lien solaire unissant autrefois les montagnes
de Macédoine aux plaines de l'Indus. Le grand conquérant a tenté de
rassembler des frères dispersés. (Jean Mabire)
|
Edité par R.G. Fowler à partir du livre de Savitri Devi: The Lightning and the Sun
(Calcutta: Savitri Devi Mukherji, 1958), chap. 14, «Des dieux sur
Terre», pp. 363-4. Le titre et la plupart des sauts de paragraphe ont
été introduits par l'éditeur.
La Roue Solaire le symbole de Philippe II de Macédoine, son père
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