lundi 11 mars 2013

SI LES INDIENS (DE L'INDE) ...ET LES PAKISTANAIS, SONT DES "ARYENS", ALORS J'ESPERE APPARTENIR A N'IMPORTE QUELLE AUTRE "ETHNIE", -MAIS NE PAS ETRE "ARYEN" !

Alexandre le Grand et le mélange des races


Publié le 08/03/2013
par konigsberg






Note de l'éditeur: (via Flawlesslogic)

Dans le film navet -- «Alexander», du réalisateur Oliver Stone, Alexandre le Grand est trompeusement décrit comme un partisan du métissage...

La première femme d'Alexandre, Roxane, la fille d'Oxyartes, un noble de Sogdiane -- dans ce qui est maintenant le nord de l'Afghanistan --, est jouée par Rosario Dawson, une mulâtre, alors qu'en fait elle était une aryenne comme Alexandre lui-même. Savitri Devi avait une vision spectaculairement différente d'Alexandre. Elle contestait l'affirmation selon laquelle Alexandre aurait été un partisan du métissage et le considérait au contraire comme un précurseur du nationalisme racial blanc.


--R.G. Fowler

Aux yeux de quiconque étudie l'histoire à la lumière de la Vérité cosmique, le Quatrième Siècle avant le Christ -- le début de la période hellénistique dans les annales du Proche Orient, qui sont inséparables de celles de la Rome impériale et de l'Occident chrétien -- devrait être considéré comme le début de la dernière partie de l'actuel Age Obscur, de la fin duquel nous approchons maintenant.



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Le déclin accéléré s'était, sans aucun doute, déjà installé parmi le monde grec (comme ailleurs) avant la fondation d'Alexandrie. Il s'était installé, et était en train de se répandre -- un sinistre signe des temps.

Mais la confusion qui commença en 323 av. JC -- après la mort soudaine d'Alexandre -- lui donna un nouvel élan (largement contre l'esprit et les intentions du Conquérant).








Ce dernier avait compris, mieux que tout autre de ses contemporains les plus larges d'esprit, la nécessité de transcender ce patriotisme strictement hellénique -- fût-il pan-hellénique -- cette distinction radicale entre Grec et non-Grec exprimée par les mots: Pas men Hellen Barbaros [«Quiconque n'est pas un Grec est un Barbare»]. 

Cependant, loin de donner l'exemple d'un tel internationalisme, que beaucoup d'idéologues modernes aimeraient sans doute lui attribuer, il traça une ligne très nette entre une catégorie de non-Grecs et les autres.


Il encouragea ses Macédoniens de sang pur à épouser des femmes perses -- des Aryennes comme eux, parlant simplement une langue différente et ayant des coutumes différentes -- mais, très significativement, pas des femmes d'autres races. Et ses deux propres femmes étrangères furent de sang aryen.








En d'autres mots, qu'il ait agi de cette manière en pleine et claire conscience, ou par une vague intuition -- une intuition de génie, si vague qu'elle ait pu être --, il semble avoir été, dans notre Age Obscur bien avancé, l'un des premiers grands précurseurs du véritable racialisme, en opposition avec l'étroit patriotisme d'Etat, un champion pratique de l'idée que la similitude raciale devrait aider à briser les barrières artificielles entre les peuples, étant de plus, telle qu'elle est, la seule réalité au nom de laquelle la suppression de barrières si longtemps acceptées est justifiée.


On ne devrait pas le rendre responsable des choquants mélanges de sang qui eurent lieu dans tout le Proche Orient à un niveau encore inégalé, après lui. C'était fatal -- comme je l'ai dit: un signe des temps.

 Et la conséquence d'une attitude anthropocentrée devant la vie, attitude en expansion rapide, pour la généralisation de laquelle les Juifs de langue grecque de tous les centres de commerce et de culture importants du monde hellénique, particulièrement d'Alexandrie, portent la plus lourde responsabilité.(ndlr: Ceux-là même qui rédigèrent les "midrashim" appelés "Evangiles", apochryphes ...et canoniques JPPS)



(Distinct from this general kind of Midrashim are those called homiletical, or Hagadic, which embrace the interpretation, illustration, or expansion, in a moralizing or edifying manner, of the non-legal portions of the Hebrew Bible.)


(Pakistani "rage boy")
 



Alexandre ... le roi de sang nordique, devait venir et vaincre Darius pour reprendre son titre de «roi des rois de la race aryenne». Chaque combat était pour lui un devoir, et chaque énigme un combat. Pour remporter un combat, on a besoin d'une arme. Alexandre prit son épée ... et trancha résolument le lien. Alors il démêla la masse confuse du monde de Midas et devint le maître du monde. Le sang qui coulait dans ses veines lui avait indiqué la voie juste. (Otto Rahn) 
Alexandre est venu, qui a renoué le lien solaire unissant autrefois les montagnes de Macédoine aux plaines de l'Indus. Le grand conquérant a tenté de rassembler des frères dispersés. (Jean Mabire)

Edité par R.G. Fowler à partir du livre de Savitri Devi: The Lightning and the Sun (Calcutta: Savitri Devi Mukherji, 1958), chap. 14, «Des dieux sur Terre», pp. 363-4. Le titre et la plupart des sauts de paragraphe ont été introduits par l'éditeur.




La Roue Solaire le symbole de Philippe II de Macédoine, son père

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