mardi 5 mars 2013

PRIONS, MES FRERES, POUR QUE CET ABRUTI D'ANDRE VINGT-TROIS NE SOIT PAS ELU !

Quand le cardinal Vingt-Trois parasite le travail de Rome


Posted on
Je découvre sur ce blog canadien la mise en opposition du cardinal Tuckson, qui avait présenté un film sur la réalité de l’islam lors du dernier synode à Rome, et le cardinal Vingt-Trois, qui avait critiqué ce film :

« Le cardinal Peter Tuckson a, lors du dernier Synode sur l’évangélisation, présenté une vidéo sur l’islamisation de l’Europe. 

Il l’avait précédemment projeté à Milan lors du rassemblement des Familles (1000 personnes) en juin 2012 où elle ne suscita pas de polémiques. Il eut le courage de la présenter devant les Pères synodaux à Rome.

 Ce fut un rugissement et une colère non feinte du cardinal André Vingt-Trois, l’archevêque de Paris. Il était furax et n’acceptait pas qu’elle ait été projetée à plusieurs des pères synodaux.
 En effet, la vidéo donne une vision non édulcorée, mais réaliste de l’islam.
 Sur ce point, il ne put réfuter ce qu’avait rapporté le cardinal Tuckson. Son but était de présenter des faits avérés que personne, estimait-il, ne devait ignorer. Il y a une réelle menace pour l’Europe et le cardinal Tuckson et plusieurs évêques africains présents confirmeront l’avancée conquérante de l’Islam en Afrique. Le cardinal Peter Tuckson ne lança pas une croisade contre l’Islam.

 Ce qui n’empêcha pas Mgr Vingt-Trois de fulminer. Curieux il nous rappelle le Premier ministre de Grande-Bretagne qui descendant de l’avion tendit le feuillet des Accords de Munich signé par Adolphe H en 1938. 

 Mgr Vingt-Trois parle de la Paix que partagerait aussi l’Islam, comme son compatriote le cardinal Jean-Louis Tauran. Il nie que les musulmans aient pour projet d’envahir l’Europe. De la Takya (le mensonge permit par Mohamad) il se garde de commenter. »

Le cardinal Vingt-Trois (on se souvient de ses rapports très tendus avec le Souverain Pontife) est un sapeur. Il sape la travail effectué par les autres. J’ai déjà mentionné son refus de suivre Benoît XVI dans sa réconciliation avec les traditionalistes, que ce soit à travers le motu proprio Summorum Pontificum ou avec le dialogue avec la Fraternité Saint-Pie X.

Il est un autre domaine, dans lequel son influence s’est avérée négative. 
C’est avec l’Eglise orthodoxe. 
Nous savons que Benoît XVI et le patriarche de Moscou entretenaient de bons rapports, qui ont permis à l’unité de l’Eglise de faire des pas de géants. Mais s’il n’y avait pas eu le parasitage de l’archevêque de Paris, ces pas auraient été sans doute plus grands et Benoît XVI et Cyrille Ier se seraient certainement rencontrés officiellement. Le cardinal Vingt-Trois a effectué de nombreux déplacements en Russie auprès du patriarcat de Moscou, et a tissé des liens étroits avec le Métropolite Hilarion.

 C’est ainsi qu’en novembre 2009, a été inauguré en région parisienne le premier séminaire orthodoxe d’Occident, en région parisienne, dans l’ancien couvent des Sœurs auxiliatrices (catholiques) à Épinay-sous-Sénart (Essonne). Inauguration en présence de l’évêque Hilarion de Volokolamsk, responsable des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, et du cardinal André Vingt-Trois. En août 2011, ces locaux, qui appartenaient à des religieuses catholiques, ont été rachetées par les orthodoxes.

Derrière ces facilités (qui seraient impensables à l’égard d’un institut catholique… traditionaliste ou pas !), c’est la conception, selon le cardinal-archevêque de Paris, d’Église autocéphale (en France, nous disons gallicane), indépendante de Rome.  En solitaire, son action de rapprochement et de négociations avec Moscou, s’est  démarquée des négociations officielles menées par Rome. 

Pour parasiter des discussions, il n’y a pas mieux. Aussi, l’année dernière, le patriarcat de Moscou, pourtant mieux disposé que son prédécesseur Alexis II, a effectué une manoeuvre de recul concernant la primauté de Pierre, alors qu’une reconnaissance avait été avancée par l’Église de Moscou. 

Il restait en effet à peaufiner quelques aménagements sur la primauté de Pierre (Benoît XVI y avait personnellement contribué avec une nouvelle proposition qui avait été bien reçue par le Patriarcat) et il demeurait à régler le contentieux le plus sensible : la question de l’Église ukrainienne (les Uniates).

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Aucun commentaire: