mardi 5 mars 2013

DJEBEL BARBOUZE : IDOLE DE LA RACAILLE DU 7-8

Debbouze, les Gaulois t’emmerdent !

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Haut fonctionnaire.

« Ils sont moches, les gens de Montbéliard » 
(Jamel Debbouze, le 20 décembre)


Un footballeur hydrocéphale et hargneux. Un « humoriste » aux connaissances historiques confirmées et à la moralité irréprochable. 
Nicolas Anelka et Jamel Debbouze sont les idoles de la jeunesse de Trappes.

Une jeunesse symbolisée par Kader, 17 ans, électroencéphalogramme plat, qui ne rêve que « de se faire de la tune » et de « pécho des meufs » ou par Fatou, 16 ans et 80 kilos bien tassés dans un jogging blanc du plus bel effet.

 Eh oui, à Trappes, il n’y a pas que des intellectuels ou des top-models, et le sabir local est davantage composé de borborygmes que de syntagmes. 

Manuel Valls aurait bien du mal à y trouver plus de « white » ou de « blancos » que dans sa bonne ville d’Evry. Et si on ajoute au niveau culturel, le bruit et l’od… STOP !

 Trop tard, les vigilants Rokhaya Diallo et Dominique Sopo viennent de me dénoncer à la justice et aux autorités morales : Boulevard Voltaire a encore fait péter le stigmatisomètre avec des propos nauséabonds qui visent à jeter l’opprobre sur une catégorie de Français, ceux issus des quartiers « populaires ».

Il va falloir s’y faire, les quartiers peuplés essentiellement par une population afro-musulmane sont désormais dénommés « populaires ».

Mais alors, comment nommer les cités ouvrières telles Forbach, Hénin-Beaumont ou Montbéliard ? 

Ah, mais, ça n’a rien à voir : résident dans ces trous paumés les petits blancs, les gaulois, les beaufs quoi. Ceux que l’Apollon Debbouze appelle « les moches »

Tous ces mangeurs de cochon, ces amateurs de gros rouge qui tache, ces ploucs qui préfèrent « Les Grosses têtes » aux comiques issus de l’immigration promus par Canal Plus ou un one-man show de Laurent Gerra à un spectacle de Sophia Aram… Beurk ! C’est la France du passé, Kader et Fatou sont notre avenir.

Par sa petite phrase prétendument anodine, Debbouze affiche ostensiblement un mépris de classe et un mépris de race que manifestent beaucoup plus insidieusement les professionnels patentés de l’indignation sélective et les représentants de la gauche morale.

Cette franchise maladroite est bien le seul mérite du rat de Trappes.

 le 30 décembre 2012

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