Maurice Martin, de son vrai nom, est né le 13 février 1920 à Marseille.
D’abord militant communiste, puis anarchiste, il combat dans les rangs des Brigades Internationales en Espagne.
Il s’engage à la Waffen-SS en 1943,
combat en Galicie au sein du peloton de pionniers.
Il demandera à passer
aux unités spéciales d’Otto Skorzenny.
De fait, il sera
un des rares français à avoir participé à la contre-offensive des
Ardennes au sein d’un kampfgruppe Skorzenny.
Au centre, Maurice Martin, à la caserne de Clignancourt, octobre 1943.
À son retour en France, il sera
condamné en 1948 à Lyon, à un an de prison.
Concernant cette période, il
reniera par la suite le culte du chef du national-socialisme sans jamais se départir de son racialisme: « Alors,
gardez bien votre conscience
de Français, d’Européens, de Blancs et soyez si vous le pouvez une
partie de notre race, de notre sang, de notre âme, qui continuerait à
vivre quand tout croulera autour de nous
».
Il devient précurseur de l’écologie en France avec sa revue ‘’L’Or vert’’.
Robert Dun collabora à de nombreuses revues publiées :
L’Homme libre, Argad, L’Ile verte, Vouloir, Le Partisan européen, Altaïr, Le Devenir européen, Le Courrier du Continent,
Militant, Réfléchir et agir…
Auteur prolifique, il a défendu dans
ses écrits le ré-enracinement des individus et des sociétés en
s’inspirant de l’écologie, des mythes et des traditions…
« Nous ne pouvons rien espérer des
autres. Il nous faut opérer une révolution culturelle radicale ou périr.
Nous connaîtrons sans doute une longue et terrible
période, faite à la fois de tyrannie et d’anarchie Toute notion
élitiste ne peut manquer de soulever une tempête de hurlements.
Aujourd’hui, il est dangereux d’être distingué, de ne pas avoir
l’air canaille, ou au moins vulgaire et stupide. Des dizaines de
jeunes gens et de jeunes filles ont déjà été victimes d’agressions, de
viols, d’assassinats parce que leur simple aspect
déplaisait à la canaille.
Tout être noble et énergique est
aujourd’hui menacé, toute pensée élevée réduite au silence. Les
Européens conscients doivent se le dire et en tirer les
conséquences : ILS SONT DÉJÀ ACCULES A LA CLANDESTINITÉ. Ils ne survivront et ne pourront ressurgir un jour, sans doute seulement à travers leurs descendants, qu’à condition
d’adapter très habilement leur comportement aux réalités actuelles. La survie européenne a trois exigences :
1) Une conscience parfaitement claire de nos valeurs spécifiques et intimes.
2) Une volonté acharnée et infatigable de transmettre l’héritage par le sang et la culture.
3) Une prudence de serpent, une subtilité vigilante.
Mon viatique sera une phrase de Jules Romains, expurgée dans la dernière édition de son poème : « Homme blanc, souviens-toi de
toi-même; ressaisis ta lignée dans l’écheveau des peuples vils ».
Robert Dun, Les catacombes de la libre pensée.
‘’J'entends déjà la foule des
fanatiques goguenards me crier : « Vous êtes mal placé pour critiquer
l’hitlérisme après avoir été volontaire dans les Waffen SS. ».
Mes réponses seront simples. A la différence de ceux qui ne savent
que rabâcher les inepties des haines millénaires et de la manipulation
médiatique mondialement orchestrée, je sais aujourd’hui
de quoi je parle, ayant connu le mouvement hitlérien de l’intérieur
et m’étant donné la peine d’en étudier toute la littérature théorique.
Si j’ai, à 20 ans, opté pour le combat du côté allemand,
c’est parce que j’avais déjà perçu dans le camp opposé trop de
haines viles, de mensonges, d’hypocrisies bourgeoises, de calomnies.
Mais j’ai toujours déploré la guerre avec la Russie, si étrange
que cela puisse paraître, et j’étais loin d’être le seul dans ce cas
parmi ceux qui portaient l’uniforme feldgrau. Comme la plupart des
volontaires français, je me suis rallié à un type humain
plutôt qu’à une idéologie.
Pour tous ceux qui souffraient
profondément de la veulerie de leur siècle, de son nihilisme, de sa
niaiserie, le guerrier allemand avec son regard droit, sa
démarche ferme et tranquille, son calme, son amabilité sans
bavardage fut ressenti comme un refuge, comme un espoir.
Je ne fus
nullement étonné de découvrir un jour la vieille devise : « Am
deutschen Wesen wird die Welt genesen. » (Le monde guérira par la
personnalité allemande). »
Robert Dun,
Les catacombes de la libre pensée
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