CE SONT LES NEO-MARXISTES DE "NOVOPRESS.INFO" QUI RACONTENT DES BOBARDS !
PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation)
– Après trente ans de communications insistantes sur le réchauffement climatique, le président du GIEC, (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), a admis publiquement le mois dernier que, contrairement aux prévisions du GIEC, il n’y a pas eu de réchauffement climatique mondial depuis dix-sept ans.
C’est ce qu’indiquent les données des centres de recherches sur le climat, et des satellites.
Néanmoins, les ardents propagandistes de la religion réchauffiste n’en font pas moins de juteux profits, comme Al Gore. Celui‑ci, prix Nobel de la paix pour son livre Sauver la planète, vient de faire paraître un nouvel ouvrage, dans lequel il dénonce « les commentaires politiques et les émissions d’information à la télévision commandités par des multinationales du pétrole, du charbon ou du gaz ».
Il omet toutefois de préciser qu’il vient de vendre sa chaîne de télévision, pour 100 millions de dollars, au Qatar, troisième producteur de gaz naturel du monde !
Crédit image : DR.
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Nouvelles études
Réchauffement climatique : la situation s’aggrave
Par
(12 mars 2013)
Il ne fait pas bon être climato-sceptique. La revue Science vient de publier une étude démontrant que le réchauffement climatique récent est « sans précédent »
et incomparablement plus rapide que durant les périodes de
réchauffement précédentes.
En étudiant les anomalies de température sur plus de 11 000 ans, les auteurs apportent des éléments supplémentaires pour définitivement écarter l’idée selon laquelle le réchauffement climatique actuel serait dû à la variabilité naturelle du climat.
Cette étude est rendue publique quelques jours après que l’observatoire Mauna Loa d’Hawaï ait mesuré un incroyable bond de la concentration de CO2 dans l’atmosphère en 2012. Celle-ci a augmenté de 2,67 parties par million (ppm) pour atteindre les 395 ppm, approchant l’augmentation record constatée en 1998 (2,93 ppm).
Les premières données de 2013 laissent penser que les tendances ne sont pas prêtes de s’inverser.
Le relevé record de février 2013 est déjà plus élevé que le plus haut niveau atteint en 2012.
La barre des 400 ppm se rapproche, alors qu’il faudrait revenir à 350 ppm pour avoir une chance raisonnable de ne pas dépasser les 2°C de réchauffement climatique.
Pour Pieter Tans, qui dirige l’équipe de mesure des émissions de gaz à effet de serre pour l’administration états-unienne (NOAA), il ne fait aucun doute que « le principal facteur est l’augmentation de la consommation d’énergies fossiles ».
L’Agence Internationale de l’Énergie a recommandé dans un rapport fin 2012 que « notre consommation, d’ici à 2050, ne représente pas plus d’un tiers des réserves prouvées de combustibles fossiles ».
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En étudiant les anomalies de température sur plus de 11 000 ans, les auteurs apportent des éléments supplémentaires pour définitivement écarter l’idée selon laquelle le réchauffement climatique actuel serait dû à la variabilité naturelle du climat.
Cette étude est rendue publique quelques jours après que l’observatoire Mauna Loa d’Hawaï ait mesuré un incroyable bond de la concentration de CO2 dans l’atmosphère en 2012. Celle-ci a augmenté de 2,67 parties par million (ppm) pour atteindre les 395 ppm, approchant l’augmentation record constatée en 1998 (2,93 ppm).
Les premières données de 2013 laissent penser que les tendances ne sont pas prêtes de s’inverser.
Le relevé record de février 2013 est déjà plus élevé que le plus haut niveau atteint en 2012.
La barre des 400 ppm se rapproche, alors qu’il faudrait revenir à 350 ppm pour avoir une chance raisonnable de ne pas dépasser les 2°C de réchauffement climatique.
Pour Pieter Tans, qui dirige l’équipe de mesure des émissions de gaz à effet de serre pour l’administration états-unienne (NOAA), il ne fait aucun doute que « le principal facteur est l’augmentation de la consommation d’énergies fossiles ».
L’Agence Internationale de l’Énergie a recommandé dans un rapport fin 2012 que « notre consommation, d’ici à 2050, ne représente pas plus d’un tiers des réserves prouvées de combustibles fossiles ».
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