LA PRESIDENTE DE LA XVIe CHAMBRE DU TGI, PENSE QUE JPPS EST PEUT-ETRE "FOU" : ELLE A ORDONNE UNE EXPERTISE, CONFIEE A L'UNE DES PSYCHIATRES DE LA RUE CABANIS, LE Dr MURIEL FISCHMAN-MATHIS !
Il faut interdire aux femmes l'exercice de la psychiatrie
Il convient tout
d'abord de rappeler que les hommes et les femmes sont loin d'être identiques.
Les
acquis des mouvements féministes, apparus au XIXème siècle, ont tendance à occulter
les différences fondamentales qui existent entre les deux sexes.
Mon
propos ne ressortit pas à un machisme primaire : Je ne dis pas que les femmes
sont inférieures aux hommes, mais j'insiste (lourdement) sur le fait qu'elles sont très différentes.
Tout
être vivant a des atouts ...et des handicaps.
Il
se doit, pour survivre, de gérer au mieux, cette incontournable réalité.
Les
femmes ont certaines qualités qui les rendent très compétitives dans
certains domaines, vis-à-vis des hommes : elles ont, par exemple, une très
grande empathie et une grande patience avec les enfants, et tout particulièrement
avec les tout-petits.
On
l'a bien compris, et l'on trouve peu d'hommes employés dans les pouponnières.
Leur
empathie -génétiquement programmée- leur a permis de conquérir le monde
hospitalier, dès le moyen-âge, et donc bien avant la reconnaissance officielle
obtenue grâce à Thérèse Rastit (peste de Marseille, en 1720) et Florence
Nightingale (siège de Sébastopol, en 1850).
Les
premières infirmières laïques apparaissent, en France, en 1878, et la première École
en 1902.
Avant cela, toutes les infirmières étaient des religieuses.
Avant cela, toutes les infirmières étaient des religieuses.
Toutes
les infirmières... sauf en Psychiatrie, ou les "aliénés" étaient pris
en charge par des hommes, et plus particulièrement les Frères de Saint Jean de
Dieu (fondateurs, en autres, de la "Maison royale de Charenton, en 1641
-futur Hôpital Esquirol).
Mais
revenons à la Psychiatrie, c'est-à-dire, au traitement de la "Folie".
Il
convient, tout d'abord, de poser la question : C'est quoi la Folie ?
Ne
comptez pas sur moi pour tomber dans le piège de
"l'anti-psychiatrie".
J'ai lu, il y a très longtemps, Deleuze et
Guattari : ils ne m'ont pas convaincu.
Les
troubles psychiatriques existent véritablement. J'ai travaillé suffisamment
longtemps en HP pour pouvoir en témoigner.
Mais s'agit-il d'une
"maladie" au sens somatique du terme -et donc susceptible d'être
"guérie" ?
Certainement pas ! Aucun Médecin psychiatre, aucun Psychologue
clinicien n'utilisera ce verbe. Il dira éventuellement, que telle ou telle
personne est "stabilisée".
Ils
n'utiliseront pas non plus le mot "fou", mais plutôt
"psychotique".
Quelle est l'origine de la psychose ? Nul
ne le sait. Nous sommes là dans une discipline (la psychiatrie), qui n'a
pas grand-chose à voir avec la médecine, et dont la prise en charge nécessite
des qualités tout à fait particulières. N'est pas Thérapeute qui veut.
Déjà
en médecine, la relation médecin-patient est très importante : "l'effet
placebo" est de première importance. Il est même déterminant. Les
médicaments ne sont efficaces que si le patient "croit" en son
médecin.
Et,
a contrario, les médecins "iatrogènes" ne guérissent personne !
En
psychiatrie, l'effet placebo n'est pas simplement important, comme il l'est en
médecine, il est primordial.
Cet
"effet placebo" ne s'apprend pas à la Faculté : il est inné. C'est
une forme de charisme. Comme dit le poète, "Ce sont grâces
d'en-haut, rares et singulières, qui n'en descendent point pour les âmes vulgaires"
(Corneille-Andromède).
Ce
charisme, aussi regrettable que cela soit (surtout pour les tenants de
l'égalité des sexes), n'existe que très rarement chez les femmes.
De
même qu'il n'y a pas d'équivalent féminin à Mozart, à Bach et à Beethoven, il
n'a pas d'équivalent à Philippe Pinel, à Jean-Etienne Esquirol, à Gaëtan
de Clérembault, à Eugène Bleuler, à Jean Delay, à Pierre Deniker ou à Henry
Hey. C’est regrettable, mais c'est ainsi.
La
qualité principale, en psychiatrie, n'est pas la compassion, ni l'empathie :
c'est la sureté du diagnostic.
Contrairement à la médecine, il n'existe pas de
"test" infaillible permettant de décider si une personne présente des
troubles psychiques (et donc relève de la psychiatrie), ou bien s'il
s'agit d'un sale type (...comme moi), ou plus simplement d'un original -sur
qui, les neuroleptiques n'auront pas l'effet salvifique escompté.
Et
les femmes n'ont pas le recul et l'objectivité leur permettant de poser un tel
diagnostic.
La
femme est avant tout subjective, et ce n'est pas par hasard si la
pathologie la plus commune, chez elle, fut longtemps l'hystérie...
Il
n'y avait pas d'hommes (patients), à la Salpêtrière, dans le service de Jean-Martin Charcot.
Je n'en veux
pour preuve (de cette "subjectivité") que les circonstances de l'internement abusif dont j'ai fait
l'objet en juillet dernier. (cf mon article "JPPS premier interné
psychiatrique politique du régime islamo-socialiste").
Sur
Réquisition du Commissaire central du IIème arrondissement de Paris, Francis
Vincenti, j'étais emmené, menotté, à l'Unité Médico-Judiciaire de l'Hôtel-Dieu
et présenté au Dr Sonia Ben Younès.
À
l'issue de cet "entretien" (je mets le mot entre guillemets, car je
n'ai absolument rien dit: je ne parle pas aux "psyflics"), elle m'a
expédié à l'Infirmerie Psychiatrique de la Préfecture de Police (I 3 P), rue Cabanis, avec
le diagnostic suivant : " patient mutique, avec éléments de bizarrerie, activité
délirante possible".
Comme
on dit vulgairement, "il faut le faire" !
Où a-t-elle pu voir des
"bizarreries" ? Quant au "feeling" (qualité
essentielle en psychiatrie) comment a-t-elle pu me ressentir comme "délirant" ?
La réponse est très simple : elle fait partie de l'équipe du Prof. Jean-Louis
Pourriat, ancien premier adjoint du Maire socialiste du IVe arrondissement,
avec qui j'avais eu maille à partir, lors de la délivrance d'un faux Arrêt de
Travail à mon bon voisin (cf sur internet, aff: Dr Karim Younsi)...
CQFD
?
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