FAUT-IL EUTHANASIER JACQUES ATTALI ,
EDITO DE CYRANO
Non content de tuer la France, Attali rêve d’en finir avec les Français
Imaginons qu’un Jean-François Copé, ou pire une Marine Le Pen, ose écrire : « Dès qu’il dépasse 60-65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société ; il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement, plutôt qu’elle ne se détériore progressivement« .
Bien évidemment, immédiatement, la caste se mettrait en branle. Askolovitch évoquerait Himmler et l’Holocauste, Plenel parlerait du ventre encore fécond et de la Bête immonde, BHL dirait que ce pays moisi est le berceau du fascisme, Fourest glapirait que la France a déjà exterminé 6 millions de juifs, et qu’à présent, elle veut en finir avec des millions de vieux… Mélenchon réclamerait la dissolution du Front national, Besancenot lancerait ses fascistes rouges, aux cris de F comme fasciste, Harlem Desir, surnommé Rantanplan pour sa grande intelligence, dirait que Marine et Hitler, c’est bonnet brun et brun bonnet, et Efa Choly tiendrait une conférence de presse en réclamant la fin des Etats-Nations, car « z’est bien connu, les nazions z’est le razisme et z’est le fâââscisme, z’est pourquoi il vaut apolir les vrontières et vaire un zeul kollozal pays du monde… ».
Naturellement, la Licra gémirait que tout recommence comme en 1940, SOS Racisme déposerait plainte, la LDH réclamerait des milliards de dommages et intérêts et le Mrap dirait qu’il est d’accord s’il passe à la caisse, lui aussi.
Or, il se trouve que l’auteur de cette phrase est l’intouchable Jacques Attali, dans son livre « L’homme nomade » publié en 2005. A notre connaissance, personne ne l’a désavoué, parmi les dirigeants de l’UMP ou du PS. Aucun journaliste ne l’a sommé de s’expliquer sur un plateau de télévision, alors que plus de 20 ans après la phrase sur le « détail », Marine Le Pen doit encore répondre des propos de son père.
Il faut reconnaître à Attali de la suite dans les idées, puisqu’il avait lui-même écrit, dès 1981, ces mots, dans un autre livre, « L’avenir de la vie » : Dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. La vieillesse est actuellement un marché, mais il n’est pas solvable. Je suis pour ma part en tant que socialiste contre l’allongement de la vie. L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures ».
Décidément, François Mitterrand était un grand faux-cul. Pendant qu’il accordait la retraite à 60 ans aux Français (ce dont il faut le féliciter), pendant qu’il mettait en avant le grand bourgeois Badinter et l’abolition de la peine de mort, il nommait conseiller du prince un autre grand bourgeois qui voulait euthanasier les mêmes nouveaux retraités, pour que ces « salauds » devenus inutiles à la société ne lui coûtent pas trop cher. Chapeau l’artiste !
Finalement, Attali a le mérite de dire tout haut ce que les élites mondialisées rêvent de faire, sans oser annoncer la couleur. Non seulement il faut en finir avec la France, comme avec tous les Etats-Nations, non seulement il faut broyer ses lois sociales, son industrie, son histoire, ses racines, ses repères, changer un peuple trop attaché aux libertés, et le remplacer par des barbares islamisés sans tradition démocratique… mais en plus il faut euthanasier les vieux Gaulois, coupables de ne plus servir à rien, et de ne pas mourir assez vite.
Certains disent qu’Attali est socialiste, nous avouons que nous ne voyons pas bien ce qui sépare son discours du nazisme.
Bien sûr, pour mieux en finir avec ce peuple français qu’il exècre, rien de tel qu’une bonne immigration. 300.000 nouveaux étrangers pendant trente ans est une perspective qui ne lui fait peur, même en période de chômage de masse.
http://www.youtube.com/watch?v=Gfp5k1VP7Hg
Emporté par sa fougue immigrationniste, dans un de ses autres ouvrages « L’avenir du travail », p.118, Jacques Attali avait encore été plus loin : « [Pour sauver les retraites] le troisième choix conduirait à organiser la venue de deux millions d’étrangers par an entre 2020 et 2040, ce qui se traduirait, sur l’ensemble de la période considérée, du fait de l’élargissement des familles, par l’entrée sur notre sol de 93 millions d’immigrés ; la France compterait alors 187 millions d’habitants, dont 68 % d’immigrés de première ou de deuxième génération ».
Nous autres qui n’avons pas son intelligence, nous avouons que nous ne comprenons pas à quoi sert de sauver les retraites, quand on veut tuer les retraités ! C’est ce monsieur qui comparait un pays à un hôtel, montrant, là encore, sa profonde considération pour notre patrie. Selon lui, bien évidemment la France est davantage musulmane que chrétienne, et il convient de supprimer Noël des jours fériés, au nom de la laïcité, ce qui a fait bondir le placide Alain Dubos ! Il faut que ce soit un historien britannique Theodore Zeldin, dans « Histoire des passions françaises », qui affirme : « Aucune nation, aucune démocratie ne peut écrire sa propre histoire sans reconnaître à la France une dette ou une influence directe. L’histoire de France aura toujours un sens pour l’histoire universelle ». Sans doute un horrible franchouillard !
Comme ils doivent être heureux, Attali et les siens, quand ils regardent ce reportage, diffusé sur France 2, où on voit, à Clichy-sous-Bois, la mise en place du « Grand remplacement » pour reprendre la formule très parlante de Renaud Camus. Jean de la Valette résume parfaitement le reportage : vive les immigrés qui virent les blancs !
http://www.youtube.com/watch?v=AtXTBVt4mAU&feature=player_embedded
Dans la France que lui est les siens ont mis en place depuis trente ans, il se commet 13.000 vols, 2.000 agressions, 200 viols toutes les 24 heures, apprend-on en lisant le livre de Laurent Obertone, « La France orange mécanique ». Lisons quelques extraits de cet ouvrage.
« Ces derniers jours, un charmant individu, que nous nommerons Vladimir, a ramassé trente ans pour le meurtre de sa compagne, dont 22 ans de sureté, soit un an le coup de marteau. Ledit Vladimir, quelques semaines plus tôt, était jugé dans le cadre de la désormais célèbre affaire des tournantes , où la justice a expliqué aux Françaises, sans trembler, qu’on pouvait être un violeur en réunion et s’en tirer avec du sursis. Sur 14 prévenus, Vladimir était l’heureux élu, le seul à prendre de la prison ferme. Un an. Pendant ce temps-là, un clandestin était interpellé, pour la 97e fois, au volant d’une voiture volée, après avoir mordu et fracturé le bras d’un policier d un coup de tête. Pendant que Christiane Taubira veut rompre avec le tout carcéral, une centenaire a été poussée au sol et gravement blessée par plusieurs personnes, pour une montre. Pendant ce temps-là, on apprend que les barquettes de viande vendues dans un supermarché de Lille sont protégées par des antivols. Pendant ce temps-là, un policier de la BAC a été lynché dans une cité sensible de Montpellier. Pendant ce temps-là, un Toulousain a eu l’idée pas très vivre-ensemble de klaxonner derrière un véhicule qui bloquait la chaussée d un quartier populaire. Vigilants, vingt riverains lui ont administré une correction citoyenne, à coups de chaises et de tessons de bouteilles. Alors, pourquoi ce livre ? Parce qu aujourd hui, un simple regard peut tuer. »
La liste des faits divers survenus au mois de janvier suffit à compléter le propos. Osons le dire, cette terreur quotidienne, subie par nos compatriotes, mais aussi par des immigrés qui rêvent d’assimilation, n’est pas un hasard, elle est le fruit d’une politique délibérément orchestrée par Attali et les siens, depuis trente ans. C’est une autre façon de tuer les Français. Ils ont d’abord brisé tout repère autour de la Nation, jugée fasciste, pour mieux imposer la dictature de l’Union européenne. Ils ont ensuite cassé l’école publique, qui permettait aux fils d’ouvriers de réussir socialement, grâce aux fumeuses théories des pédagogues gauchistes. Ils ont brisé toute autorité dans l’éducation, la liant à un concept réactionnaire, donnant naissance à l’enfant roi, enfant tyran. Ils ont rendu policiers et enseignants impuissants face à ceux qui ne respectent pas les codes sociaux. Ils ont infiltré la magistrature, l’Education nationale, les médias, et ont imposé, petit à petit, un véritable totalitarisme de la pensée, s’appuyant sur un tissu associatif, notamment les « anti-racistes », qu’ils gavent de subventions.
En implantant massivement sur notre sol des millions de nouveaux immigrés, aux antipodes de nos traditions pour nombre d’entre eux, en leur permettant de développer leurs propre communautarisme, ils ont créé les conditions d’un choc de civilisation, et d’une possible guerre civile.
Ils ont mis notre peuple en danger, délibérément. A présent, ils veulent aller au bout de la démarche.
La France disparue (depuis quinze jours, ce n’est plus le gouvernement français qui peut voter son budget), ces docteur Folamour rêvent de rayer de la carte nos anciens, comme dans la fiction des années 1970 « Soleil Vert ».
Bien évidemment, Attali se montre, d’autre part, très fier d’avoir fait partie des rédacteurs du traité de Maastricht, et encore plus ravi d’annoncer à une assistance en extase qu’il avait piégé les citoyens en oubliant d’écrire un article permettant de sortir de l’Union européenne. Il confirme que lui et ses complices Cohn-Bendit et Barroso sont prêts à tout pour maintenir leur dictature sur les peuples.
http://www.dailymotion.com/video/xl60yb_jacques-attali-a-propos-du-traite-de-maastricht-c-etait-pas-tres-democratique_news#from=embediframe
Les chômeurs victimes des délocalisations et de la concurrence de nouveaux immigrés, en période de chômage de masse, c’est grâce à Attali et ses amis européistes.
Fasciné par l’islam, ce personnage compte sur ce projet politico-religieux nouveau sur notre sol pour mieux broyer notre laïcité, pilier de la République.
Hier, les fascistes avaient des troupes de choc pour terroriser les travailleurs et le peuple, aujourd’hui, ce sont les islamo-racailles, importées par centaines de milliers par Attali et l’Union européenne, qui jouent ce rôle.
Il suffit d’aller un après-midi au tribunal, pour comprendre pourquoi l’islam est la première religion dans nos prisons. Il suffit de constater la clémence de nos juges pour des psychopathes multi-récidivistes, et leur sévérité pour un William et une Monique à Aigues-Mortes, l’été dernier, sans oublier quelque temps auparavant René Galinier.
Ce grand bourgeois arrogant, qui ressemble de plus en plus à un gourou mystique, incarne jusqu’à la caricature le mépris des élites mondialisées pour leur peuple, et toute leur nocivité.
Alors, faut-il euthanasier Attali, qui vient d’avoir 69 ans ?
Pas avant de l’avoir jugé !
(ripostelaique.com)
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