lundi 29 octobre 2012

L'AUTEUR (NEO-NAZI) DE CE SITE, OUBLIE D'INDIQUER QUE MUSSOLINI N'ETAIT PAS ANTISEMITE : SA MAITRESSE, MARGHERITA SARFATTI, ETAIT JUIVE !

29 Octobre 1922 la Marche sur Rome a 90 ans

Publié le 29/10/2012 
par konigsberg

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Le 29 octobre 1922, le roi d'Italie Victor-Emmanuel III nomme Benito Mussolini président du Conseil (l'équivalent de Premier ministre).
Un parti non-démocratique
Mussolini a fondé en novembre 1921 le Parti National Fasciste, premier parti d'Europe occidentale ouvertement non-démocratique.
À partir de l'été 1920, il a mis ses troupes paramilitaires au service de la contre-révolution.
Ces miliciens armés reconnaissables à leur uniforme, les «Chemises noires», multiplient les campagnes d'intimidation.
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Ils attaquent les Bourses du travail, lieu de rassemblement des syndicats ouvriers et brisent les grèves. Ils bastonnent la racaille, les communistes, et les bourgeois conservateurs engraissés par la misère du peuple italien, les purgent à l'huile de ricin ou parfois les assassinent ! (l'équivalent des salopards de bourgeois droite gauche qui sévissent en France depuis des décennies)
Les fascistes apparaissent ainsi comme des garants de l'ordre face aux menaces révolutionnaires. Ils bénéficient à ce titre de l'indulgence des forces de l'ordre et de la justice et sont regardés avec bienveillance par le patronat italien.
Avec des effectifs supérieurs à plus de 700.000 en 1922, le Parti fasciste n'arrive pas pour autant à convaincre le corps électoral timoré (comme en France). Mais il démontre une nouvelle fois sa force en août 1922 en brisant une grève générale lancée par le parti socialiste et dirigée contre lui.
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Là-dessus, Mussolini menace de marcher sur Rome et de s'emparer du pouvoir par la force. Les Chemises noires de province, au nombre d'environ 40.000, commencent à converger vers la capitale.
Le roi Victor-Emmanuel III n'ose pas décréter l'état de siège par crainte d'une guerre civile. Comme le président du Conseil, le vieux libéral Giacomo Giolitti (80 ans), il pense que Mussolini peut, après tout, aider à sauver un régime en pleine décomposition et qu'il sera toujours temps de s'en débarrasser après.

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Le 29 octobre 1922, le roi propose donc à Mussolini qui, de Milan, observe prudemment les événements, de prendre la tête du gouvernement dans les règles.
Les Chemises noires poursuivent malgré tout leur marche sans rencontrer de résistance, pour le symbole. Pour donner l'illusion d'une prise de pouvoir personnelle, Mussolini entre dans la capitale italienne le 30 octobre, entouré des hiérarques et des militants fascistes, au terme d'une très symbolique «Marche sur Rome».


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À la tête d'un gouvernement qui ne compte que quatre ministres fascistes, Mussolini se montre dans les premiers temps respectueux des règles constitutionnelles. Sa détermination et son verbe lui valent la sympathie des élites, y compris d'illustres intellectuels comme Benedetto Croce.
Mais, dans les provinces, les Chemises noires poursuivent la mise au pas des organisations syndicales. La fête du Travail du 1er mai est supprimée. La grève est enfin interdite. Et en novembre 1922, la Chambre des députés et le Sénat votent les pleins pouvoirs à Mussolini pour un an.
Les fascistes ont stoppé la démocrasseuse bourgeoise socialo communiste qui maintenait son peuple en déchéance.
Le facisme ne  durera jusqu'en 1943 lors de l'invasion des mafias américaines alliées aux mafias siciliennes, calabraises et à la vermine socialo-communiste.
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« Le fascisme, c'est l'horreur de la vie commode. Le fascisme, c'est le désintéressement : et voilà pourquoi il a conquis la jeunesse, car la jeunesse est l'instant le plus désintéressé de la vie. »

« C'est une conception historique dans laquelle l'homme n'est ce qu'il est qu'en fonction du processus spirituel auquel il concourt, dans le groupe familial et social, dans la nation, et dans l'histoire à laquelle toutes les nations collaborent. »


Nous ne croyons pas au programme dogmatique, à cette espèce de cadre rigide qui devrait contenir et asservir la changeante et complexe réalité. Nous nous permettons le luxe de perfectionner, de concilier, de surpasser en nous ces contradictions sur lesquelles s’abêtissent les autres, en se fossilisant dans un monosyllabe d’affirmation et de négation.


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Nous nous accordons le luxe d’être à la fois aristocrates et démocrates, conservateurs et progressistes, réactionnaires et révolution­naires, soumis à la légalité ou à ses adversaires selon les circonstances de temps, de lieu, d’ambiance, en un mot, d’histoire, au milieu desquelles nous sommes obligés de vivre et d’agir. Le fascisme n’est pas une église; c’est plutôt un stade. Ce n’est pas un parti ; c’est un mouvement. Il n’y a pas un programme tout fait à réaliser en l’an 2000 pour la simple raison que le fascisme construit au jour le jour l’édifice de sa volonté et de sa passion




Le monde pour le fascisme n'est pas ce monde matériel que nous ne connaissons que superficiellement et dans lequel l'homme est un individu séparé de tous les autres, ne vivant que par lui-même et gouverné par une loi de nature qui, instinctivement, le pousse à ne vivre qu'une existence de plaisir égoïste et passager.

L'homme dans le fascisme est un individu qui est aussi une nation et une patrie, il est encore la loi morale qui réunit ensemble individus et générations dans une tradition, dans une tâche qui supprime l'instinct égoïste borné aux brèves péripéties du plaisir, pour créer par l'idéal du devoir un mode de vie supérieur, délivré de toutes les limites du temps et de l'espace une vie dans laquelle l'individu, par l'abnégation de lui-même, le sacrifice de ses intérêts personnels, par la mort même, réalise cette existence toute particulière dans laquelle est toute sa valeur d'homme...


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Une telle conception de la vie porte le fascisme à être l'exacte négation de cette doctrine qui constitue la base du socialisme dit scientifique ou marxiste, la doctrine du matérialisme histo­rique, selon laquelle l'histoire des civilisations humaines s'expliquerait seulement par la lutte d'intérêts entre les différents groupes sociaux et par l'évolution des moyens et instruments de production.
Que les questions économiques – découvertes de matières premières, nouvelles méthodes de travail, inventions scientifiques – aient leur importance, personne ne le nie, mais qu'elles suffisent à expliquer l'his­toire humaine, en excluant tous les autres facteurs, est absurde.


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Le fascisme croit encore, et toujours, à la sainteté et à l'héroïsme, c'est-à-dire à des actes dans lesquels n'inter­vient – de près ou de loin – aucun motif économique... le fascisme repousse le concept de "bonheur" économique qui se réaliserait selon un processus socialiste et de façon quasi automatique, à un moment donné de l'évolution économique, en assurant à tous le maximum de bien-être.
Le fascisme nie le concept matérialiste de "bonheur" économique comme possible et l'abandonne aux économistes de la deuxième moitié du XVIIIème siècle ; c'est-à-dire qu'il nie l'équation bien-être = bonheur qui rendrait les hommes soucieux d'une seule chose : être repus et engraissés, et donc réduits à la pure et simple vie végétative...

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AVANTI SQUADRISTI !

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L'Abbé TAM a commémoré le 90e Anniversaire

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